Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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Avis sur l'épisode 8.07
Avis favorable | Déposé le 06 octobre 2014 à 23:38 |
Un épisode très sympathique ! Visuellement et musicalement très réussi (même si j'aurais apprécie plus de nouvelles compositions), un personnage secondaire très bien interprété et écrit. Le dilemme qui s'oppose est extrêmement intéressant et la réaction du Docteur... troublante. La scene finale est prenante, c'est la première fois que ça arrive dans la série, c'était osé et réussi. Cette saison fait pour moi un sans faute (Même l'épisode de Gatiss était sympathique sur certains points) |
Avis favorable | Déposé le 06 octobre 2014 à 22:40 |
Je le savais.Courtney était pas bonne. Du tout. Malgré quelques idées dans le personnage (apporter de l'innocence, sans doute), elle reste totalement insupportable en plus d'être très mal jouée. (Elle est censée être effrayée (je dis bien censée, parce que ça transparait pas tellement sur son visage) et deviens joyeuse et joueuse 10sec plus tard. Je me demande si elle a pas pris des cours auprès d'Angie de la S7.) Sinon l'épisode est étrangement baclé sur les bords. Entre l'introduction du Docteur auprès des personnages secondaires complètement crédules qui dure tout au plus, une minute 30 et les araignées qui sont là finalement que pour le décor, l'épisode a beaucoup de mal à démarrer. Cependant, le dilemme est très bien fichu avec une réaction venant du Docteur qui peut se révéler assez surprenante, changeant alors complètement la relation qu'il a avec Clara. (Capaldi et Coleman sont parfaits.) |
Avis défavorable | Déposé le 06 octobre 2014 à 19:33 |
http://www.quickmeme.com/img/60/6036d66841613bc53140737c81115f7e0b0a399a720c91fb077737cf87592867.jpg Avec cet épisode, Doctor Who a réussi ce que je pensais absolument impossible avec pour une pareille série : réduite à néant la suspension de l'incrédulité. "It was cheap, It was pathetic. It was condescending". Merci Clara. |
Avis favorable | Déposé le 05 octobre 2014 à 21:26 |
Spoiler
Un peu déçu quand même. La faute à un rythme et à un ton un peu bancals, qui soufflent le chaud et le froid en permanence pour légèrement finir dans le mur. Si l'intrigue de l'épisode est vraiment bien trouvée (il fallait oser traiter cette histoire avec sérieux), je dois avouer que je ne me suis pas senti très impliqué par le dilemme proposé aux personnages, pour la simple et bonne raison que la résolution semblait courue d'avance (mais pas le deus ex-machina ridicule qui s'en est suivi). Il y a de beaux morceaux, l'extinction de la planète, l'attaque des araignées, la révélation sur la Lune, le départ du Doc ... Mais l'épisode aurait pu recentrer son récit en évitant quelques erreurs un peu lourdingues. En premier lieu, Courtney, qui s'avère tout aussi inutile que dans l'épisode précédent. Je ne vois vraiment pas ce qu'elle apporte au récit, pas même le moindre argument lors du dilemme final. Si en plus c'est pour mettre des blagues à base de tumblr ... Ensuite, la résolution de l'intrigue, que je trouve catastrophique. Je ne supporte pas quand Dr Who déresponsabilise ses protagonistes en leur donnant raison par une Deus ex-Machina. Quitte à avoir recours à un rebondissement, je pense qu'il y avait plus judicieux à trouver que "elle a pondu un nouvel oeuf !", une façon vraiment ridicule de conclure l'histoire à l'arrache, sans laisser les personnages assumer leurs choix. Cet épisode est donc une semi-déception puisqu'il ne tient pas du tout les promesses que laissaient entrevoir le dilemme proposé aux personnages. C'est trop facile pour que je sois satisfait. Heureusement, le personnage du Docteur est tout à fait fascinant, très justement interprété et écrit. J'ai hâte de voir la direction qu'il va prendre dans les prochains épisodes. En conclusion, un postulat intéressant, un épisode qui tient la route techniquement, mais qui s'embourbe dans son dernier tiers au niveau du scénario. Un bon moment, en définitive, mais à nous promettre la Lune, la déception ne pouvait qu'être au rendez-vous. |
Avis favorable | Déposé le 05 octobre 2014 à 16:05 |
Spoiler
Un des épisodes les plus délirants jamais fait et en même temps l'un des plus sombres de l'histoire avec des questions morales intenses et le thème des "conséquences" abordé le long de l'épisode. Un vrai tour de force. Mais commençons par le commencement. L'aventure démarre par une scène pré-générique flashforward, procédé qui a déjà fait ses preuves par le passé (Silence in Library, The Name of the Doctor) et qui ici est une fois de plus excellente.
