Bilan personnel 2015/2016 - Manoune398

Le 03 octobre 2016 à 12:53  |  ~ 22 minutes de lecture
Alors, c'était comment cette année ?

Bilan personnel 2015/2016 - Manoune398

~ 22 minutes de lecture
Alors, c'était comment cette année ?
Par Manoune398

Chers toi, vous, tout le monde, personne, où que vous soyez tant que vous me lisez.

Encore une plâtrée de nouveautés cette saison, on n’y échappera jamais de toute façon.

Mais dans le lot, quelles sont celles qui ont su se démarquer ? Peu, je dois dire, et c'est assez ballot.

Beaucoup de déceptions, encore des écrans d’ordinateur détruits, de « POURQUOIIIII » hurlés dans ma maison

avec tant de force que les voisins et la police ont rappliqué (et pas en chanson).

Je les préviens chaque année, pourtant… Ils comprennent pas, ils comprennent pas, que voulez-vous.

Vous, vous me comprenez (mon psy, aussi, bien qu’il ait du mal, parfois), et puis c'est tout.

Et là, vous êtes en train de vous dire : « Mais Manoune, où est donc passé ton optimisme contagieux ? ».

Il est parti. Rien, nothing, nada. Je ne crois plus en rien, ou en tout cas, je crois peu.

La grille des programmes m’a déçue, elle a brisé mon cœur.

L’amouuur c’est trop dur, buvez de la tequila ou bien de la liqueur.

Et plongez dans mon décathlon de séries qui ont, malgré tout (MALGRÉ TOUT, OUI), réussi à me réchauffer un peu le cœur.

 

Bilan personnel 2015/2016 - Manoune398

 

 

 

 

10. Celle qui s’est rattrapée aux branches alors qu’on pensait qu’elle était déjà par terre : Scandal, saison 5

 

Scandal

 

L’an dernier, Scandal était également à la dixième place du décathlon, mais cette fois-ci, ce n’est pas du tout pour les mêmes raisons ! Mon bilan de la quatrième saison du bébé de Shonda était très mauvais. La série ayant eu énormément de mal à se renouveler et à proposer des idées attractives. Le final laissait cependant présager des changements importants qui, s’ils étaient respectés, pouvaient redonner un nouveau souffle à la série. Et contre toute attente, c’est bel et bien ce qu'il s’est passé ! Pour une fois depuis très longtemps, les scénaristes ont assumé leurs choix et ont proposé de nouvelles situations qui ont permis aux personnages et à leurs relations de prendre un nouveau tournant. Je pense, notamment, à l’histoire entre Olivia et Fitz, ou même à la relation entre Olivia et Mellie. Les choses sont devenues clairement différentes et nous nous retrouvons dans une nouvelle ère. Outre ces nettes améliorations, les enjeux abordés dans cette cinquième saison, et particulièrement dans la seconde partie, étaient très intéressants et surtout très actuels, avec les élections présidentielles américaines. Des candidatures au duo final, en passant par les primaires, les coups tordus des personnages, la guerre des votes et les retournements de situation, chaque épisode a su nous offrir des moments surprenants qui ont donné beaucoup de rythme à la saison.

Et en plus de tout cela (décidément, il y en a des choses à dire), le personnage d’Olivia prend un tournant très grave, qui promet d’aborder une facette beaucoup plus sombre, l’an prochain : pour la première fois, la relation avec son père et l’influence indirecte qu’il a sur elle ressortent brillamment, donnant une belle puissance à la toute dernière scène de l’épisode final. De plus, elle a franchi LA limite (je ne vous en dis pas plus), cette année ; la sixième saison devrait donc être plus sombre, mais aussi plus profonde.

Scandal a donc réussi à se relever après une saison catastrophique et elle s’est clairement renouvelée à beaucoup de niveaux. Un beau retour en force qui rallonge, selon moi, la durée de vie de la série. La suite des événements devrait être très intéressante. Bravo !

