Image illustrative de Doctor Who
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Doctor Who

Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par une femme ou un homme. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...

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En cours Anglaise, GB, CA Pas de durée
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique BBC One, France 4 2005
13.18

3 avis favorable
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0 avis défavorable

Image illustrative de l'épisode 9.05 - La Fin d’une vie

The Girl Who Died (1)

En escale sur Terre, Le Docteur et Clara sont capturés par des Vikings. Après avoir tenté en vain de les impressionner, le Docteur est témoin de l'apparition dans le ciel d'un être se faisant nommer Odin. Celui-ci fait disparaître les guerriers ainsi que Clara et une jeune femme du nom d'Ashildr. Resté seul, le Docteur tente de comprendre ce qui est arrivé à sa compagne...

Diffusion originale : 17 octobre 2015

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Diffusion française : 17 octobre 2015
Réalisat.eur.rice.s : Ed Bazalgette , Edward Bazalgette
Scénariste.s : Jamie Mathieson , Steven Moffat
Guest.s : Maisie Williams , David Schofield , Simon Lipkin , Ian Conningham , Tom Stourton , Alastair Parker , Murray McArthur , Barnaby Kay , Rufus Hound

Tous les avis

Avatar Mmaginère Mmaginère
Rédacteur
Avis défavorable Déposé le 13 mars 2022 à 15:01

L'un des plus mauvais et des plus ennuyeux épisodes de la série.

Cette saison 9 est pour l'instant la pire de toutes, je m'ennuie profondément.

L'histoire était pas folichonne, les personnages ont 0 degrés de charisme.

Seule

Spoiler

la révélation sur le visage du Docteur avait de l'intérêt. L'idée de revoir "Arya" un jour me désespère.

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Avatar OmarKhayyam OmarKhayyam
Rédacteur
Avis favorable Déposé le 02 novembre 2018 à 00:55
Spoiler

Les ennemis ici c'est pas que les monstres, c'est le désespoir et la résignation des plus faibles. Doctor Who donne un sens à la lutte avec du Benny Hill, des vikings, et des pleurs de bébé.


Avatar nicknackpadiwak nicknackpadiwak
Rédacteur
Avis neutre Déposé le 24 juin 2016 à 18:07

Tiens je ne savais pas que le Docteur comprenait le langage des bébés. Ni que les bébés vikings s'exprimaient de manière si poétique.

Bref, un épisode qui cible essentiellement un jeune public (le dragon final) qui m'a un peu exclu.

Seul Tennant, Donna et la musique de Benny Hill m'ont aidé à passer le temps.

9 réponses
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Avatar Revan115 Revan115
Membre
Avis favorable Déposé le 24 décembre 2015 à 01:48

Episode poétique, très sympa visuellement et assez drôle.

Revenir sur l'intrigue de Pompeii c'était du génie.


Avatar Koss Koss
Rédacteur
Avis favorable Déposé le 11 novembre 2015 à 15:23

Je m'attendais vraiment à de la daube carrabinée et du coup, j'ai été hyper surpris.

J'aime vraiment bien cet épisode. Je l'aime parce qu'il est drôle et qu'il m'a fait rire (ce qui n'est vraiment pas arrivé souvent chez moi avec cette série). Les situations comiques sont réussis (le yo-yo) et les dialogues ont fonctionné pour moi ("agriculteur, pécheur, webdesigner,...").

Une bonne surprise donc malgré un scénario un peu simple et (encore) un deus ex-machina sorti de nulle part (le médicament magique qui donne la vie éternele).


Avis favorable Déposé le 04 novembre 2015 à 03:28

Episode sympathique sans plus, surtout rattrapé par sa fin. C'est bien la première fois que nous aurons le droit à deux épisodes qui ne partage pas la même menace extraterrestre. Je suis curieux de voir ça...


Avatar Galax Galax
Administrateur
Avis favorable Déposé le 19 octobre 2015 à 00:58
Spoiler

Un épisode pour qui j'éprouve une affection vraiment grandissante au fil des re-visionnages. C'est en fait simplement l'ossature d'une histoire de Doctor Who et toute l'objet de la série... réduit à l'échelle d'un village.