Non contente de briser le quatrième mur, la scène veut nous faire croire plusieurs choses que l'épisode veillera ensuite à démanteler. Le dilemme moral ne concernait absolument pas Courtney comme la phrase "an innocent life VS the future of all mankind" pouvait nous le faire croire. Le Docteur ne les a pas abandonnées après avoir sauté dans un cratère. Non non, aucun rapport, cette scène d'intro était là uniquement pour nous mener sur des fausses pistes. L'épisode se révèle être facilement le standalone le plus imprévisible de l'histoire en général.
Il commence par emmener une enfant visiter les étoiles afin de la faire sentir spéciale. C'est déjà lourd de symbolisme dans une histoire à propos de l'humanité et son rapport à l'alien, mais je vais garder mes interprétations pour plus tard. Si l'intégration de Courtney dans le scénario fonctionne, c'est car on l'avait bien introduit avant, ce qui permet d'éviter l'effet "Angie et Artie" de la saison 7. Courtney va de plus apporter beaucoup à l'histoire, mais j'y reviendrais. Direction la Lune. Ou plutôt une navette qui se crashe en direction de la lune. Steven Moffat avait demandé à Peter Harness : "Hinchcliffe the shit out of it for the first half". Hinchcliffe, c'est le producteur de Doctor Who depuis The Ark in Space jusqu'à The Talons of Weing-Chang, englobant donc les trois premières saisons de Four dans les années 70. Trois saisons où la série n'a jamais été aussi populaire auprès des fans et aussi bien reçues par les critiques. Un "âge d'or", en somme (moi en tout cas, c'est ma période préférée de la série classique). Et surtout trois saisons où le show est devenu bien plus noir et effrayant pour les enfants. Des plaintes contre la BBC ont été faites, et le cliffhanger de The Deadly Assassin où l'on voit le Docteur maintenu la tête sous l'eau, s'étouffant, a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, entres autres. Hinchcliffe se fait remplacer et le show deviendra beaucoup plus friendly par la suite.
(la première partie de l'épisode contient déjà pas mal de messages avant-coureurs qui prennent une délicieuse seconde tournure quand on revoit l'épisode...) Steven Moffat voulait donc une première partie à la Hinchcliffe. Pari totalement gagné. Une lune aux décors poussiéreux assez magnifique pour la série, les carcasses d'un équipage dans leurs combinaisons, piégés dans des toiles d'araignées (les épisodes de l'ère Hinchcliffe ont de nombreuses similitudes avec Alien également) et les propriétaires de ces toiles ayant envahi le territoire. Malgré un temps à l'écran réduit à cette première partie d'épisode, ces araignées ont été extrêmement bien mises en scène : CGI réussis contrairement à beaucoup de monstres de la série, bruitages à vous glacer le sang, les deux astronautes "chair à canon" sont tués très vite de manière assez horrible... Enfin la réalisation regorge de bonnes idées (la caméra à l'intérieur du casque). Bref en somme, on a eu 20 minutes d'épisode classique, au cours duquel on a malgré tout des présences purement NuWho comme l'actualisation de la notion de point fixe, histoire que l'on saisisse nous aussi l'ampleur considérable de la situation. Il y a un petit côté "The Waters of Mars" à la fois dans la base et surtout dans le fait de présenter le futur comme historique au même titre que le passé. Ce sont, à ce jour, les deux seuls épisodes à faire ça, il me semble. Et j'aime beaucoup tout le lore que l'épisode créé autour de l'exploration humaine de l'espace. Il est rare que le lore de Doctor Who soit aussi cohérent sur deux standalones aussi éloignées !
