Un épisode forcément moins déroutant que le premier. Passé l'effet de surprise, on se concentre réellement sur qui est Prairie et comment son histoire s'est construite.

Comme Manew, je préfère son passé au présent. Le côté "lycéen en souffrance" me dérange un petit peu, même s'il paraît évident que l'on peut s'attacher à tous ces personnages.

On continue dans le bon ! Par contre, j'avoue n'avoir qu'une envie : que l'histoire de l'OA continue et qu'on arrête avec le présent (même si la storyline n'est pas nulle). 

Il y a toujours ces côtés teen show qui me dérangent un peu, mais c'est tellement naturel que je me prends au jeu. Vivement que ça continue !

Toujours aussi bon, j'ai bien l'impression qu'on se dirige vers un chef d'oeuvre.

La meilleure série de 2016 assurément.

Un poil de longueurs et une scène finale clichée et débile (la fille qui émue par sa propre histoire laisse tout le monde en plan pour aller pleurer dans son lit, mouais), mais The OA continue de bien tenir sa barque.

J'ai préféré cet épisode au pilote. Plus de développement sur les personnages, narration originale - certes parfois un peu frustrante ("I met the man who changed my life" Praire nous fait un cliff en plein milieu d'épisode... mais c'est malin car en fait on pense qu'il s'agit de Hap alors qu'il s'agit probablement de son co partenaire de cellule).

Très jolie bande-son également.

Un deuxième épisode un poil en-dessous, parce que c'est principalement un épisode-flashback. Mais c'est ça qui est super fort, parce que la série est déjà émotionnellement forte, y compris sur des événements qui se sont déjà produits. Et donc, le cliff de fin pourrait paraître cliché, mais le fait que ce soit du passé change tout. C'est assez innovant en terme de narration sérielle.