Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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9.06 - Une vie sans fin
The Woman Who Lived (2)
En recherchant un artefact extraterrestre dans l'Angleterre du XVIIe siècle, le Docteur croise la route d'Ashildr, la Viking qu'il avait rendue immortelle. Ensemble, ils retrouvent l'artefact qui s'avère être un générateur de portail interdimensionnel...
Diffusion originale : 24 octobre 2015
Diffusion française :
24 octobre 2015
Réalisat.eur.rice.s :
Ed Bazalgette
,
Edward Bazalgette
Scénariste.s :
Catherine Tregenna
Guest.s :
Maisie Williams
,
Rufus Hound
,
Gareth Berliner
,
Elisabeth Hopper
,
John Voce
,
Struan Rodger
,
Gruffudd Glyn
,
Reuben Johnson
,
Ariyon Bakare
,
Daniel Fearn
,
Karen Seacombe
,
John Hales
,
Will Brown
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 02 novembre 2018 à 01:08 |
Le lion est nul, ok, mais c’est surtout le récit touchant d’une jeune immortelle prisonnière de son atroce condition et tout l’épisode brille donc dans chaque morceau de dialogue du Docteur et Me. |
Avis défavorable | Déposé le 14 juillet 2016 à 23:35 |
Parfois, quand je dis à des gens que j'aime bien Doctor Who, ils me regardent comme un extra-terrestre ou un gamin attardé ayant des goûts de chiotte. Et bah, c'est exactement à cause de ce genre d'épisode sur lequel ils sont tombés par hasard à la télé. Grotesque, mou, infantile, gênant (les deux flics "comiques" tombés du ciel), ridicule (le monstre félin), aux rebondissements tirés du cahier d'histoires d'une gamine de 12 ans. Il y a des bons thèmes abordés (l'immortalité), mais que le visionnage de cet épisode fut un calvaire pour moi. Puis le Docteur a beau dire : "bla-bla-bla-on peut pas voyager ensemble car on oublierait l'importance de la vie-bla-bla-bla", n'empêche il laisse Moi (sic) avec un gros lourdaud aussi immortel qu'elle dans les pattes. |
Avis favorable | Déposé le 24 décembre 2015 à 01:49 |
Pareil que le précédant, intrigue futile mais dialogues savoureux. J'aime bien Maisie Williams, plus que dans GoT. |
Avis favorable | Déposé le 09 décembre 2015 à 22:04 |
Si on arrive à passer outre le "monster of the week" complètement naze c'est un bon épisode. Mais c'est quand même dommage, Si on avait eu un huis clos sans antagoniste (Si ce n'est Ashildr jusqu'à la fin de l'épisode) avec que des dialogues, ça aurait pu marcher et ça aurait pu être un chef d'oeuvre. |
Avis favorable | Déposé le 03 décembre 2015 à 16:02 |
Avis modéré par la rédaction de Série-All. |
Avis neutre | Déposé le 23 novembre 2015 à 00:11 |
J'ai pas accroché.... le thème de l'immortalité me hype pas mal d'habitude et j'adore maissie williams mais alors la je me suis ennuyé sans vraiment détester et je ne pourrais l'expliquer même après un second visionnage c'est un mystère qui me hante ^^ |
Avis favorable | Déposé le 17 novembre 2015 à 22:59 |
Le thème de l'immortalité est toujours très intéressant et le concept de la fille que l'on pourrait revoir de temps en temps au détour d'un caméo lorsque le Docteur débarque sur terre (un peu comme les Observers dans Fringe) me plaît beaucoup (même si je doute qu'on fasse revenir Maisie Williams pour apparaître 2 secondes 2 épisodes par saison...). Malheureusement, l'histoire de l'homme-lion est absolument sans intérêt. Du coup, on alterne les moments où l'on se fait un peu chier, et les moments vraiment pas mal entre Maisie et le Dr sur l'immortalité. Au final, ça aurait pu être pire et, comme dans sa 1ère partie, certains trucs rattrapent le tout, mais c'est clair que cela aurait pu être beaucoup mieux... |
Avis favorable | Déposé le 11 novembre 2015 à 15:31 |
Dans un épisode de Sandman de Neil Gaiman, le Sandman donne la vie éternelle à un homme, qu'il sera amené à croiser plusieurs fois dans son existence. Se faisaint, Gaiman soulève tout un ensemble de problématiques qui découlent de l'immortalité et parvient à dresser le portrait émouvant d'un personnage ultra attachant... ... Soit tout ce que n'arrive pas à faire Maisie Williams dans cet épisode. Je pense qu'elle n'y peut rien et que c'est aussi la faute du scénario, mais un autre acteur aurait sans doute réussi à transcender le rôle. En attendant, on se tape un épisode très lent, très vide et dont la majorité des enjeux est posée en 10 minutes d'épisodes (à partir du moment où Capaldi lit le livre). Après ça, c'est du pur remplissage et une fin franchement ratée. Dommage car si l'épisode avait été du huit-clos (et il en a tous les codes) et avait creusé bien d'avantage la thématique de l’immortalité, on aurait peut-être eu le droit à un bon épisode. |
Avis neutre | Déposé le 09 novembre 2015 à 01:07 |