Je suis absolument fan de cet épisode.

Jamie Mathieson nous livre une histoire touchante, drôle, triste, qui avance une réflexion intéressante sur des sujets originaux et qui emploient à merveille ses personnages.

Alors, la touche Mathieson est là, mais est certes moins présente dans le scénario. Ses bons concepts, son sens de l'imagerie (l'Orient Express, les Boneless, la Mommie...) qui rappelaient limite le génie de Moffat à ses débuts dans le genre de l'horror fantasy (le masque à gaz, la cheminée, les statues...) ne sont plus là. Balayés par la volonté de faire un épisode "fun" dans son scénario. Et j'adore quand Doctor Who revient à des racines d'aventures funs et légères... qui révèlent des éléments plus sombres.

Car avec The Girl Who Died, non seulement les parties comiques sont drôles et les parties dramatiques sont touchantes, mais l'ensemble forme une fabuleuse fable qui capture l'essence de la série. 

DOCTOR: Do babies die with honour?

L'épisode se veut assez imagé, poétique voire symbolique. Ce qui est loin d'être une mauvaise chose à ce stade de la saison. La réutilisation de la capacité du Docteur à comprendre le langage bébé, est une reprise intéressante mais qui est amenée à un stade avancé, afin de justifier des points fondamentaux dans le scénario, notamment le désir pour le Docteur de sauver le village quitte à briser ses codes sur le fait de faire la guerre ou le fait de ne pas interférer avec l'histoire. Ce sont certes des thèmes déjà-vus dans la série, fondamentaux même, mais c'est fait avec soin et c'est surtout très bien écrit. La séquence où Clara sait déjà que le Docteur va s'impliquer dans le village, comme le spectateur, et ne fait que poser les bonnes questions ouvertes pour lui faire comprendre qu'il faut rester, en géniale.

CLARA: Just one village?

Au passage, l'épisode rappelle tout de même que le Docteur transforme des personnes en guerriers, ce qui est tout le pitch de l'épisode. C'est fait avec humour (le lever de main quand le Docteur demande qui a manié une épée dans sa vie) ou avec sérieux, comme Clara en est la preuve, ce qui fait le lien avec l'évolution de cette compagne cette saison. Et cela fait aussi écho aux propos de Davros dans Journey's End... Davros qui est réapparu pile cette saison. On rappelle également que le Docteur se sent responsable de Clara mais que cette dernière ne lui demande rien et s'estime juste prendre du bon temps. Ce simple échange Twelve/Clara est très dense et ils sont tous comme ça.

Car un point que j'adore dans l'épisode, c'est à quel point il résume aussi bien la relation Clara/Docteur à ce stade. Twelve et Clara ressortent continuellement comme les meilleures choses des épisodes, mais est-ce vraiment une surprise ? Je ne sais pas si l'intervention de Steven Moffat dans le scénario a un rapport avec ça (cela doit aider, mais finalement c'était déjà le cas avec les deux précédents épisodes de Mathieson), mais The Girl Who Died manie ses personnages d'une main de maître.

Clara n'a jamais aussi bien sonné juste que lorsqu'elle convainc le Docteur de rester, et ce dernier n'a jamais semblé aussi en accord avec lui-même que dans cet épisode. Le nombre de dialogues qui traitent de leur relation sans en parler est ahurissant et le foreshadowing génialement distillé, et très pertinent après avoir vu la fin de saison. Des thèmes essentiels, comme ce que signifierait la perte de Clara pour le Docteur, ou le fait que le rôle du Docteur est de gagner ses batailles, traversent cet épisode comme ils traversent la saison.

DOCTOR: A good death is the best anyone can hope for... unless you happen to be immortal.

