Better Call Saul
Six ans avant de croiser le chemin de Walter White, Saul Goodman, connu sous le nom de Jimmy McGill, est un avocat qui peine à joindre les deux bouts, à Albuquerque, au Nouveau-Mexique. Pour boucler ses fins de mois, il n'aura d'autres choix que se livrer à quelques petites escroqueries. Chemin faisant, il va faire ...
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Terminée | Américaine, US | 45 minutes |
Aventure, Drame, Crime, Drama, Comédie | AMC, NETFLIX (FR) | 2015 |
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1.07 - Bingo
Bingo
Poussé par ses nouveaux clients à prendre des décisions mêlant travail et sentiments, Jimmy fait appel à une aide clandestine.
Diffusion originale : 16 mars 2015
Diffusion française :
16 mars 2015
Réalisat.eur.rice.s :
Larysa Kondracki
Scénariste.s :
Gennifer Hutchison
Guest.s :
Barry Shabaka Henley
,
Jeremy Shamos
,
Julie Ann Emery
,
Omid Abtahi
,
Dani Moseley
,
Caleb R. Burgess
,
Sage Bell
,
Kelley Lewallen
,
Jean Effron
,
Caleb Burgess
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Avis neutre | Déposé le 22 mars 2015 à 19:02 |
C'est marrant .... a chaque fois que je m'ennuie devant un épisode tout le monde le trouve en revanche génial, quand j'aime bien un épisode tout le monde déteste .... je dois pas être normal ! Alors bon c'est pas un épisode mauvais mais putain que c'est lent .... whouuuuaaouuu quoi !! A un moment j'ai failli m'endormir alors qu'on est dimanche et que j'ai fait la grasse mat jusqu’à 15h .... et du coup on s'emmerde quoi .... enfin bon Je crois que j'ai pas encore fait le deuil de Breaking bad .... et forcément cette série m’empêche de le faire surtout quand elle nous propose des épisode comme celui sur Mike où quand elle fait revenir des personnages comme Tuco ... faut que je me fasse a l'idée que Better call Saul va nous montrer la petite vie de merde de Saul .... ou je devrai dire la petite vie de MERDE de Jimmy parce que le jour où il deviendra Saul là ça deviendra intéressant .... Ce qui est dommage c'est que cette série a du potentiel ... une putain de mise en scène, de bons acteurs, de bons dialogue, etc ... et que derrière elle nous emmerde avec Chuck ou le couple chelou les Kettleman là .... ils veulent garder l'oseille et pas aller en prison .... AIME DES ERE !! Ce qui est sur c'est que si (woiiin tournure de phrase bizare) BCS ne serait pas le spin-off de BB j'aurais probablement déjà arrêté .... |
Avis favorable | Déposé le 21 mars 2015 à 16:51 |
Je suis content de voir que le dernier épisode n'était pas un simple état passager et que pour moi le show commence vraiment à devenir bon et agréable à suivre. Cet épisode est bien construit par rapport à tous les autres, les longueurs se font rares (elles sont juste présentes au début et juste la scène du café avec les Kettlemans), Chuck n'a qu'une scène mais le rend beaucoup plus attachant et la relation Saul/Kim gagne enfin en épaisseur. Les reproches que je faisais à la série commencent à s'envoler un par un, c'est du bon. Même si pour l'instant je doute encore que la série arrivera à nous offrir un vraiment-très-bon épisode, pas avant longtemps du moins. J'espère que les trois derniers me prouveront tort. |
Avis favorable | Déposé le 20 mars 2015 à 08:28 |
Bingo! Alors je ne sais pas si la série s'améliore ou si c'est c'est moi qui me suis adapté à elle, à son format, mais j'ai passé un agréable moment lors de sa vision. La scène du cambriolage sous fond d'easy listening esy énorme. PS : Le gros barbu dans les chiottes, il n'est pas sur le mur de photo du début? |
Avis favorable | Déposé le 19 mars 2015 à 01:00 |
Le bleu dans Breking Bad a toujours été associé a une forme de calme avant la tempête: c'était le bleu de la métha-emphétamine, l'élément déclencheur qui transforme Walter en Heisenberg. Better Call Saul procède de façon opposée. Dans cet épisode, tout est bleu : les portes, les poutres, les tasses, les escaliers (magnifique plan de Kim au téléphone au passage), ... Comme le dit Taoby, cet épisode c'est Jimmy qui tente de rester Jimmy. Et pour l'instant, il y arrive et refuse le changement qui se produit autour de lui. Du coup,il est un peu dommage que tout cela soit si long. La scène de la cafétéria où Miss Kiterman explique au bout de 5 minutes que Jimmy est déjà coincé, dure ensuite 5-6 bonnes minutes de plus... Pour revenir exactement au même point. La série est vraiment trop lente. C'est utile oui, parfois (la solitude de Saul à la fin), mais vraiment dispensable dans de nombreux autres cas. Et tout ceci donne surtout l'impression que le show n'en est qu'à son stade introductif. PS : Y'avait pas un des cousins Tio en photo sur le mur au commissariat au début ? |
