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Une petite cure de rappel ne fera de mal à personne après ce long mois d’absence pour la série phare d’ABC... Dans les précédents épisodes, Callie est tombée enceinte et va élever son bébé avec Mark et Arizona, qui sont en conflit perpétuel. De plus, Adèle a été diagnostiquée comme Alzheimer, Lexie sort avec Avery tandis que Stark a dévoilé ses sentiments à April.
Un épisode de transition
Ce long mois d’absence sans notre compagnie au Seattle Grace n’a néanmoins pas empêché à la vie de l’hôpital de suivre son cours.
Ainsi, nous nous retrouvons au début de l’épisode avec une Callie à 23 semaines et demi de grosse. Une baby-shower est alors organisée à l’approche de l’accouchement, celle-ci étant une nouvelle fois un sujet de discorde entre Arizona et Mark. J’avoue que ce petit « ménage à trois » commence un peu à m’ennuyer (pour rester poli…). Mark n’est plus lui-même à cause de cela : c’est comme si Barney se mariait et avait des enfants dans How I Met Your Mother, c'est inenvisageable ! Néanmoins, le cliff va surement permettre de relever le niveau de l’intrigue entre ces trois personnages… En espérant que ce ne soit pas un coup tordu (exemple : -Spoiler- c’est la voiture de devant qui a eu un accident et pas Arizona ! –Spoiler-).
Du côté de chef Webber, l’inquiétude est de rigueur après la découverte de la maladie d’Adèle. Le Chef de la chirurgie va alors tout faire pour que Derek accepte sa femme dans son essai clinique. Un grand moment d’émotion s’en suit dans cet épisode, qui illustre bien le désespoir devant lequel peuvent se retrouver les personnes atteintes de cette maladie.
Espérons que Meredith va abandonner l’art abstrait...
De plus, Grey’s Anatomy ne serait pas sans ses éternelles histoires d’amour : ainsi, la relation Ellie / Bailey est quelque peu approfondie dans cet épisode, avec notamment les problèmes que posent leur situation professionnelle et personnelle. De même, le couple Lexie/Avery m’a fait rire grâce à April qui n’en peux plus de les voir exprimer leur amour sincère et véritable sur tous les meubles de l’appartement ! Je suis franchement content que April et Avery soient mieux utilisés que dans la précédente saison car ces deux personnages méritent réellement d’être approfondis ! De plus, la relation entre April et le docteur Conrad est extrêmement surprenante, mais mérite t-elle d’être développée dans la suite de la série ? Pas sûr…
Et ce que tout le monde attendait s’est enfin produit puisque Alex a enfin embrassé la belle Lucy, ce qui au vu des derniers épisodes apparaissait comme un des éléments incontournables de cette fin de saison. Il faut maintenant voir ce que leur relation va donner dans le futur. Pour finir, la relation Teddy/Henry commence à être approfondie même si les deux individus se cherchent toujours. La finalité de leur relation dans la suite de la saison fait peu de doute.
Enfin, l’épisode traite encore une fois de la place de chef des internes tant convoitée, et qui donne lieu à des scènes sympas (on pense notamment à la scène avec les toilettes…). La fin de l’épisode nous permet de nous rapprocher de la solution de ce « problème » sans nous donner réellement l’issue finale : le suspense reste donc toujours entier !
Un épisode de reprise donc, surtout centré sur le développement des relations entre les différents personnages et non sur des intrigues purement médicales, mis à part le problème de l’Alzheimer d’Adèle qui, espérons-le, sera parfaitement traitée dans la suite de la série. Cet épisode est un peu terne au niveau du rythme mais reste tout même plaisant à regarder, avec quelques scènes qui nous font sourire ou nous rendent tristes. On attend désormais avec impatience l’épisode de la semaine prochaine, qui crée un véritable buzz, puisqu’il s’agit du fameux épisode musical !
Ce que j’ai aimé :
- le désespoir d'April face à la relation Lexie /Avery
- l’intrigue « Alzheimer » autour d’Adèle
- l’intrigue sur le poste des internes amène à des scènes loufoques qui font rire
Ce que je n’ai pas aimé :
- ral-le-bol du trio Arizona/Callie/Mark, ennuyant comme ce n’est pas permis !
- plus de mamour que de véritable médecine
Ma note : 13/20