Seulement, toute histoire a son point de retournement. Pour Kill The Moon, c'est à peu près autour de 24 minutes, à la moitié de l'épisode. Après nous avoir déjà balancé plusieurs mystères dans la tête qui sont censés nous donner des indices (les araignées, le liquide amniotique, la gravité), on lâche LA révélation : la lune est un oeuf... A cet instant l'épisode bascule complètement et choisit une direction complètement téméraire et jamais vue dans le show. Le ton dans un premier temps encore plus comique et ubuesque que tout ce qui précède (la réaction "Uh ?" de Clara est super drôle), devient en effet beaucoup plus grave et tout en gardant un fond de SF, s'inscrit beaucoup dans des débats et des dilemmes. Et c'est plutôt flippant :
(scène qui fout les jetons et qui est suivie d'un long silence qui, à la manière de Midnight lorsque la créature prend le pas sur le Docteur, change le cours de l'épisode et te fait dire "putain c'est là que tout ceci va mener...") Le titre jusque là absurde prend tout son sens et de sérieuses questions sont soulevées. Idées géniales comme les lumières pour l'humanité, dialogues percutants qui illustrent totalement en quoi le Douzième Docteur est si différent ("The Earth isn't my home. The moon's not my moon. Sorry"), on reste suspendu la bouche bée pendant 20 minutes et c'est magique. Tout prend son sens, même Courtney, qui devient étonnamment sympathique et qui cesse d'être humoristiquement irritante, pour devenir une vraie voix. Elle apporte un point de vue "innocent" mais pur, très intéressant à l'histoire, et qui contrebalance bien celui de Clara face à Lundvic. C'est surtout Hermione Norris qui livre une prestation fantastique et Lundvic qui est un des guests les plus intéressants que l'épisode aurait pu nous proposer. Son point de vue se tient et son discours sur l'atmosphère terrestre et la vie est magnifique. Elle joue le rôle de la pragmatique, la rationnelle, celle qui veut tuer la créature, qui est ouverte à la discussion mais largement partiale et qui considère que les deux autres femmes en présence - surtout Courtney - n'ont pas leur mot à dire et ne savent pas de quoi elles parlent. Quant à Clara, elle est celle dépassée par la situation, mais qui tente malgré tout de trouver des solutions plus clémentes, tentant d'arbitrer l'ensemble, malgré son absence de repères... car son repère l'a lâchée. Tout ça est bien évidemment causé par autre chose : le Docteur se paye le luxe de retenir toute l'attention... car il se casse. Il abandonne complètement Clara à son sort, mais estime être bienveillant. Aucun épisode ne retranscrit aussi bien les spécificités du Douzième Docteur par rapport à ses prédécesseurs. Tu m'étonnes que Clara, ayant connu le Docteur ultra héroïque et impliqué de Matt Smith ("We don't walk away", The Rings of Akhaten), finit par péter les plombs dans une scène finale à couper le souffle où Jenna Coleman livre une de ses meilleures prestations. En réponse à un acte d'abandon qu'aucn Docteur n'a vraiment fait, Clara fait ce qu'aucun compagnon n'a jamais vraiment fait : se rebeller totalement. Il fallait ce Docteur en particulier, cette transition entre 11 et 12 particulière, et cette compagne en particulier pour qu'une telle scène voit le jour, et il fallait une histoire du jour troublante et provocatrice pour l'amorcer, ce qui n'était encore jamais arrivé. Cette scène était extrêmement puissante et marque un tournant dans la saison. C'est assez parfaitement établi, juste au moment où Clara commençait à faire suffisamment de nouveau confiance au Docteur, tout en ayant un doute qui germe dans son esprit à cause du point de vue de Danny. Et juste au moment où Twelve commençait de plus en plus à vouloir impressionner Clara et à lui faire totalement confiance. C'est vraiment une situation où les deux n'ont pas tort, les deux sont amenés logiquement à faire ça. C'est un tournant presque dans la série, car rarement un épisode nous avait laissé avec une confiance établie entre le Docteur et sa compagne complètement brisée. Il est très bon de voir que Steven Moffat nous offre certes des compagnons restants très longtemps (Amy, Rory, River, Clara), mais en profite pour faire du jamais vu sur les hauts et les bas de telles relations. La force de l'épisode c'est de partir d'une base complètement stupide (c'est un peu "fuck la science", tout en avançant de vrais bons concepts) pour soulever de vraies questions. Et nous ? Qu'est-ce qu'on aurait fait ? Aurait-on écouté la Terre ? Aurait-on tué la créature ? Lui aurait-on laissé une chance ?
De vraies questions mais également de vrais messages. Des petites piques contre la société qui nous rappellent certains épisodes de l'ère RTD, mais aussi des messages d'espoirs, par cette fin poétique (qui dit encore plus fuck à la science - mais on s'en fout). Cette fin, magnifique. La beauté de la plage et du dragon sortant de l'oeuf, le discours du Docteur - au fond toute cette histoire c'était le début du voyage des humains vers les étoiles et comme en 1969, c'est passé par la lune. C'est une fin controversée mais d'autant plus maligne à mes yeux qu'elle est annoncée par l'épisode.