Avis favorable | Déposé le 18 mars 2015 à 13:20 |
J’adore. Encore un bon épisode, peut-être même le meilleur pour moi avec le Mike Centric. j’aime de plus en plus Saul, et le fait de découvrir les actes manquées de ce dernier ça me touche vraiment. Imaginer ce que sa vie aurait pu être, et voir ce qu'elle va être, c’est ce que je voulais en plus d'étoffer l’univers de B.B. Et la série le raconte avec une vraie maitrise et minutie. Je veux le voir devenir officiellement Saul, alors qu’il se bat pour être Jimmy. Tout l’inverse de Walt qui se battait pour devenir Heisenberg. C’est drôle (le couple est énorme, et les punchline de Saul sont toujours aussi monstrueuse) c’est douloureux : Saul et kim, Saul et Chuck, le voie vers laquelle tend inexorablement Saul. Alors certes ça prend son temps pour raconter son histoire, mais ça ne me dérange pas la moins du monde, ça le fait avec subtilité et de manière assez précise. (Et puis cette lumière...) Bref perfecto le pedalo. PS : Envoyez les Salamanca qu'on rigole un coup. |
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Bon épisode qui confirme ce que je commençais déjà à sentir : toutes les lignes esquissées depuis un moment se sont croisées, on n’a désormais plus qu’un gros trait qui n’attend plus que de former de quelques coups de pinceau une oeuvre indélébile.
Bingo, titre génial pour cet épisode où la plupart de ses démarches positives sont très difficiles à accepter pour Jimmy. Et montre une nouvelle fois la générosité de cette homme et sa difficulté à la garder. Ainsi que la frustration que requiert le statut de Jimmy McGill, honnête avocat du troisième âge. La couleur blanche de son costume label Matlock ne trompe d’ailleurs personne, rester clean implique une vie plate.
Tu peux racheter le club de foot moyen + que tu veux, si tu ne la joues pas à la Jean-Michel Aulas tu n’iras jamais bien loin.
J’admire tout en compatissant le cheminement de Jimmy jusqu'ici. Et le comprendre, c’est le pardonner plus tard.
Mme Kettleman est géniale et son mari parfaitement complémentaire. J’aime beaucoup cette actrice, elle a quelque chose d’hypnotique. Les Flanders auront largement tenu leurs promesses.
Le code couleur de la série est logiquement appliqué pour les tenues rouges ou orangées de Betsy K., couleurs du crime et de la culpabilité dans BCS.
Les scènes Saul-Kim n’étaient sans doute pas leurs plus intéressantes de la saison, mais super efficaces pour nous ressituer une réalité de leur relation : Jimmy ne fait pas ce qu’il veut de Kim, il fait ce qu’elle veut. Alors qu’on sent pourtant qu’il ne manque pas grand chose pour que le rapport de confiance se renverse complètement dans le bon sens.
La scène avec Chuck, de la même façon, montre que la série va dans le bon sens en ce qui concerne ce personnage.
La séquence Cleaner Mike m’a plu, relativement longue, certes, mais si elle n’avait pas duré je n’aurais pas perçu le job de Mike tel qu’il est. Ce n’était que du positif car constamment jouissif. J’ai aussi adhéré à la musique et je pense que ça fait une grosse différence. Better Call Saul n’a absolument pas peur de tenter des choses sur la forme ou le format, c’est à la fois ce qui me plait dans cette série mais également ce que j’attends d’elle.
Et la très belle dernière scène qui, contrairement à certains épisodes précédents où j’avais perçu le contraire, était si ce n’est la meilleure tout simplement, la scène idéale pour synthétiser et terminer l’épisode. Par un superbe plan où Jimmy se retrouve crucifié par les fenêtres de son nouveau bureau grand ouvert sur ABQ. J’ai réellement senti un point de rupture.
Et j’en profite pour tirer un grand coup de chapeau à Bob Odenkirk, moi qui ne commente plus beaucoup les prestations des acteurs « historiques » de BB depuis un moment, ayant fini par n’être même plus étonné par leur performances à partir d’un certain stade de la série.
Alors qu’il me bluffent constamment. Odenkirk extraordinaire dans cette dernière scène, bien qu’il n’ait jamais été ne serait-ce que proche de l’ordinaire depuis le début de la saison.
Son jeu de corps et sa gestuelle ne sont pas loin de ce qu’il se fait de plus beau, quelque part entre Bergkamp, Chaplin et le sac plastique d’American Beauty. Je ne compte déjà plus le nombre de fois où il m’a ému dans cette série pourtant fraîchement née.