 

 

9. Celle que je critique toujours mais que j’aime toujours bien : Bloodline, saison 2

 

Bloodline

 

Bloodline, Bloodline, Bloodline... Aaaaaaaaah, Bloodline, Bloodline, Bloodline... Le point positif, c’est que la plupart des critiques émises l’an dernier n’ont plus lieu d’être. En effet, les longueurs, les défauts au niveau du développement des personnages et les effets de style ont disparu, laissant la place aux qualités premières de la série : une photographie splendide, de très bons acteurs, une atmosphère unique et une tension très lourde. Le scénario est également solide, entre flashbacks, passé des personnages (dont certains sont morts), problèmes dans le présent, fantômes qui ressurgissent, secrets enfouis, etc., etc. : les auteurs savent écrire. Ce qui est intéressant, ce sont les effets boule de neige avec un personnage qui arrive, fout le bordel, fait ressortir des secrets, en crée d’autres, bref : c’est un cercle sans fin. Et surtout, on remarque le parallèle entre les deux épisodes finaux des deux saisons : John, Kevin et Meg, les frères et sœurs, prennent, à la fin de cette seconde saison, la place de l’autre. Meurtrier, complice ou en fuite, ils échangent leurs rôles, permettant à la série de se renouveler et de ne pas rester ancrée dans un seul fil rouge. Malgré tout, les épisodes restent quand même très longs et parfois ennuyants. J’ai aussi la sensation que la série ne pourra pas durer plus de trois/quatre ans. Pour l’instant en tout cas, le bilan reste très positif, même si j’aime bien la critiquer. Mouahahahaha.

 

 

8. Celle qui a touché ses limites : UnREAL, saison 2

 

UnREAL

 

Ce n’est pas que cette deuxième saison a été plus mauvaise (en fait, c’est plutôt l’inverse), mais d’autres séries sont tout simplement passées devant elle : ainsi, UnREAL rétrograde de la cinquième à la huitième place. Une montée en tension et en surenchère pratiquement continue tout au long des dix épisodes, des personnages qui vont toujours plus loin pour assurer les audiences de leur émission "Everlasting", mettant en parallèle les deux mondes de la série, deux mondes (les coulisses du show et le show lui-même) qui finissent par entrer en collision, laissant aux candidats la possibilité de profiter des producteurs... Une saison très intéressante avec des épisodes où l'on ne s’ennuie jamais et où les interactions entre les différents personnages prennent une autre tournure. Malgré tout, la sensation que la série est arrivée au bout de ce qu’elle pouvait proposer est là : elle a été tellement loin qu’il semble presque impossible de transformer l’essai en 2017. Elle risque de devenir trop vulgaire, trop grossière, et manquer de crédibilité. À surveiller de près. Dans tous les cas, cette deuxième saison continue de nous offrir un très bon divertissement.

 

 

7. Celle qui continue de me régaler : New Girl, saison 5

 

New Girl

 

New Girl est l’une de mes séries préférées, celle qui a été l’une des premières à me faire (presque) mourir de rire depuis Friends. La quatrième saison avait été un peu plus faible, d’où son absence dans ce classement. Cette année, en revanche, la série a franchi un petit cap dans sa qualité, proposant quelque chose de très moderne et d’assez novateur, notamment dans son rapport à la masculinité et à la féminité. Des femmes qui prennent la place des hommes, des hommes qui prennent la place des femmes, un mélange des genres très intéressant qui donne une bouffée d’air frais au monde sériel. L’absence de Jess (Zooey Deschanel) en début de saison a fait grand bien à la série puisqu’elle a permis aux autres personnages de se rapprocher, et notamment à Cece de réellement s’intégrer pour de bon. La présence de Megan Fox était très agréable et les épisodes ont retrouvé leur vivacité, leur hystérie et leur douce folie, rendant cette saison pleine d’humour, de couleur et d’optimisme. Un vrai plaisir !

