Les avis précédents ont bien mis en avant le défaut de l'épisode : à part comme exercice de style pas trop mal réussi, l'hommage au "Voleur de Bicyclette" n'apporte en fait pas grand chose à l'histoire.

Sinon c'est pas désagréable à regarder donc je ne serai pas trop méchant pour cet épisode.

Un plaisir de retrouver la série, qui, à défaut d'être à New-York, pose ses valises en Italie et rend hommage au pays et à son "Voleur de Bicyclette").

C'est en tout cas plein de charme, et l'ensemble reste toujours aussi attachant, mais c'est un peu un épisode pour un épisode. C'est assez superflu au final, malgré quelques éléments bien trouvés (le portable, notamment).

C'est crédible, mais pas forcément utile.

Allora ! Un bon retour pour une de mes séries favorites. Le premier épisode est un épisode hommage tout du long, dans un décor de carte postale. Il ne s'y passe pas grand-chose mais on prend plaisir à retrouver Dev dans son nouvel environnement.

Chapeau à Ansari d'avoir appris l'italien d'ailleurs !

Mon coup de cœur de l'année prochaine est revenu.

Au début, j'ai eu du mal à re-rentrer dedans, le noir et blanc était un peu superflu, il y avait un côté carte postale des clichés italiens et le gamin jouait comme une patate.

Puis, c'est devenu frais et léger comme une balade en vélo sur des pavés, parmi les vespa, les fontaines et les terrasses des cafés.

Et Master of None continue à énoncer sans fard des vérités ; en Italie, avec leurs glaces et leurs pizzas, on prend rapidement du bide.

Cela fait plaisir de retrouver Dev, qu'on avait laissé dans un avion en partance pour l'Italie.

Cet épisode avait pas mal de charme, mais m'a un peu laissé de marbre. Déjà, le noir et blanc, ce n'est pas mon truc. L'ambiance caliente non plus. Et puis, je trouve que le gamin surjoue quand même beaucoup.

Pour autant, je me suis laissée embarquer dans l'histoire, et Aziz Ansari est tellement touchant que ça fonctionne bien. Pour autant, je suis pressée qu'il retourne à New-York !

Aziz Ansari fait un remake plan par plan du Voleur de Bicyclette, en citant explicitement le film dès le premier.

Ca ne manque clairement pas de charme et parfois les parallèles sont bien trouvés (les téléphones portables ), mais c'est assez maladroit et un peu (beaucoup) vain.