Le speech résume tout le message dans l'épisode et cela se voit aussi à travers l'évolution du personnage de Lundvic qui comprend ses erreurs à la fin. On peut ne pas être d'accord avec cette vision du monde, reste que c'est tout à fait en accord avec l'esprit de la série qui veut toujours croire le meilleur en l'humanité, et surtout, c'est dit avec tellement d'audace et de conviction, que l'humain devrait arrêter ses conneries et faire confiance à autrui, que même si on n'est pas d'accord avec le message et qu'on trouve la décision de Clara extrêmement égocentrique (elle l'est) et stupide (pour le coup, pas vraiment), ben même si on n'est pas d'accord on ne peut qu'applaudir de voir un épisode de Doctor Who aussi riche tant sur le plan du drama et de ses personnages, de ses concepts et de son exécution, et de la voix qu'il porte. Oui, le scénariste Peter Harness a utilisé un épisode de Doctor Who principalement en tant que porteur d'idées et il a fait parler sa voix, ce que peu de scénaristes avaient fait. Kill the Moon en devient un épisode unique, comme s'il ne l'était pas déjà assez. Au fond Kill The Moon est aussi extrêmement inspirant et malgré son histoire ô-combien inscrite dans de la fiction, en profite pour livrer un message sur le libre arbitre humain extrêmement percutant (certains parlent même d'un rapport à l'avortement, je ne suis pas du tout de cet avis, mais j'en parle de toute façon dans ma critique, les parallèles sont trop maigres mais révèlent des thématiques clairement vastes). Ce passage entre Lundvic et le Doc notamment résume bien toute la portée de l'histoire : ce qui fait que nous somme humains c'est notre individualité. C'est un thème que je n'ai pas encore abordé dans mon avis mais qui traverse pourtant tout l'épisode (ce qui prouve toute la richesse de l'épisode damn !) notamment dans le passage des lumières.
Parce qu'effectivement, ce qui nous rend si humain, c'est aussi notre capacité à faire des choix, à aller contre la majorité ou le système et à bouleverser le statu quo. Que dire d'autres ? A l'image de l'épisode, l'humour est vraiment atypique également, basé sur des anachronismes ou du hors-contexte presque dérangeant. De "My granny used to put things on Tumblr !" à la fameuse "The moon's an egg" qui m'a fait hurlé de rire, tout y passe, de l'humour est fait dans les pires situations sans jamais gâcher l'instant, signe du talent du scénariste. Murray Gold propose très peu de nouvelles compositions mais la musique suit parfaitement la situation. Et puis cette image finale parfaite de la lune se reflétant sur le visage de Clara. Et puis le concept même de tuer la lune et de montrer l'humanité qui se plonge dans l'obscurité, si provoquant. Et puis la façon dont c'est inscrit dans l'arc de la saison... je crois que je l'ai déjà dit ça mais ça mérite d'être dit à nouveau, cette saison est selon moi celle qui gère le mieux les transitions entre épisodes de toute la série avant elle. Chaque histoire individuelle s'inscrit dans la dynamique particulière de 12/Clara, et Kill the Moon est l'apothéose et le point de renversement de la relation. Kill the Moon est un épisode absolument brillant. Un pur retournement de cerveau, à peu de choses près totalement unique dans l'histoire. Parfait dans son traitement des personnages. Inquiétant et classique dans sa première partie, audacieux et bouleversant dans sa seconde. Provoquant à l'extrême et totalement novateur dans sa manière de montrer la relation entre le Docteur et sa compagne. Un véritable coup de coeur pour ma part, une pièce d'écriture touchante et aux qualités jouant sur une quantité innombrable de niveaux de lecture et d'interprétation. Pas un épisode parfait, loin de là. C'est parfois trop classique au début, il y a quelques flottements et on pourra reprocher toujours certains partis-pris. Mais pour ses prises de risque, je ne peux qu'applaudir. Étant aussi controversé, il est clair qu'il va être parmi ces épisodes qu'une partie du public adorent, mais que les autres détestent au plus haut point. Les notes sur ce site en sont d'ailleurs la preuve. Qu'importe. Une chose est claire : on parlera de Kill the Moon encore longtemps après. |
Avis défavorable | Déposé le 05 octobre 2014 à 07:04 |
Spoiler
Point positif : - Ça se laissait regarder. Points négatifs : - On emmène Courtney car le Docteur a été méchant ?! - Courtney VS araignée. - L'innocence prévisible de Courtney. - Courtney n'était pas loin derrière Angie. - Le discours sur la plage : Capaldi jouait vraiment mal. - Un dilemme moral trop prévisible pour une fin trop prévisible. Bilan : Un épisode vu et oublié, mais c'était mieux que Water of Mars. |
Bon je vais le dire tout de suite, j'ai mieux aimé kill the moon que listen.
Pour l'instant, il s'agit du meilleur épisode de la saison.
La réalisation est superbe surtout pour la scène de la plage.
J'ai adoré le dilemne de l'épisode.
Les araignées de l'épisode m'ont marqués car j'ai secretement une peur bleue de ces bêtes.
La fin est excellente car elle donne un tout nouveau regard jamais vu au docteur et à sa compagne.
Aprês pour ceux qui disent que kill the moon est trop semblables à d'anciens épisodes, je pense plutôt que listen était trop semblables et que c'est peut être pour cela que j'ai moins aimé que je l'aurais dut.