Image illustrative de Doctor Who
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Doctor Who

Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...

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En cours GB 45 minutes
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique BBC One, France 4, Disney+ 2005
13.26

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Image illustrative de l'épisode 11.01 - La Femme qui venait d'ailleurs

The Woman Who Fell to Earth

Ryan Sinclair découvre un étrange appareil en forêt, qu'il montre à son amie Yasmin Khan, agent de police. Il reçoit un coup de téléphone de sa grand-mère Grace et son mari Graham : une forme tentaculaire flottante est apparue dans leur train, à l'arrêt. Tandis que Ryan et Yasmin se portent à leur secours, une femme chute du ciel et traverse le plafond du train sans une égratignure...

Diffusion originale : 07 octobre 2018

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Diffusion française : 07 octobre 2018
Réalisat.eur.rice.s : Jamie Childs
Scénariste.s : Chris Chibnall
Guest.s : Sharon D. Clark , Samuel Oakley , Jonny Dixon , Amit Shah , Asha Kingsley , Janine Mellor , Asif Khan , James Thackeray , Philip Abiodun , Stephen MacKenna , Everal A. Walsh , Samuel Oatley , Sharon D. Clarke , Everal Walsh

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Avatar Gizmo Gizmo
Rédacteur
Avis neutre Déposé le 09 octobre 2018 à 05:57
Spoiler

Je n’ai jamais été un fan de Doctor Who.

Le Doctor Who de RTD était une sympathique et étrange petite série que je prenais plaisir à regarder comme une adorable anomalie, capable du pire comme du meilleur. Mais si je suis tombé amoureux de cette série, c’est grâce à Steven Moffat. Ainsi, à l’aube de cette nouvelle ère, je m’en rends compte désormais : j’ai toujours été un Moffan.

Moffat a, selon moi, des qualités qui se prêtaient particulièrement bien à l’esprit de la série :

- Un sens de la surprise. Moffat embrassait plus qu’aucun scénariste le potentiel dément de la série. On sautait du passé au présent en un claquement de doigts, en faisant un bref détours par le futur pour le thé. Moffat aimait tellement surprendre que lorsqu’il offrait un script « classique », nous en étions presque surpris.

- Un sens de la formule. Moffat savait injecter de la poésie dans son écriture, chaque réplique était écrite soit comme une punchline, soit comme un poème.

- Un sens du propos. Rares ont été les épisodes de Moffat qui ne servaient pas un vrai fond, un propos. La science-fiction était toujours là pour appuyer des idées fortes et universelles ce qui, selon moi, est essentiel pour créer un lien avec le spectateur.

Et pourtant. Et pourtant, Steven Moffat était arrivé au bout d’un cycle, son écriture s’épuisait, et son départ était nécessaire.

Chibnall a, avant même le début de son run, apporté certaines nouveautés essentielles à la survie de la série : le changement de genre du Docteur (preuve que la série peut toujours nous surprendre et aller de l’avant, en dépit des cris de certains fans), une esthétique plus aboutie qui fait plaisir à voir, un changement de compositeur, le retour d’une « Tardis Team » plus proche de la réalité…

Formellement, les décisions de Chibnall étaient nécessaires à la survie de la série, et proposent une nouvelle porte d’entrée à son univers foisonnant. Le problème est que Chibnall n’a aucune des qualités de Moffat, et que je peine à lui en trouver de nouvelles au vu de ce premier épisode.

Chibnall n’a pas vraiment le sens du rythme, et le format 1h est franchement plutôt pénible. Passées les 20 premières minutes plutôt rafraichissantes, le scénario s’enlise dans l’entrepôt jusqu’à un climax longuet et quelconque. Pour un « renouveau », l’ensemble manque clairement de rythme et de surprises. La menace alien, qui rappelle autant l’ère RTD que l’heureusement méconnue Class, tranche avec le style quasi-naturaliste proposé en début d’épisode, comme si Chibnall tentait de mélanger l’eau et l »huile. Moffat parvenait à créer des menaces aliens plus inquiétantes, moins gloubis, plus adaptées à l’ère du temps. Bien évidemment, les ennemis Power Rangers auront toujours leur place dans la série, mais voir cette chose comme première proposition du nouveau showrunner me laisse franchement sceptique sur la suite de la saison.