 

 

6. Celle qui parle de tout et de rien, mais surtout de tout : Master of None, saison 1

 

Master of None

 

Nouveauté Netflix, Master of None fait son entrée dans mon décathlon annuel. Tout est solide, dans cette série : le casting (et surtout Aziz Ansari), la réalisation, la photographie, le montage, l’écriture... Des sujets sociaux forts, pas toujours parfaitement abordés mais engagés, exécutés avec beaucoup de sincérité... Le thème du couple, notamment, est abordé avec une justesse et une authenticité rares, mettant en avant les problèmes relationnels récurrents, tout comme les moments de bonheur les plus simples. C’est ce qui fait toute la beauté de cette série qui questionne aussi les buts et les projets d’un homme ordinaire dans sa trentaine. Très belle surprise.

 

 

5. Celle qui continue de me surprendre malgré quelques doutes : Mr. Robot, saison 2

 

Mr. Robot

 

La surprise de l’année 2015 est revenue cette année avec une deuxième saison. Le niveau de la première était tel que la pression était très forte. Alors oui, le soufflé est un peu retombé, certains épisodes de cette année sont plus faibles mais franchement, Mr. Robot fait tout simplement partie des meilleures séries de ces dernières années. Parce que même quand on commence à avoir quelques doutes, elle nous amène un épisode de dingue, elle est toujours magistralement réalisée, montée et jouée, elle propose quelque chose d’engagé, de cohérent et de maîtrisé. Un objet télévisuel unique qui m’a définitivement conquise. Je tire mon chapeau à tous ceux qui travaillent pour cette série, parce que même s’il y a des défauts, je m’en fiche. Un peu comme si Simone Biles avait le pied droit qui bougeait un petit peu à l’atterrissage après un triple salto-arrière-double-salto-avant et-quatre-vrilles-à-l’aveugle. Ils sont tellement là-haut qu’ils ont de la marge avant de devenir très décevants.

 

 

4. Celle où les vioques rule the world : Grace & Frankie, saison 2

 

Grace & Frankie

 

L’un de mes coups de cœur de la saison dernière est devenu l’une des séries que j’attends chaque année avec impatience, et tout ça au bout de la deuxième saison. Grace & Frankie, portée par deux actrices fantastiques (Jane Fonda et Lily Tomlin) qui jouent des personnages fantastiques, nous emportent dans un tourbillon dynamique d’humour, d’émotions et de personnages géniaux. Avoir soixante-dix ans ? C’est IN, voyons ! Alors oui, elles sont plutôt jolies, plutôt aisées, elles ont eu une assez belle vie, mais quand même : la série offre un joli point de vue sur la vieillesse. Sans oublier les personnages secondaires, pas toujours justement traités mais présents tout de même. Entre doutes, moments difficiles et nouveaux projets, amitié et amour, famille et conflits, parfois, Grace et Frankie sont comme tout le monde. C’est drôle, c’est intelligent, parfois émouvant, mais surtout très très attachant. La scène finale de cette deuxième saison très réussie résume tout l’esprit de la série. C’est génial, tout simplement, et ça fait un bien fou !

 

 

Le Top 3 !


3. Celle qui m’a rendue accro : Chicago P.D., saison 3

 

Chicago P.D.

 

J’ai découvert Chicago P.D. en 2015, quand elle est passée sur TF1. J’ai beaucoup aimé cette nouvelle série made by Dick Wolf (New York Unité Spéciale), mais ce n’est que lors de la deuxième saison que j’ai eu le déclic. J’ai donc rattrapé la troisième saison en cours de route, et nous voilà à l’aube de la quatrième, déjà. Cette année, l’unité d’élite gérée par Hank "bad ass" Voight s’est beaucoup occupée d’affaires en lien avec la famille, laissant un peu de côté les gangs et les délinquants de Chicago. Des enquêtes plus sombres, plus difficiles, mais qui ont permis d’explorer encore plus les personnages, toujours aussi bien écrits. Certes, la seconde partie de saison est plus calme et moins dans l’action, mais je ne m’inquiète pas trop pour cet aspect-là qui varie selon les envies des scénaristes. C’est en tout cas un plaisir de suivre cette série, généralement juste, bien écrite et qui pose de bonnes questions sur le respect de la loi et la légitimité de certains actes commis par l’unité, qui n’hésite pas à poser l’orteil au-delà de la ligne rouge, de temps à autre. L’épisode final se révèle être audacieux, noir et marque un tournant dans la série, prochainement exploré dans la quatrième saison qui débutera le 21 septembre prochain. Quand on est accro, on est accro ! Alors oui, on n’est pas dans du grand art, mais on ne s’ennuie jamais et les personnages sont géniaux. Un bon drame policier qui change clairement de l’époque des années 2000.

