Il semblerait que la production n'est allouée qu'un unique décor pour cette ultime saison et j'ai le sentiment qu'on restera bloqué dans cette prison sud-américaine une bonne partie des 6 épisodes. Du coup, faute de mouvement, le scénario improvise et n'hésite pas à jouer la même corde (3ème fois qu'on a des personnages sous champi) et les dialogues fautent de mieux sombrent dans le vulgaire (on y parle deux fois de léchage d'oignions dont une fois par un chien). Après, moi, je suis un public facile et le tout, même si cela vole aux ras des pâquerettes, m'arrache de temps en temps un rire. 

Etrange destin de Liliane Rovère devenu guest de luxe de sa propre série....