Mais je peux pardonner une menace à l’esthétique douteuse si elle sert un propos. Chibnall développe vaguement l’idée que « tout le monde est important » (appuyé par l’intrigue de Grace), mais c’est franchement plutôt générique et faiblard, en particulier dans un épisode de régénération qui doit nous donner envie de découvrir le nouveau Docteur. Il y a, avec Thirteen, une volonté évidente de rassembler le plus grand nombre autour d’une figure fédératrice. En dépit de toute la bonne énergie qu’y met Jodie, je la trouve pour le moment assez quelconque, la faute à une écriture très fade. Son discours sur la régénération ou sa confrontation finale font plus office de passages obligés que de véritables moments iconiques pour le personnage. J’ai souvenir que chaque Docteur avait un moment-clé qui caractériserait son ère lors de leur régénération (Ten qui se montrait aussi séduisant que cruel, Eleven qui se donnait en spectacle face aux Atraxi, Twelve qui révélait son trouble moral face au half-faced man), je n’ai pour le moment rien vue de particulier chez Jodie. Elle est sympa, fofolle, inventive, énergique, mais il lui manque encore un élément de caractérisation plus clair qui, je l’espère, viendra rapidement.

En l’état, The Woman Who Fell to Earth ne me semble pas très rassurant sur la direction qu’emprunte Chibnall. Si je peux reconnaître la qualité de ses décisions d’un point de vue formel, je dois avouer que c’est plus le Moffan que la femme qui est tombé de haut avec cet épisode. Prends garde, Chibnall, ton surnom est déjà tout trouvé. Et si je ne suis pas convaincu, je serai obligé de t’identifier sous ton nom de showrunner… The Chibnul.

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Avatar MrZ MrZ
Membre
Avis neutre Déposé le 09 octobre 2018 à 00:32

7 octobre 2018.

Un vent nouveau et pourtant si nostalgique s'abat sur la planète, et Serieall en est le premier concerné : Doctor Who est de retour, tout beau, tout neuf, et surtout complètement différent.

Le retour de Doctor Who, chez Serieall, ça signifie l'arrivée d'une tension (érotique ? Bonne question à se poser) entre tous les membres, Whovians dont le cas est désespéré et insolvable depuis trop longtemps, où très souvent un petit nombre de personnes jouent le rôle de méchants, de Daleks, de gens vraiment pas très gentils. Un peu comme Koss depuis la saison 7.

Et bien cette année, avec un Doctor Who tout beau, tout neuf, mais surtout tout raccourci, le rôle de Koss va peut-être malheureusement me revenir.

En fait, cet épisode n'a pas d'émotions.

Une bonne humeur et un excellent jeu évident de Whitaker ? L'épisode, lorsqu'il a l'occasion de commencer à creuser ce que Le Docteur est et surtout va être, préfère nous dire les choses plutôt que nous le montrer, via la mise en scène ou la direction d'acteur. Un monstre d'une grande dangerosité qui fait un carnage derrière lui ? L'épisode fait les choses à moitié en nous racontant le corps mais en ne nous montrant rien. (L'épisode, sur cette partie là, se retrouvant ainsi complètement le cul entre deux chaises, entre une horreur graphique et une horreur imaginée, fantasmée, comme dans les audios de la saga, coupant ainsi ce qui est provoqué par la scène, mais ne laisse pas le temps pour autant la mise en place de l'imagination) Un sentiment de danger pouvant nettoyer une partie du cast présent ? Un personnage, pourtant quand même creusé, meurt après que le problème soit résolu. Une situation inédite où Le Docteur se retrouve sans rien ni technologie, devant uniquement user de sa cervelle pour triompher ? Le sonic est construit en cinq minutes avec de la technologie primitive comparée à celle du TARDIS et de Gallifrey. (pardon ?)

Malgré des évidentes qualités d'écriture dans la volonté de dessiner ses personnages, Chibnall ne provoque jamais l'émotion, ou la désamorce avant même de la provoquer, ce qui donne un épisode trop posé et trop lent pour son propre bien où l'on ne croit ni en la dangerosité du monstre, ni au véritable choc du drame, ni à la tentative de dresser un nouveau Docteur, pourtant censée être le point pivot de l'épisode.

The Woman who fell on earth, malgré sa bonne volonté évidente et son véritable changement, se retrouve à faire les choses à moitié et à au final ne jamais provoquer réellement d'émotions, qu'elles soient joie, tristesse, ou peur.

J'attends quand même avec une impatience certaine la suite de la saison, d'autant plus que le format a l'air de se rapprocher un petit peu plus des classics.

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Avatar ClaraOswald ClaraOswald
Membre
Avis neutre Déposé le 08 octobre 2018 à 16:30
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Mouaaais.

Jodie est incroyable et je suis déjà convaincu par son jeu d'actrice et son personnage.

Le reste était plutôt moyen. On a un méchant en carton digne des Power Rangers, un visuel et une atmosphère assez banal, une musique fade et générique et un scénario très classique.

Les personnages sont un peu trop normaux pour moi mais c'est très subjectif, j'ai toujours préféré voir des persos spéciaux et brillants que "monsieur et madame tout le monde" (c'est en parti pourquoi j'ai détesté la saison 3 de Broadchurch). J'aimais bien Yasmine et Grace ceci dit, dommage que cette dernière soit partie trop tôt !

