Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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Avis sur l'épisode 5.01
Avis favorable | Déposé le 24 août 2013 à 21:56 |
C'est le pilot parfait de la série. Voire l'épisode parfait tout court ? Parce que Matt Smith, Steven Moffat et Murray Gold sont géniaux. Et parce qu'il réunit à la fois toute l'essence du show, tout en renouvelant complètement ce dernier, que ce soit au niveau de l'ambiance, du ton, du message, de l'esthétique. C'est à la fois la naissance d'une nouvelle ère, celle des contes de fée, des teintes bleues, d'un rapport entre Doctor Who et l'enfance. Mais également les fondations de ce qui est l'une des meilleures saisons de Doctor Who, et aussi un épisode en soi excellent, avec plein d'idées dans la mise en scène, dans le scénario, jusque dans sa résolution ingénieuse. L'épisode pourrait se faire appeler "Doctor Who - The Episode" facilement. Quiconque regarde cet épisode et n'accroche pas directement à la série, raterait plus ou moins tout le sel de celle-ci. Qu'on le prenne comme un épisode de Doctor Who, un opener d'une saison dantesque, ou un bouleversement complet du show, The Eleventh Hour est un petit bijou de télévision qui possède énormément de profondeur dans un script en apparence simple. Que l'on soit amateur, connaisseur, fan lambda, fan d'une ère, fan d'un Docteur, fan d'un scénariste ou fan tout court, vieux de la vieille ou enfant à émerveiller.
Il y a tellement de scènes qui ont un sens en ayant vu le passé de la série, notamment cette suite épique sur le toit de l'hôpital. Mais en même temps il y a tellement d'éléments qui sont déterminants pour toute la suite de la saison, de l'ère de Matt Smith, voire de la série. Le tout dans une histoire tantôt intimiste - le premier quart d'heure de l'épisode constitue en un jeu d'acteurs à 2 entre le Docteur et sa future compagne Amelia Pond, tantôt démesurée avec le passage du prisonnier Zéro. Jamais un épisode n'aura aussi bien défini son Docteur immédiatement, et je crois que c'est ultimement ce qui a entièrement forgé le Docteur de Matt Smith. Je n'ai jamais vu quelqu'un accrocher à ce Docteur ailleurs que dans ce premier épisode : quel exploit que de parvenir à presque faire oublier David Tennant dès ses premières scènes ! Je pense aussi que le fait d'avoir tourné cet épisode non pas en premier mais un peu après, a grandement bénéficié à tout ce lifting.
Toutes les scènes et tous les dialogues possèdent cette sorte de poésie que Steven Moffat a su apporter au show. Parfois, cela sert un propos scénaristique ("There's a crack in my wall."), parfois cela tient de la métaphore (l'épisode prend le temps de s'arrêter sur une marre au canard qui n'a pas de canards), parfois cela est directement destiné au spectateur. Ce dernier point est encore une autre relative nouveauté apporté par cet épisode : l'intégration claire et nette du méta dans la série. Un des exemples les plus subtils et efficace est la façon dont le Onzième Docteur promet de ramener les fans de la première heure qui ont grandi et qui n'ont plus l'esprit à voyager avec ce nouveau Docteur, avec ce fantastique dialogue :
Et par ce biais, l'épisode réalise également probablement la plus belle introduction de toutes les compagnes, avec une idée pourtant si simple : celle de faire rencontrer le Docteur d'abord du point de vue de la jeune Amelia, avant de la faire grandir. Amy connaît donc déjà le Docteur puisqu'elle a rêvé de lui toute son enfance. Mais d'un autre côté, elle ne sait encore rien du nouvel homme en face d'elle, qu'elle n'a connu que quelques heures. Exactement comme le spectateur, qui pense à la fois déjà tout connaître du personnage, mais ne sait encore rien d'Eleven. En trente minutes, Steven Moffat créé toute une mythologie autour de son Docteur, sa compagne, son ère. Magistral. The Eleventh Hour peut paraître banal comme ça. Il est vrai qu'au premier abord on voit peu de choses qui justifierait une note le hissant parmi les meilleurs épisodes de l'histoire. Pourtant, rétrospectivement, il apporte tellement de choses à la série. Ce n'est pas le genre d'épisodes à nous foutre une claque dès qu'on le voit. C'est le genre d'épisodes à nous foutre une claque plus tard, quand on réalise de tout son génie. Je pense qu'on ne fera jamais meilleure introduction de Docteur ou d'ère. |
Avis favorable | Déposé le 02 novembre 2012 à 20:56 |
Bon épisode pour ce début de saison 5. Je me suis remis aux VOSTFR pour cette saison et j’avoue avoir eu du mal. J'espère que cela ne m'a pas empêché de comprendre l'épisode. Du coup, j'étais plus centré sur le scénario que sur Amy et le Docteur. Niveau scénario, il est correct même si il a plusieurs défauts. Ensuite, niveau Docteur et Amy je n'ai pas eu l'occasion de bien les analyser mais d'après ce que j'ai vu je pense que leurs personnages sont excellent. Je met donc 14 de manière à mettre plus si les épisodes de la saison sont meilleurs ou moins s'ils sont inférieurs. |