 

 

2. Celle qui m’a profondément touchée : Togetherness, saison 2

 

Togetherness

 

L’année dernière, Togetherness était en septième position. Malgré un fort attachement (pratiquement immédiat) à l’histoire et aux personnages, j’avais reproché à la série de ne pas vraiment savoir où elle allait, entre drame et comédie. Ils ont fait leur choix, celui d’abandonner le ton comique de départ pour proposer quelque chose de plus dramatique, mais très loin d’être pessimiste. L’ensemble devient réflexif, touchant, extrêmement juste et d’une simplicité incroyable. Certaines scènes m’ont réellement marquée, comme celle où Brett fait du vélo dans Chicago, la nuit. Ça peut paraître simple, mais c’était sublime. Des personnages très vrais, qui pourraient être différents mais qui sont comme ça, et auxquels on s’identifie, de par leurs doutes, leurs réactions et leurs relations. Réfléchissant à leurs vies, à leurs carrières, leurs projets. Les acteurs ont une complicité évidente, chacun joue son rôle comme il se doit. Malheureusement, il n’y aura pas de troisième saison et c’est bien triste. Mais j’en garde un magnifique souvenir, celui des frères Duplass qui nous ont offert un petit bijou, discret, mais qui restera pour un moment dans les cœurs.

 

 

1. Celle qui m’a bouleversée : The Leftovers, saison 2

 

The Leftovers

 

The Leftovers, c’est cette série bizarre, folle, philosophique, fantastique, profondément tragique, mais qui met en lumière la vie qui continue malgré tout. C’est très difficile de résumer mon ressenti en quelques lignes, car c’est assez complexe à expliquer. The Leftovers, vous aimez ou vous n’aimez pas. Il n’y a pas d’entre-deux. Je fais partie de ceux qui plongent totalement dans l’univers, suivant et comprenant (pas tout le temps, quand même, ce serait compliqué) le chemin voulu par les auteurs, acceptant tout et n’importe quoi, tant que quelque chose en moi réagit. Un plan peut me mettre les larmes aux yeux, la musique me transporte totalement, je peux rester en apnée quand une scène devient très puissante, ou rester bouche bée à la fin d’un épisode. Je suis la cible parfaite, jamais une série ne m’avait autant correspondue, ne m’avait autant touchée depuis Six Feet Under. Les deux ne sont pas comparables, même si elles abordent les sujets de la vie, de la mort, du deuil et de la survie. C’est sublime, tout simplement. Alors, ne lisez pas les avis positifs ou négatifs, mais juste : testez. Et laissez-vous bercer.

Sinon, un mot sur cette deuxième saison spécifiquement : elle nous balade, nous fait croire qu’elle change de sujet (et peut-être le fait-elle), nous ramène en arrière, en avant, nous surprend, nous fait pleurer, nous secoue dans tous les sens, et moi, tout ce que je veux, c’est de voir la troisième et dernière saison. Parce que j’aime bien quand une série arrive à autant me bouleverser. Et même si c’est maso, je m’en fiche. Nananère.

 

Ce sont donc les dix séries dont je voulais vous faire part, celles qui ont marqué ma saison sérielle. Comme vous l’avez peut-être remarqué, aucune n’est décevante, mais c’est parce que, dans l’ensemble, les séries que je suis ont proposé de bonnes saisons. Aucune ne m’a réellement marquée de manière négative, ou alors je ne les aime pas assez pour avoir envie d’en parler...

 

 

N'oublions pas...