Par contre l'intrigue pour retrouver le Tardis, si c'est ça le fil rouge de la saison, j'aime beaucoup !

J'attends de voir si le prochain saura être plus original et proposer une forme plus intéressante, c'est mieux que ce à quoi je m'attendais mais ça reste très en dessous de ce qu'on a eu par le passé.


Avatar Galax Galax
Administrateur
Avis favorable Déposé le 08 octobre 2018 à 12:51
Spoiler

Ah, ce début de saison 11 qui partait si bien...

Jodie Whitaker EST le Docteur dès sa première apparition. Sa bonne humeur est naturelle et constamment contagieuse. A aucun moment on sent la moindre faille dans son jeu qui l'empêcherait de faire ses preuves. De plus, dans l'écriture de son personnage, Chris Chibnall a l'intelligence d'avouer qu'elle ne sait pas encore vraiment qui elle est, mais qu'elle reconnaît tout ce qu'elle a été et qu'il lui appartiendra de décider qui elle sera. C'est beau car en effet, quand on revient sur les premiers épisodes de chaque nouvelle ère/nouveau Docteur, ils nous apparaissent toujours incomplets et leurs traits de caractère parfois trop forcés. Si le mythique "Eleventh Hour" reste trop parfait et inégalable, Matt Smith semblant déjà parfait (même si a contrario il évoluera le moins de tous les Docteurs), pour David Tennant et Peter Capaldi notamment, on sentait encore qu'ils débutaient, et que certains passages entiers de leurs premiers épisodes respectifs sont maintenant un peu bizarres, voire gênants à regarder après avoir connu toute leur ère.

Bien loin des gimmicks forcés des anciennes saisons pour définir ses personnages, l'écriture de Chibnall semble beaucoup plus sobre et consciente des enjeux d'un premier épisode. Tout est encore nouveau, incertain, en train de changer. L'épisode l'admet immédiatement et fonce. Si "The Eleventh Hour" reste donc le pilote parfait pour résumer une ère entière en un seul épisode, parce que son showrunner avait dès le début une vision extrêmement précise qu'il ne cessera d'explorer, "The Woman Who Fell to Earth" est le bon contrepoids à ça et constitue un pilote d'une série qui se cherche encore et qui se cherchera probablement toujours...

Et à ce titre, la fin de l'épisode, pas si surprenante pour quiconque avait un peu suivi les annonces des compagnons, mais malgré tout extrêmement triste, est sans ambiguïté là-dessus, lorsque Graham évoque "three glorious years" (il est amusant de voir l'adjectif de la chanson de tous les trailers resurgir ici...). Quand il explique que malgré ces années glorieuses, qu'il est triste car il en voulait plus, comment ne pas penser aux trois Docteurs qui ont précédé Jodie, et qui ont chacun fait trois saisons/années ? D'ailleurs, la caméra choisit à ce moment de flouter tout l'auditoire pour faire ressortir Jodie Whitaker.

Cela peut aussi tout à fait être vu une scène annonciatrice de l'ère à suivre si la règle des trois saisons par Docteur est respectée pour Thirteen : après tout, bien qu'il s'agisse du speech aux funérailles de Grace, "la femme qui est tombée à terre" est un titre pouvant tout aussi bien référer à Grace comme au Docteur... Ce double-sens malin, qui aurait tout à fait eu sa place dans l'ère Moffat, rapproche les deux femmes, qui ont d'ailleurs beaucoup de points communs tout au long de ce pilote (le goût pour l'aventure, l'excitation permanente, le role model des autres...). Une première erreur de l'ère de Chibnall aura d'ailleurs été de ne pas avoir gardé Grace comme compagne, tant elle est de loin la plus charismatique du lot.

Bref, l'épisode est vraiment un pont parfait entre l'ancien et le nouveau, un point de ralliement pour toute l'audience, un hommage au passé et un appel à se lancer à corps perdu dans une aventure future indéterminée. C'est du bon là-dessus.

Même si le Docteur ne se connaît pas encore, on peut tout de même faire quelques pronostics sur ce dont sera vraiment fait l'ère de Jodie Whitaker : une envie folle de toujours vivre des aventures, un recentrage sur l'humain et l'émotion. Ces promesses sont loin d'avoir  été réalisées (c'est même l'inverse), mais dans ce pilote, c'est prometteur. A ce titre, la caractérisation des "quatre" compagnons de l'épisode est plutôt bonne, et tout le premier acte expliquant comment ils sont amenés à se connaître et à rencontrer le Docteur est une suite de cause-conséquence toute con mais bien écrite. A nouveau, l'histoire nous aura révéler qu'avoir introduit le trio d'un seul coup a été une erreur fatale, et ils sont tous en passe d'être les compagnons les plus oubliables de l'histoire de la série. Le futur de l'ère de Thirteen entâche donc beaucoup son premier épisode, plus mensonger qu'autre chose. Et à titre personnel, je trouve que ce n'est même pas si bien écrit que ça, en 60 minutes, Chris Chibnall ne touche pas autant que le papi de Donna dans son premier épisode (Wilfried <3) et n'émerveille pas autant que la petite Amelia dans son jardin. Il manque vraiment une humanité aux personnages.

