Critique
Une famille étrange, une grossesse, une agression et des jalousies. Une journée ordinaire à Wisteria lane ?
Critique
Une famille étrange, une grossesse, une agression et des jalousies. Une journée ordinaire à Wisteria lane ?
Critique
Il n'aura donc pas fallu attendre longtemps après l'épisode confirmant que Dollhouse a encore bien des faiblesses, malgré une notable remontée en qualité récemment. Au programme du jour : rediffusion de l'épisode précédent, dans une version entièrement retouchée.
Critique
Lauren tapine, Jonah et David se disputent, Sydney se fait une amie et Violet manipule ses collègues
Critique
J’avais promis moins de partialité dans mes critiques de Dexter, je vais enfin mettre en application ces menaces puisque cet épisode n’est, dans l’ensemble, pas très bon. Et une désagréable impression de « point mort » se fait quand même cruellement ressentir après le visionnage de l’épisode. Voyons voir ce qui cloche en 4 actes :
News
ABC vient de commander les saisons de ses nouvelles séries : FlashForward, Modern Family, The Middle et Cougar Town.
Dossier
Comment le monteur de 24 intègre-t-il les split-screen ? Pourquoi ? Comment ? Le split-screen nous paraît aujourd’hui logique tant le procédé est récurrent, il est totalement intégré dans l’inconscient du spectateur. Il permet à la fois de faire des ellipses, de suivre des conversations à distance etc … Le split-screen est devenu une norme, un B-A BA qu’on ne doit pas imputer à 24, c’est un procédé très ancien mais nous nous servirons de 24 comme cas d’école. Cette série nous permettra de répondre à toutes ces questions que nous ne nous posons plus dans le procédé est tellement limpides qu’on en viendrait à se demander pourquoi nous avons pu vivre sans !?
Dossier
Dans nombre de séries humoristiques, le cadrage est souvent dépersonnalisé, distant et ne met pas les personnages en valeur. La primeur va à la richesse des dialogues, à la mise en place de l’humour. Celui-ci est généré les ¾ par des mimiques et des faciès disgracieux ce qui explique en partie que l’aspect technique ne soit pas davantage mis en valeur.
Dossier
L’analyse de séquences que nous proposons aujourd’hui concerne les génériques. Il va de soi que parallèlement à l’évolution des séries dans une perspective globale (technique, budget, …), le générique a lui aussi bénéficié d’une hausse de qualité par rapport à ses paires des années 80-90. Si lorsque vous regardiez MacGyver, vous pouviez vous contenter de regarder le générique qui proposait ni plus ni moins les meilleurs moments de la saga (Il en va de même pour Magnum, l’homme qui tombe à pic et consorts, …), il ne fallait pas en faire une généralité (Il n’y avait pas de générique dans Columbo). En fait, je crois que je dois préciser cette notion galvaudée de générique. Si l’on en suit wikipédia, voici la définition : « Le générique (ou credits en anglais) recense l'ensemble des personnes physiques ou morales qui ont participé à la création d'une œuvre cinématographique et présente leurs noms au début ou à la fin du film. ». Je vais donc qualifier l’objet de notre analyse d’opening qui se limite donc au cas particuliers de l’introduction de la série et non la fin, le terme « générique » pouvant créer un quiproquo. Sans plus attendre, étudions un premier cas (la liste des séries sélectionnées ne prétend pas établir des distinctions en termes de qualités pouvant les opposer aux séries non représentées, il s’agit tout simplement de cas pertinents qui ont été sélectionné en fonction de leur facilité d’accès).
Focus
Bienvenue à tous pour ce dossier sur cette série mythique qu’est le prisonnier. Mythique pour la simple et bonne raison que tout le monde en a déjà entendu parler mais que personne ne l’a vue. Et pourtant, voilà une œuvre portée par Patrick McGoohan, qui est tout simplement universel, en avance sur son temps, et surtout, qui est une véritable métaphore exposant subtilement la société humaine.
Dossier
Un an s’est écoulé depuis que l’on m’a parlé de la série six feet under, la qualifiant de série absolument formidable, magnifique, touchante, drôle, avec la meilleure fin de tous les temps, et je préfère passer rapidement sur toutes ces citations dithyrambiques, car pour moi, tout simplement, elle ne les mérite pas.