Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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20.01 - Arc of Infinity - Part 1
Arc of Infinity (1)
On Gallifrey, someone on the high council is perpetrating a treasonous act - transmitting the Doctor's bio-extract from the space/time matrix to an anti-matter being. On Earth, two English lads spend their last night in Amsterdam sleeping in a crypt where they're attacked by an alien creature under the same anti-matter being's control.
Diffusion originale : 03 janvier 1983
Diffusion française :
03 janvier 1983
Réalisat.eur.rice.s :
Ron Jones
Scénariste.s :
Johnny Byrne
Guest.s :
Alastair Cumming
,
Andrew Boxer
,
Elspet Gray
,
John D. Collins
,
Malcolm Harvey
,
Max Harvey
,
Maya Woolfe
,
Neil Daglish
,
Leonard Sachs
,
Ian Collier
,
Paul Jerricho
,
Colin Baker
,
Michael Gough
P’tain ce retour à Gallifrey sorti de nulle part ! Nice !
C’est la saison des 20 ans et ça commence fort, sur le papier du moins. Et effectivement, une mystérieuse figure venue d’une autre dimension, un Time Lord traître, le Haut Conseil (avec une femme !) qui appelle le Docteur pour l’emprisonner et potentiellement le tuer, ça démarre fort avec de bonnes idées et du rythme.
Aussi, Colin Baker fait coucou, c’est assez marrant. Enfin, même si le cliff est très classique, et que l’exemple du Docteur qui reste coincé dans une cellule comme “enjeu scénaristique” est un énorme exemple de pourquoi la décision de se débarrasser du sonic screwdriver n’avait absolument aucun sens, je dois avouer que j’aime bien le passage où le garde du côté du Docteur l’observe dans sa cellule et le laisse sortir : il y a un côté méta avec le spectateur qui ne veut pas s’ennuyer, qui root pour le Docteur et qui amène l’action de fin d’épisode.
D’un autre côté, il est absolument incompréhensible pendant la grande majorité d’épisode de comprendre l’intérêt de l’intrigue à Amsterdam. Les deux acteurs jouent extrêmement mal, la réceptionniste aussi, leurs dialogues sont méga pauvres (le passage où le scénario doit trouver un prétexte pour que la réceptionniste parle du message laissé au disparu est douloureux). On comprend enfin qu’il s’agissait du cousin de Tegan. Qu’on n’a pas mentionnée de tout le reste de l’épisode ce qui est quand même sacrément étrange et un peu malaisant du point de vue du Docteur et de Nyssa, dont la dynamique fonctionnerait quand même vachement mieux avec le tempérament de l’hôtesse australienne. Ce non-dit est très gênant.
Après je reste bon client dans la mesure où Amsterdam cay joli, et j’aime bien quand la série va tourner dans des “vrais” lieux, deuxième fois depuis Paris et The City of Death. C’est drôlement étrange et déconnecté de tout le reste, ce qui est un parti pris narratif rare et intéressant, même s’il faudrait vite que l’action se recentre sur les mêmes enjeux histoire de ne pas trop handicaper l’histoire.
Une introduction loin d’être parfaite, avec un étrange déséquilibre et des non-dits sur le sort de Tegan surprenants, mais avec déjà pas mal d’idées, d’enjeux et la promesse d’un festival de réfs à venir. Je suis tiède, mais quand même assez chaud.