Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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| Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
| Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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3.01 -
Galaxy 4 - Partie 1 (400 augures)
Four Hundred Dawns
Le Docteur, Vicki et Steven Taylor se retrouvent sur une planète silencieuse où ils croisent de petits robots que Vicki surnomme les Chumblies, et dont ils ignorent les intentions. Capturés par un des Chumblies, ils sont alors libérés par deux femmes guerrières qui paralysent l'un des robots et elles ramènent le Docteur et ses compagnons à leur quartier général. Ce sont les Drahvins, dont la planète Drahva se trouve dans la même galaxie que celle sur laquelle le TARDIS a atterri, la Galaxie 4. Les Drahvins sont des clones, génétiquement modifiés, qui ont pour seul but d'être soldats et d'obéir à une femme, menaçante et hautaine, qui a pour nom Maaga. La planète des Drahvins est présentée comme étant une race où un petit groupe d'hommes sert pour la reproduction, les autres étant tués. Maaga prétend être en guerre contre une autre race, les Rills, des reptiliens, qui sont les créateurs des Chumblies. Maaga cherche à obtenir le vaisseau des Drills pour retourner sur Drahva. La planète va exploser dans quatorze aubes selon les Rills, qui ont proposé leur aide aux Drahvins. Mais Maaga décrit ces derniers comme étant des créatures sanguinaires qu'il faut exterminer, ce en quoi le Docteur ne croit pas. Steven et lui obtiennent alors de Maaga le droit de retourner au TARDIS pour faire quelques mesures, mais le verdict du Docteur est étonnant : il ne reste non pas quatorze, mais deux journées à la planète avant qu'elle se détruise.
Diffusion originale : 11 septembre 1965
Diffusion française :
11 septembre 1965
Réalisat.eur.rice.s :
Derek Martinus
,
Charles Palmer
Scénariste.s :
William Emms
Guest.s :
Angelo Muscat
,
Jimmy Kaye
,
Lyn Ashley
,
Marina Martin
,
Stephanie Bidmead
,
Susanna Carroll
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Galax
dewey| Avis favorable | Déposé le 30 avril 2014 à 01:26 |
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Etrange cette première partie d'épisode reconstitué ... Etrange parce qu'elle ne fait presque pas reconstitué. Il y a bien au moins la moitié des extraits qui correspondent aux vraies vidéos de la partie (c'est pour l'instant un cas unique dans la série, qu'un épisode perdu ait pourtant des scènes entières existantes), et les moments ou c'est reconstitué, ils ont fait un vrai boulot d'animation sur les images fixes qui donnent une certaine impression de mobilité. Une recon d'assez bonne qualité donc, excellente sur le plan vidéo, pour une fois, c'est plus la bande son qui est d'une qualité approximative ... Sans ça, pour ce qui est de l'épisode en soi, j'avoue que je ne sais pour l'instant pas trop quoi en penser. Cette première partie se cantonne purement à son rôle introductif sans en faire le moindre écart ne serait-ce qu'une seconde (tellement qu'il est impossible de savoir si l'épisode en a fini avec cette phase dès cette partie ou si ça va se prolonger avec la suivante), et, si elle est pour l'instant plutôt sympathique, elle met quand même en scènes des tas d'éléments qui pourront soit être très réussis avec le bon traitement, soit totalement ratés si ce n'est pas le cas (oui, car le concept des Barbies de l'espace vs. les Robots aspirateurs sous fond de fin du monde, c'est clairement pas sans risque ... et que pour l'instant, les thèmes sous jacent qui semblent pointer le bout de leur nez ont l'air d'être assez classiques et traités de manière standard), et qu'en cette première partie, on ne sait absolument pas de quel côté ça va pencher. Si jamais c'est raté, j'espère qu'ils auront au moins l'intelligence d'assumer le nanard-side jusqu'au bout pour que ça soit au moins marrant, car si l'épisode ne propose rien à côté et que ça l'est pas, y'a un vrai risque de s'y faire chier et de tomber sur le premier épisode fondamentalement mauvais de la série. Et si jamais c'est réussi, tant mieux ! Mais il faut avouer même si c'est plutôt sympa à suivre, ce pitch n'est franchement pas ce que Doctor Who à proposé de plus folichon et excitant. J'ai peur qu'à l'instar de The Rescue, l'épisode soit condamné à être au mieux pas mal, quand bien même il traiterait tous ses éléments de la meilleure manière possible (ce qu'avait fait The Rescue) parce que limité dans son concept de base, et au pire catastrophique ... Bref, seule la suite nous le diras, mais pour l'instant, on nage en eaux troubles avec Galaxy 4, malgré un premier à-priori plutôt positif. |
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On ne peut pas dire que ce soit l'introduction la plus passionnante. Peu de choses se passent et tout sonne comme un restes de l'ère saison 2, comme si la nouvelle saison n'avait pas encore démarré. C'est trop familier et trop léger pour un opener. Même les machines de l'épisode font penser aux Daleks sur tous les plans, à part le fait qu'ils soient aveugles.
Cela dit la dynamique Vicki/Steven marche bien, et j'aime bien l'idée de faire un peuple façon amazones du futur, où les femmes sont au pouvoir.
Le cliffhanger est en revanche nulissime car il était évident que le sérial n'allait pas s'étendre sur 14 jours...