 

  • Je n’ai regardé qu’une seule mini-série : Flesh and Bone, basée sur une jeune danseuse intégrant une compagnie à New York. La danse n’est pas le sujet principal, mais ces huit épisodes valent carrément le coup. Je ne peux pas en dire plus… J’ai aussi visionné la première saison de la série anthologique The Girlfriend Experience, une expérience (haha) assez bizarre : ambiance froide, personnages antipathiques, mais maîtrise dans le propos et fascination générale qui risquent de m’amener vers la deuxième saison.
  • Au niveau des comédies, j’ai regardé les secondes saisons de Man Seeking Woman, toujours aussi barrée mais qui a su évoluer dans son format, Fresh Off the Boat, attachante, familiale et drôle, très feel good et sans prise de tête, et la décevante The Last Man on Earth… Je ne sais pas si j’arriverai à tenir la troisième saison, tellement elle devient vide de sens. J’ai terminé la série Awkward, qui s’est achevée après sa cinquième saison (et heureusement, d’ailleurs), de manière assez satisfaisante, je dois dire. Enfin, j’ai découvert Life in Pieces, une série qui pourrait se faire une vraie place sur CBS car très drôle et originale, ainsi que Superstore, beaucoup plus faible, mais qui possède un joli potentiel.
  • En ce qui concerne les formats plus longs, j’ai testé The Magicians et j’ai bien accroché. Une approche de la magie différente et beaucoup plus sombre que ce que j’ai pu voir dans d’autres séries, malgré des personnages un peu passifs et une tendance à exagérer sur la sexualité en général. Un peu trop young adult à mon goût, mais le sujet principal reste sympathique. Enfin, une série dont je n’ai pas parlé dans le top 10 mais qui aurait pu y être : Stranger Things, LA série de cet été 2016. Ambiance 80’s, casting d’enfants au top, solidité technique, tout est parfaitement maîtrisé et la qualité y est. J’émets quelques doutes sur la seconde saison, mais après tout, pourquoi pas.
  • Il y a aussi les séries que je regarde en décalé, quand elles passent à la télévision : Esprits Criminels saison 10 (ça commence à faire long, mais ça se laisse toujours regarder), Castle saison 7 (entre humour et drame, situations pas crédibles et ficelles scénaristiques, mais avec des personnages attachants), Once Upon a Time saison 4 (bien mieux que la troisième, mais on sent la série à bout de souffle), Grey’s Anatomy saison 11 (il est grand temps qu’elle s’arrête, mais je continue de regarder parce que je veux aller jusqu’à l’épisode final pour ensuite organiser une fête, et tout), Modern Family saison 6 (toujours aussi drôle, fraîche et agréable, malgré quelques redondances dans les histoires) et Hawaii 5-0 saison 6 (toujours de belles images, une équipe sympathique et des scènes d’anthologie où les personnages auraient dû mourir quinze fois mais sont toujours là).
  • Enfin, je n’ai pas eu le temps de regarder des séries intégrales cette année (il faut dire que, même à Série-All parfois, la vie prend le dessus) mais je suis actuellement en train de regarder The Wire et Buffy contre les Vampires. J’ai aussi regardé les quatre premières saisons de Chicago Fire, la série mère de la franchise de Dick Wolf. Ce n’est pas aussi bien que Chicago P.D. car il y a parfois un peu trop de bons sentiments, mais c’est assez addictif et très divertissant.

 

Cette année, je ne me suis pas embêtée : j’ai regardé beaucoup de pilotes, testé beaucoup de séries, mais je ne me suis pas forcée à aller plus loin quand je sentais que ça ne passait pas. On a toujours peur de rater quelque chose mais il faut se rendre à l’évidence : on ne peut pas tout regarder. Du coup, j’ai visionné des séries qui me plaisent et qui ont proposé de bonnes saisons dans l’ensemble. Certaines nouveautés ont été de vraies surprises et quelques-unes sortent vraiment du lot de par leur qualité générale. Bilan assez positif, donc. Bien que les créateurs soient en manque d’insipiration. Peu de nouvelles idées, beaucoup d’adaptations ou de remakes… Cette année 2016-2017 ne devrait pas arranger les choses. Je terminerai sur ça : Manoune... OUT. (Tombé de micro, merci, au revoir.)

À l’année prochaine, amigos !

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