Bah décidément je me serais bien fait avoir avec ce two-parter ... On est en effet dans l'un des très rarissimes cas dans la série où pour moi les deux parties sont strictement de même niveau. Sauf que là où ça tend à être une bonne surprise pour The Girl Who Died qui s'annonçait sous les pires hospices, ça a plutôt tendance à être une déception pour The Woman Who Lived. Car lui avait sur le papier largement le potentiel non seulement de surpasser la partie précédente (dont elle était libérée des contraintes introductives et des limites de traitement qu'elle optimisait comme elle pouvait), mais aussi je pense de transcender l'épisode en nous livrant un grand épisode voir qui sait un chef d'oeuvre sur l'immortalité (en tout cas j'y croyais). C'est pourtant bien ce thème de l'immortalité qui porte cet épisode vers le haut. Contrairement au précédent, ce dernier pouvait l'explorer dès le début et c'est ce qu'il fait, et il le fait très bien même. Les multiples confrontations entre Le Docteur et Me, campée par une Maisie Williams sublime qui a ici la possibilité de bien plus mettre son jeu en valeur que dans la partie précédente, sont passionnants de bout en bout, Me arrivant de surcroît à ne jamais faire doublon avec les précédents personnages immortels de la série. Dès que l'épisode s'attarde sur le sujet, il est bon, et parfois nous livre des scènes fortes en émotions. Le visuel de l'épisode est très réussi et ses costumes sont particulièrement magnifiques. L'ambiance "Zorro" était un sympathique point de départ et quelque chose d'assez inhabituel de la part du show qu'il aurait été cool de plus approfondir. La quasi absence de Clara de l'épisode est extrêmement pertinente et bienvenue, permettant à l'épisode de pleinement se concentrer sur l'essentiel sans venir s'alourdir d'un élément dont il n'aurait su quoi faire, d'autant que sa non-présence permet l'existence d'échanges entre Me et Le Docteur qui aurait difficilement pu exister tels quels sans cela. Ca donne qui plus est une touche assez atypique à cet épisode, qui est également doté d'un rythme étrange mais fort plaisant, dont la première partie n'est qu'un débat entre immortels où quasiment aucune autre histoire où menace ne vienne se profiler. Bien que malgré tout quelques éléments sont posés ici de manière random qui ne seront pas développés de toute cette partie ... Et si seulement cette partie avait pu s'étendre à tout l'épisode ... Le principal problème, c'est bien évidemment celui que tout le monde lui a reproché : son intrigue. Poussive, sans intérêt, et à la limite du nanardesque qui fait plus pleurer que rire, on a vraiment le sentiment que ce n'est là que pour respecter un cahier des charges tant tout les éléments liés à cette intrigue semble écrits sans la moindre passion, contrairement à tout ce qui touche Me, Le Docteur et leurs débats sur le fait d'être immortel. Le pire c'est que cette intrigue fait tellement anecdotique voire inexistante par rapport au reste ... Quoi que ce n'est finalement pas étonnant car en plus de, par la structure particulière de cet épisode, avoir moitié moins de temps qu'une intrigue bateau de la série pour naître, exister, se développer et se conclure (vu que la moitié voir un peu moins des 2/3 de l'épisode sont composé de la confrontation Me / Doctor), cette intrigue est thématiquement totalement déconnectée du reste de l'épisode et nantie de personnages ratés, entre ce méchant ridicule qui n'intimiderait pas un grain de poussière et n'arrive jamais à exister en tant que menace concrète (Me y arrive nettement plus alors que le simple fait qu'on se doute que le personnage est encore ambigu et n'a pas totalement sombré limite de lui-même la menace qu'elle représente) et un Sam Swift lourdingue de bouffonnerie à cause d'un humour nullement maîtrisé en dehors des interactions Me / Doctor (un comble quand on voit à quel point le précédent excellait en la matière) qui la décrédibilise encore plus. Elle est tellement inexistante qu'alors que les deux parties de ce two-parter ont des histoires totalement différentes et non pas qui se font suites l'une / l'autre (tout au plus elles se répondent), l'intrigue du jour se résout grâce à un élément introduit dans l'histoire précédente (et de manière assez conne en plus), c'est dire ! Alors certes ça aura au moins le mérite de ne pas trop parasiter l'épisode puisqu'en l'état cette histoire est justement suffisamment inexistante ou du moins annexe pour ne jamais venir polluer ce qu'il fait de bien. Mais dans le même temps, elle cause du coup également une peine peut être bien plus terrible encore : elle ne lui laisse jamais l'opportunité de s'élever. The Woman Who Lived aurait pu être un excellent épisode s'il avait eu l'audace de s'affranchir complètement des codes narratifs standards de la série, ce qu'il fait d'ailleurs durant un bon moment. Malheureusement la résignation à se tenir à développer une histoire classique sans la moindre passion dans la seconde moitié voire le dernier tiers de l'épisode lui causera bien des tords. Suffisamment pour lui détruire tout espoir de parvenir à ce statut en tout cas. Et du coup si formellement parlant l'épisode est pour moi du même niveau que son prédécesseur, l'arrière goût déceptif qu'il laisse en bouche le positionne du coup comme étant pour l'instant le moins bon de la saison. Tout comme le two parter dans sa globalité l'est, là encore pour l'instant, d'ailleurs. Cela reste néanmoins assez sympathique et divertissant. Mais, un peu comme le dit Ten à la fin de The End of Time, ça aurait pu être tellement plus ... |
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Allez, ce fut une plutôt excellente saison, mais que vaut son final ? Égale-t-il le chef d'oeuvre qui le précédait ? Sans surprise, non, mais cela signifie-t-il mauvais épisode pour autant ? Là encore non, bien au contraire...
Encore pire que l'épisode précédent : Maisie Williams n'a aucun charisme, l'épisode était d'un profond ennui, il était très facile de deviner les projets du lion.
Seul l'échange sur l'immortalité sauve cet épisode d'un 0 pointé.