(un foreshadowing à la fin de l'épisode et au sort d'Ashildr - qui passe près d'eux juste après - très sympathique si l'on comprend avec le titre ce qu'il va se passer - et également une superbe réplique à double sens pour le Docteur)

Le scénario du jour n'est certes pas sans quelques côtés parfois cheaps, volontairement. Les Mire sont des ennemis ultra lambdas. Le concept de "race guerrière la plus meurtrière de la galaxie" est déjà vu, mais cette hyperbole accentue un effet comique réussi selon moi. Leur design est également relativement classique, mais là où le Fisher King était joli et imposant mais où l'épisode n'en faisait rien, The Girl Who Died a parfaitement conscience de ses monstres robotiques lourds, brutaux et bruyants. Le scénario est suffisamment intelligent pour jouer justement sur leur absence. La bataille finale est à la hauteur de l'ennemi : l'idée de les effrayer par la pensée en leur montrant un dragon (pas aussi moche que le trailer ne le laissait penser d'ailleurs) était très sympathique. La résolution avec les anguilles, c'est pareil : c'est très "bricolage" mais c'est si absurde que, assumé, cela passe. "It's rubbish", réagit carrément Clara. Le moment où le Docteur dit "Personne dans le village n'a pensé à mentionner... les anguilles ?!" est hilarant, principalement grâce à la façon dont Peter Capaldi délivre la phrase.

Et mine de rien, derrière cette fin lolilol, l'idée de détruire la réputation des ennemis, qui constitue toute leur puissance, avec une histoire imaginée par Ashildr, la conteuse, transformant le tout en immense pièce, cela fait une jolie mise en abyme assez subtile de la série au sens large : des artifices, une histoire pour divertir l'audience des ficelles hors-budget... du rire et des morts. Mais du renouveau constant aussi.

DOCTOR: People talk about premonition as if it's something strange. It's not. It's just remembering in the wrong direction.

(encore une phrase assez fameuse quand on connaît la fin à l'avance)

Pour un épisode qui souhaite introduire Ashildr avant toute chose, je trouve qu'il mène très bien sa barque pour ne pas être totalement clair sur ses intentions trop vite. Ashildr est soulignée comme étant spéciale, mais pas forcément le centre de l'épisode... avant la fin, où elle décide de raconter une histoire. Les autres personnages sont cependant clairement plus relégués au rang de running-gags, ils sont jugés trop inutiles par le scénario pour être nommés - le Docteur leur trouve donc des surnoms (Zizzy Top purée !). Le méchant principal est une caricature, ce qui est sans doute voulu également vu les répliques de l'épisode ou la chute de cet antagoniste tourné en ridicule à la fin.

CLARA: The universe is full of testosterone. Trust me, it's unbearable.

La réalisation semble osciller entre l'amateurisme d'une caméra sur l'épaule un peu chancelante, et de superbes plans (la scène d'intro, le Docteur dans l'eau, le coucher du soleil, le plan tournant de fin). C'est techniquement pauvre, mais cela met parfois des étoiles plein les yeux : à nouveau, j'y vois une forme de résumé de la série, qui doit filmer la campagne anglaise de façon inventive et parvenir à nous transporter avec de l'herbe et des huttes.

Bref de façon générale, le scénario est ridiculement délicieux, plus profonds qu'il n'y paraît. Les scènes comiques sont toutes réussies et les éléments de la menace, bien que peu crédibles forcément, sont cohérents et en plus assumés pour ajouter une mise en abyme et quelque chose en plus à un autre degré. Quant aux personnages, ils sont finement écrits, des thèmes sérieux sont abordés et les dialogues en général sont bons. Franchement, que demander de plus à histoire qui se voulait juste être une détente ?

Ah oui : un basculement vers une fin glauque et lié au lore. Dans un épisode sur des vikings paysans qui affrontent des buveurs de testostérone. Voilà comment élever une histoire classique et "à faible ambition" de Doctor Who, en un excellent épisode.

Une fois le gros de l'histoire résolue, il ne reste finalement plus qu'une chose : basculer sur le dénouement, le véritable climax, la préparation d'un gros aspect du fil rouge (Ashildr) : après pas mal de détours, on se retrouve enfin avec la situation annoncée par le titre. Juste une victime, mais pas celle qu'on souhaitait... On pourrait reprocher à l'épisode de spoiler sa fin dès le générique d'ailleurs, mais selon moi, comme je l'ai déjà cité dans pas mal de répliques ci-dessus, comprendre déjà vers où tout ça mène, fait partie intégrante de la découverte de l'épisode et de ce qui le rend intéressant. "Pourquoi ce village ? Pourquoi cette fille ?" se mêlent finalement à une histoire qui dépasse la simple aventure viking.

