Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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3.29 - L'Arche - Partie 4 (la bombe)
The Bomb
À bord de l’Arche, Quatre, un des Monoïds commence à remettre en question les volontés guerrières de Un. Celui-ci souhaite que les Monoïds atterrissent tous sur Refusis pendant que dans l'espace, une bombe nucléaire, placée dans une statue géante de Monoïd explosera, détruisant la totalité de la civilisation humaine survivante. La tension commence à se développer lors de la découverte de la navette de Deux, détruite, au moment de l'arrivée des Monoïds sur Refusis. Une guerre civile éclate, tandis qu’à bord de l’Arche, les humains cherchent à localiser et à désactiver la bombe laissée par les Monoïds. Finalement, c'est le Refusien, que le Docteur aura laissé rentrer dans une des navettes, qui aidera Steven et Venussa, une des gardiennes à trouver la bombe et l'expulsera dans l'espace. La guerre entre les Monoïds étant finie, le Refusien acceptera que tout le monde sur s'installe sur Refusis à la condition que les humains et les Monoïds vivent ensemble sans domination d'un peuple sur l'autre. Le Docteur et ses compagnons repartent dans le TARDIS, et tout semble se passer normalement quand, à la suite d'un éternuement, le Docteur se met à devenir transparent.
Diffusion originale : 26 mars 1966
Diffusion française :
26 mars 1966
Réalisat.eur.rice.s :
Michael Imison
Scénariste.s :
Paul Erickson, Lesley Scott
Guest.s :
Brian Wright
,
Edmund Coulter
,
Eileen Helsby
,
Frank George
,
John Halstead
,
Terence Woodfield
,
Jackie Lane
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 18 septembre 2014 à 22:47 |
The Ark touche à sa fin, et si pourtant l'épisode est très riche en soi sur énormément de points, je n'ai quasiment rien à dire de cette ultime partie. La raison à cela est certainement le fait qu'elle se déroule dans la pure logique de ce qu'on pouvait en attendre à la fin de la partie 3. Ni plus, ni moins. Du coup, cette dernière partie, est, comme le niveau global de son épisode, très bonne. Cependant, il lui manque le petit côté surprenant qui permettait aux 2 parties précédentes de mettre l'épisode au dessus du lot (surtout dans cette saison 3). Ce qui n'est absolument pas un reproche tant l'épisode nous aura dans sa globalité gratifié de bon nombres d'excellents instants, y compris dans cette partie finale, mais du coup, vu qu'à ce stade de l'histoire il n'y avait plus rien à développer et juste à laisser le dénouement se faire, il n'y a dans le fond pas grand chose à dire sur cette ultime partie. En revanche, sur l'épisode dans sa globalité, là il y a de quoi dire ... ---- Episode 23 : The Ark Au beau milieu d'une saison 3 qui dégage une ambiance moribonde constante, aussi bien de par son aspect très sombre et la relative baisse, ou plutôt nivellement du niveau de ses épisodes (le niveau global n'a pas spécialement changé, en revanche, il y a très peu d'épisodes qui se distinguent vraiment, bon comme mauvais, dans cette saison, contrairement aux deux précédentes), son turnover de compagnons et de showrunners bien trop élevé, et l'extrême inconfort pour la découvrir de par le fait que les 3/4 des épisodes sont perdus, The Ark fait beaucoup de bien. Déjà par le simple fait qu'il existe. C'est le sixième épisode sur dix de la saison et c'est le premier qu'on peut contempler dans son intégralité. Ensuite parce qu'il poursuit la démarche très louable de l'épisode précédent de plus se recentrer sur les personnages, après un début de saison mené tambour battant non stop qui avait bien négligé cela (et notamment sur des départs de compagnons qu'on a jamais eu le temps de connaître). Mais surtout, parce qu'il est bourré d'excellentes idées dont certaines novatrices dans l'histoire du show, et qu'il se distingue tout simplement comme l'un des, si ce n'est LE, meilleur(s) épisode(s) de la saison jusqu'à présent. Car oui, en plus de nombreux moments, idées scénaristiques et autres concepts SF purement géniaux (le miniaturiseur en guise de sentence pénale, le cliff planète des singes style de la partie 2, les monoïds, les réfusiens, le concept même de l'arche...), l'épisode brille essentiellement de par le fait qu'il est le tout premier de l'histoire de la série dans lequel le Docteur peut voir les conséquences à court comme au très long terme de ses actes. Une idée qu'ils sont parvenus à fort heureusement étayer avec un beau développement psychologique du personnage tout au long de l'épisode. Le fait de segmenter l'épisode en deux grandes parties était également une excellente idée car elle dynamise considérablement l'épisode sans pour autant amputer son développement thématique et lui évite de tomber dans une monotonie qu'il semblait pourtant bien parti de gagner au terme de la première partie, en faisant l'un des épisodes les mieux rythmés de toute l'ère Hartnell, avec aucune (ou si peu) de longueurs. En résumé, un scénario novateur à l'époque pour la série, une histoire prenante, agréable à suivre et bourrée de surprises géniales, un univers attachant, des personnages et acteurs en grande forme et un rythme quasi parfait permettent à The Ark non seulement de se faire une belle place au sein des épisodes de son Docteur, mais aussi de commencer à développer des thématiques à plus long terme, en dévoilant un aspect de la condition du Docteur auquel on fera régulièrement écho par la suite ... Note de l'épisode (Moyenne des parties) = 15/20 |
Même avec une production aussi soignée, c’est le visage le plus hideux qu’a jamais offert Doctor Who, une vraie atrocité, et pourtant, le pire de la série est à venir. (4)