Koss
Altaïr
nicknackpadiwak
Est-ce qu'il y a une si grosse ressemblance avec The Leftovers comme certains le pensent ?
Tales from the Loop
Tales From The Loop
Un petit village se trouve à proximité d'une machine nommée "The Loop" ("La Boucle"), dont la fonction est d'explorer les plus grands mystères de l'univers. Un récit fantastique, profond et poignant sur la condition humaine...
| Terminée | Américaine | 54 minutes |
| Drama, Science-Fiction | Amazon, Amazon Prime Video | 2020 |
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Avis sur l'épisode 1.01
| Avis favorable | Déposé le 15 avril 2020 à 15:07 |
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Ah ben moi j'ai vachement aimé ce pilote. L'ambiance est top, belle et poétique. C'est contemplatif mais il n'y a qu'à se laisser bercer, et esthétiquement il y a un véritable univers, qui a un charme fou. |
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| Avis favorable | Déposé le 12 avril 2020 à 13:38 |
Voilà, ce que j’avais écris lors de mon premier visionnage. Après avoir regardé le deuxième qui est une franche réussite, j’ai eu des remords et j’ai rejeté un coup d’œil au pilote. Cela reste tout de même très austère et très exigent, je trouve que l’histoire de l’épisode 2 est plus accrocheur, mais effectivement, je réhausse ma note et mon avis : dans le brouillard, il y a de belles choses, de belles promesses….. |
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5
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Liste des épisodes
Episode 1.01
Loop
Episode 1.02
Permuter
Episode 1.03
Stase
Episode 1.04
Echo Sphère
Episode 1.05
Contrôle
Episode 1.06
Parallèle
Episode 1.07
Ennemis
Episode 1.08
Comme avant
Le point positif est que l'ambiance du jeu de rôle (oui oui) est bien retranscrite. Cette espèce d'opacité entre le monde des adultes (chiant et compliqué) et celui des enfants. L'épisode traite frontalement cette thématique, parfois de manière beaucoup trop explicite, mais c'est présent.
Le point négatif, c'est tout le reste. C'est un pilot extrêmement chiant. Tout se voit venir à des kilomètres. C'est marrant parce que c'est exactement le même plot que "Petite Maman" et que ça souffre du même problème : passer l'idée de base, rien de se passe. Ca ne tente même pas. C'est juste là, ultra contemplatif, comptant presque seulement sur Philip Glass pour donner un semblant de rythme à cet ensemble mort, froid, presque sans âme.