Ah d'accord, mais vous tenez VRAIMENT à mettre la barre aussi haut dès le deuxième épisode de la saison ?

Parce que là, c'est très très fort.

Tout d'abord, j'applaudis la première moitié de l'épisode qui nous prouve que la série n'a rien perdu de son humour, contrairement à ce que pouvait laisser croire l'épisode précédent. Dans un univers toujours plus sujet au chaos et au désespoir, Aku, responsable de tous les maux de la série, incarne finalement le comic relief de la série. Et il le faut merveilleusement bien. J'avais peur que les scénaristes ne réintègrent le grand seigneur du mal que bien plus tard dans la saison, c'est donc avec plaisir qu'on retrouve cette nemesis au design si particulier.

Mais cette excellente séquence humoristique (le psy, genius) n'est rien comparée à la seconde moitié de l'épisode. J'ai rarement été aussi à cran pour le destin d'un personnage, tant la violence des coups et le désespoir de cette traque au Samurai sont brillamment retranscrits à l'écran. C'est un festival, d'une beauté ahurissante, d'une tension magistrale, avec en plus une évolution pour le personnage de Jack qui est amené à tuer un humain pour la première fois de sa vie.

Il y aurait tant de choses à écrire sur cette série.

C'est formidable, vraiment.

WATCHA !