Il y a comme autre problème l'intrigue du jour qui se déroule sous la forme d'une enquête centrée sur un monstre classique. Qu'on soit honnête, tout est super convenu et assez médiocre. Derrière une résolution ingénieuse où la Doc retourne l'arme du méchant contre lui (ce qui l'inscrit à fond dans la philosophie du Docteur), se cache un gros ramassis d'invention et de bidule technique. Même chose pour plein d'éléments liés aux ennemis et aux menaces dans cet épisode. Globalement l'écriture du scénario du jour est trop évidente (le fait que le jeune homme rencontré dans le train qui prend le temps de se présenter allait intervenir à nouveau dans l'histoire, c'était grillé), sachant qu'à plusieurs reprises, Chris Chibnall doit volontairement cacher les actions que le Docteur et ses compagnons ont fait pour nous surprendre. Ce qui fait que plusieurs choses ont été faites hors-champ pour ménager le suspens, une technique très énervante.

Certes, c'est bien de réintroduire les principes de la série de façon "pure" pour caractériser le Docteur auprès d'une nouvelle audience. A l'inverse par exemple, la fin de The Eleventh Hour annonçait déjà l'ère très référencée qui allait suivre, puisque les monstres de cet épisode partaient par peur, due à la simple découverte de la figure que représentait le Docteur, insinuant que le passé allait souvent faire surface.

Mais bon, si on avait pu éviter un ennemi en carton, un climax sur une grue pas ouf en termes de réal, et ce plan sur un grec écrasé complètement ridicule (toute la partie avec "sandwich man" est gênante, et le moment où il lui balance des tomates, mon dieu...), ça aurait été mieux.

"The Woman Who Fell to Earth" est donc probablement l'épisode le plus rafraîchissant et axé sur un nouveau départ qu'on ait eu depuis des années, tout en étant déjà bourré de symptomes de la saison à venir : scénario alien aux pâquerettes, rythme trop longuet, traitement inégal des personnages et cohérence un peu à la rue.

Malgré tous ces défauts et le fait que l'épisode soit trop long, il faut tout de même souligner à nouveau que Jodie Whitaker est fun, et que la fin avec la chute de Grace, la cérémonie et même le cliffhanger original, sont tous réussis et sauvent l'épisode, qui passe de potentiellement médiocre, à un honnête "ça vaut le coup pour découvrir Thirteen".

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Avatar OmarKhayyam OmarKhayyam
Rédacteur
Avis neutre Déposé le 08 octobre 2018 à 10:13
Spoiler

C'était certainement, à l'époque, un relatif succès, mais ce qui frappe maintenant dans The Woman Who Fell to Earth c'est surtout l'indécision et le manque de confiance de la nouvelle équipe. En fait, pour être juste, y'a un petit côté un peu sombre, un peu pesant et même "adulte" dans l'ambiance, et Sheffield vit aussi pourtant comme un espace magique où tout est possible.

"It's the night shift in Sheffield. Everything's out of the ordinary"

Et au fond la ville devient même le soleil couché une porte sur d'autres mondes : certains mondes magnifiques (cc Whittaker). D'autres monstrueux. Mais alors que des gens ordinaires voient leur vie changer, après un coup de fil étrange au comico, où une balade à vélo, l'horreur envahit aussi leur quotidien. 

Dans son taff, Chibnall a déjà beaucoup mêlé à un côté très très "terre à terre" et procédurier un certain onirisme. Torchwood, même Broadchurch. L'écriture de Chibnall n'est jamais tout à fait matérialiste. 

Le merveilleux surgit toujours.

Ici Whittaker est tout de suite cette présence merveilleuse, et étrange. Cette femme tombée du ciel. 

Mais Chris Chibnall se débat autant avec son pessimisme et son cynisme qu'avec les codes d'une narration plus "familiale"

Les dialogues sont très maladroits, les morts nombreuses mais superficielles. Mais surtout des trucs parfois très enfantins sont filmés avec tellement de sérieux qu'ils ne résonnent jamais de la bonne façon. 

On a donc un résultat résolument unique dans son ambiance, et résolument différent (l'enterrement de Grace). Mais son scénariste applique aussi au premier degré une logique qui a déjà été transgressée et moquée les saisons avant au point que tout se sent à la fois comme un gros bond en avant, mais après avoir reculé des dizaines et des dizaines de kilomètres.

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