Disenchantment
Désenchantée
Direction le royaume médiéval en ruines de Dreamland pour suivre les mésaventures de Bean, une jeune princesse picoleuse, de son compagnon, un elfe chicaneur nommé Elfo et de son propre démon, Luci. En chemin, le fantasque trio rencontrera des ogres, des lutins, des harpies, des diablotins, des trolls, des morses ...
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| En cours | Américaine | 29 minutes |
| Comédie, Fantastique, Animation, Comedy, Fantasy | Netflix | 2018 |
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1.03 -
La princesse des ténèbres
The Princess of Darkness
Sorcerio dit que Bean est possédée par un démon, ce qui expliquerait ses exploits alcoolisés. La situation se corse pour Luci quand le roi engage un exorciste sinistre.
Diffusion originale : 17 août 2018
Diffusion française :
17 août 2018
Réalisat.eur.rice.s :
Scénariste.s :
Matt Groening
Guest.s :
nicknackpadiwak
Dans les Simpsons ou Futurama, les scénarios n'avaient finalement peu d'importance, les séries ne valaient que pour l'abondance de gags qui en découlaient.
Désenchantée a bien repris le principe de l'histoire-prétexte. Dans cet épisode, elle avance par saut de puce sans trop de liens ou de transitions entre les segments (d'abord le vol de charriot, puis le vol de la drogue de la belle mère, l'intégration dans le groupe de malfrats puis l'exorcisme). Cela donne vraiment la (mauvaise) impression d'une improvisation continuelle. Et ce sentiment est renforcé par la durée de chaque épisode qui avoisine les 30 minutes, là où 10 minutes de moins aurait été très salutaire.
Mais le gros soucis est une nouvelle fois la mollesse de l'ensemble. Si quelques gags peuvent faire mouche (les ânes, la belle mère, Elfo qui alterne le marrant et le relou), leurs impacts sont figés dans la torpeur de l'ensemble.
Le projet Disenchantment m’emballait, je suis bien désenchanté.