ASHILDR: I've always been different. All my life, I've known that. The girls all thought I was a boy, the boys all said I was "just a girl". My head is always full of stories. I know I'm strange. Everyone knows I'm strange. But, here, I am loved. You tell me to run to save my life. I tell you that leaving this place would be death itself.

Cela prend du sens seulement en sachant qu'elle va mourir, mais encore plus quand on comprend qu'elle s'est sacrifiée, et encore plus quand on réalise que sa vraie malédiction c'est... d'avoir été ressuscitée...

Et tout ça, sera traité dans le futur de la saison. Je n'ai pas encore abordé la partie de lore lié au passé de la série, qui est superbement inattendu, à savoir : l'explication du visage du Douzième Docteur.

La scène de Donna dans Fires of Pompeii est incrouable, et le flashback lui rend honneur. J'ai adoré également le rappel à Deep Breath à travers le miroir formé par l'eau, le réalisateur a vraiment été ingénieux sur ce coup, puisque c'est dans ce passage du premier épisode de Twelve qu'on a évoqué justement le fait que ce visage lui dit quelque chose.

D'ailleurs, le fait de voir des flashbacks de Pompeii quand le Docteur regarde dans l'eau fait un parallèle subtil à l'expression "Fire in the Water", cruciale dans l'épisode, qui prend clairement un double-sens méta, comme un pont à travers deux ères et deux épisodes que tout oppose sur le papier (un village insignifiant VS le village le plus tristement connu de l'époque antique). Evidemment, la ligne de Donna "Not the whole town. Just save someone" rend parfaitement bien en contexte dans cet épisode, qui présente la même situation avec même Clara qui répète la phrase "Just one village ?" avec étonnement. Cela me fait dire que finalement The Girl Who Died était le meilleur moment possible pour exploiter ce filon, et démontre aussi à quel point Twelve a évolué.

DOCTOR: I know where I got this face, and I know what it's for.
CLARA: Okay, what's it for?
DOCTOR: To remind me. To hold me to the mark. I'm the Doctor, and I save people.

Ce Docteur en proie aux doutes depuis le début de son run, est vraiment en train de se trouver et de se positionner comme un superbe Docteur bienveillant et exemplaire.

L'explication s'inscrit très bien dans la mythologie du show actuelle (revisiter les visages volontairement, est un peu ce qui justifie l'apparition de Tom Baker dans le spécial 50 ans dans un rôle de conservateur). Le statu quo reste bien en place mais avec un certain regard nouveau. On nous rappelle toutes les conséquences de modifier l'histoire, des "règles" que le Docteur suit mais ne mentionne jamais (notion déjà introduite dans la scène d'intro, et qui refait surface quand le Docteur explique qu'il ne peut pas rester pour faire la guerre), et surtout les "ripples and tidal waves" que l'on avait déjà mentionné dans les deux histoires précédentes. Cette impossibilité de déjouer le temps et la mort constitue en fait un autre des thèmes du fil rouge de la saison, avec l'hybride ou la Doctorisation de Clara.

Autre point, très important : le rappel de l'"hybride" est une excellente surprise et fait vraiment mouche car personnellement j'avais pensé à tout sauf à de l'immortalité pour Ashildr, ou en tout cas, je n'avais pas imaginé que l'arc de l'hybride prendrait de l'importance si vite. La scène de fin est absolument magnifique. Le plan 360° avec un paysage nordique lumineux et et une Ashildr revigorée, qui tourne progressivement tandis que le visage de cette fille qui ayant reçu l'immortalité s'assombrit... Le jeu de Maisie Williams est parfait, sans dire un mot. Malgré mes craintes sur l'actrice, elle dégage un certain charisme derrière un mal-être d'une fille trop jeune pour son âge, qui colle parfaitement à ce personnage mis à l'écart et pourtant crucial. La musique, déjà de haute qualité dans l'épisode, est excellente. On voit défiler sous nos yeux toute l'histoire d'une vie dans l'arrière-plan, alternant progressivement entre surprise à l'annonce de l'hybride, joie de la voir vivante, et frayeur lorsque l'on réalise les conséquences que cela implique. En une minute, l'épisode fait le lien avec l'arc de la saison et nous laisse entrevoir tout le potentiel d'une intrigue basée sur le Docteur qui a créé une immortelle. Voilà comment faire un cliffhanger réussi. Ce plan final est un pur chef d'oeuvre !