Avis favorable | Déposé le 04 septembre 2012 à 19:07 |
le premier épisode de matt smith et il est remarquable, on adore tout de suite son personnage et on adore l'histoire qu'il a avec la petite amy. cest pourquoi on en redemande! encore! encore! |
Avis favorable | Déposé le 04 mars 2012 à 21:51 |
Pas grand chose à rajouter. Matt Smith et Amélia sont très bon, l'intrigue était sympa, et l'épisode regorgait de bonnes idées et de bons moments. En fait, l'épisode est selon moi très bon (bien que je ne l'ai pas trouvé énormissime comme apparament beaucoup d'entre vous), mais par contre, ce qui m'a gâché un peu le plaisir c'est que ça va à 1000 à l'heure (sans doute l'épisode le plus tonique de la série, à un rythme auquel on n'était que rarement [jamais ?] habitué dans la série auparavent), et que pour tout suivre, bonsoir ... J'ai d'ailleurs du le visionner une deuxième fois pour tout bien capter. Et un autre détail qui m'a un peu gêné, ils nous donnent pas la fin de la saison dès cet épisode ? Car pour avoir vu les 2 suivants, j'ai peur d'avoir tout capté (ou du moins, une bonne partie) du final avant l'heure, et si c'est le cas je risque d'être bien déçu par la saison ! |
Avis favorable | Déposé le 15 janvier 2012 à 21:19 |
Un bon épisode: prenant, humoristique, avec la dose de nanard qui sied si bien a DW. Matt Smith nous campe un nouveau docteur très sympathique et Karen Gillian est, comme ils le disent si bien dans Bref: "Bonne! Bonne! Bonne!". Bref j'attend de voir la suite de cette saison pour voir ce que ça va donner. |
Avis favorable | Déposé le 21 décembre 2011 à 14:30 |
Après avoir revu l'épisode sur grand écran plat (non, on ne fait pas dans la demi-mesure avec moi), ce season premiere envoie vraiment du lourd. Tout est awesome, le Doctor, Amy (c'est la Amy badass qui me plaît, pas la nunuche qu'on nous a laissé dans la saison 6), bon Rory, on va oublier, on sait qu'il va devenir awesome aussi. C'est drôle, y'a du suspens, y'a de l'émotion, et puis franchement, la scène finale sur le toit quoi, comment ne pas aimer Eleven après une telle démonstration de swagger et de awesomeness (parce que je suis bilingue aussi - jamais dans la demi-mesure). C'est du Doctor Who comme on l'aime, un des meilleurs épisodes de Eleven, chapeau à Monsieur Moffat. |
Avis favorable | Déposé le 16 octobre 2011 à 02:03 |
LE season premier absolu. C'est bien simple : rien n'est raté dans cet épisode, que ce soit les acteurs (Matt Smith en une seule scène démontre que Moffat a eu raison de lui faire confiance), les plans, la lumière et surtout la musique. Sur ce dernier point, le final sur le toit avec Eleven traversant les précédents Docteurs sur le grandiose morceau Morray est un monument d'épique. L'épisode est d'ailleurs tellement réussi qu'il porte le reste de la saison à lui tout seul. Moffat est-il un génie ? Après cet épisode, on peut le penser. |
Avis favorable | Déposé le 11 octobre 2011 à 23:08 |
Un très bon début de saison. Nouveau Docteur, nouvelle campagne et surtout...nouveau TARDIS. On est bien loin du Kitch des tous premiers épisodes, et ça passe très bien. Et Koss sera comptant: C'est vrai que Amy est plutôt pas mal |
Avis favorable | Déposé le 09 août 2011 à 02:34 |
Le nouveau doctor me plait vraiment. Il est rythmé, il a une tête de gentil-marrant, il a une gestuelle qui bouge bien. L'épisode en lui même était normal mais la réalisation était superbe. Beaucoup de nouveaux éléments introduits, j'ai du louper les détails pour la fin de saison mais je suis très attentif. On a même eu droit à un clone de Awesome ! Sinon parlons sérieusement : je vais devoir demander à CAD de mettre un 21 au cas où Amy (j'adore ce prénom) nous promette de mettre ses habits de soubrette ou d'infirmière. Déjà en policière c'était beau beau beau. Elle va avoir son importance au moins autant que Donna. J'espère juste qu'elle restera plus longtemps qu'elle. Elle est ultime, une entrée fracassante dans mon Top 3 ! Je risque de ne plus être objectif ! J'espère que la série continuera dans cet optique comme Goulou. P.S.: Putain de site de merd* ! CAD, je peux pas mettre un commentaire long sans qu'il soit rejeté car j'ai mis trop de temps. |
Alors c'est peut-être le fait de l'avoir vu sans sous-titres aucun alors qu'il n'y a pas de temps mort et que les dialogues sont sur un rythme soutenu. Ou est-ce d'avoir quitté Tennant les larmes aux yeux, de connaître bien les trucs et astuces de Moffat sur les petits détails (déjà expérimentés dans Coupling et Sherlock) ? Toujours est-il que je ne le trouve pas si dingue que ça, ce (presque) pilot.
Très bien, oui. Mais pas dingue. Matt Smith est chouette, Amy est chou et elle a du caractère, l'intrigue est sympa, il y a une part de mystère et ça vaut bien 15.
Après peut-être que je réviserai ma note une fois que j'aurai regardé la saison dans son intégralité et dans l'ordre. Mais c'est un bon début !