Le concept de l'immortalité étant hyper prometteur si la série décide de l'aborder de manière plus sérieuse qu'elle ne l'a fait avec son personnage issu d'un cartoon (pour adulte), Jack Harkness. Le Doc regrette et fuit - un peu à la manière de sa réaction face à Jack dans The Parting of the Ways pour le coup, mais surtout, il donne une deuxième puce pour qu'elle se sente moins seule ce qui fait un rapprochement avec sa situation avec les humains avec qui il accompagne (et qui permet en plus de lier tout ça à Clara et à son départ inévitable qui risque d'avoir des conséquences chaotiques pour le Docteur). En clair : tous les arcs s'imbriquent vraiment bien entre eux et donne une vraie consistance à la saison dans sa globalité. C'est extrêmement bien ficelé du point de vue showrunning et cela ne sonne pas forcé dans le récit, tout ça pour dire que je suis très impatient de voir The Woman Who Lived en action. Rien que le trailer annonçant un épisode Clara-lite avec une Ashildr aigrie par la vie me semble être un super bon pitch d'épisode.

L'épisode n'est évidemment pas parfait. Il y a cette puce qui rend Ashildr immortelle, "récupérée de la technologie des Mire", qui n'a aucun antécédent dans l'épisode. Qu'importe en vrai, ce qui compte ici c'est surtout la moralité des actes, et l'impact énorme qu'a une histoire en apparence détachée, ce qui lui donne un peu une nature... d'hybride (eheh).

En résumé, The Girl Who Died n'est pas parfait mais est un exemple en la matière. C'est un petit bijou comique plus intéressant qu'il ne le laisse apparaître. Très bien écrit, avec des thèmes intéressants et intelligemment liés à la saison et à nos personnages, l'ensemble possède plusieurs degrés intéressant et reste un épisode poétique, drôle et touchant, ce qui résume Doctor Who.

DOCTOR Immortality isn't living forever. Immortality is everybody else dying.

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Avatar ClaraOswald ClaraOswald
Membre
Avis favorable Déposé le 18 octobre 2015 à 23:44

Excellent épisode, très poétique.

Meilleur que In the Forest of the night qui était déjà bien sympathique, hâte de voir la seconde partie.

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Avatar 4evaheroesf 4evaheroesf
Membre
Avis défavorable Déposé le 18 octobre 2015 à 22:44
Spoiler

Il y avait de l'humour, mais malheureusement, ça ne suffit pas à remplir un épisode ni à le rendre bon.

Quand au visage du Docteur, ça ne m'a jamais intéressé, mais c'est sympa d'y avoir répondu.

Heureusement, Maisie Williams s'en tire avec le peu qui lui est donné.

Bref, cet épisode ne sert que pour son final (le tourbillon était moche...) et son lien avec le prochain épisode.

P.S : j'avoue que mon coeur a fait un bond juste en voyant Ten et Donna.


Avatar Jasper Jasper
Membre
Avis neutre Déposé le 18 octobre 2015 à 19:55
Spoiler

Ceci n'est pas un épisode. C'est une longue intro pour la 2ème partie, avec 3 minutes à la fin censées nous rendre ultra impatients d'être au samedi suivant, balancées n'importe comment, et qui seront supposément justifiées au prochain épisode.

Ben non, ça ne marche pas pour moi. Chaque épisode, fut-il une première partie, doit se tenir un minimum et ce n'est pas le cas ici.

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13 mars 2022
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