Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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3.37 - Les as de la gâchette - Partie 4 (rendez-vous à OK corral)
The O.K. Corral
Le Docteur est nommé shérif adjoint de Tombstone en dépit de ses protestations. Wyatt et Virgil Earp découvrent leur frère Warren mourant, mortellement blessé par Ike et Billy Clanton. Wyatt décide alors d’en finir avec les Clanton et envoie Virgil leur transmettre le message au moment où Holliday revient avec Dodo et décide de se ranger au côté de Wyatt. Un affrontement se prépare alors à O.K. Corral entre les frères Earp et les frères Clanton, les uns aidés par Holliday, les autres par Johnny Ringo. À la fin de la fusillade, Ringo et trois des Clanton seront tués tandis que Doc Holliday est en cavale. Wyatt Earp dégage le Docteur de ses obligations et lui, Steven et Dodo rejoignent le TARDIS. Lors de l'atterrissage, le Docteur affirme qu'ils sont arrivés dans le futur à un âge de prospérité sans précédent. Pourtant, le scanner ne montre qu'un homme sauvage qui s'approche dangereusement du TARDIS.
Diffusion originale : 21 mai 1966
Diffusion française :
21 mai 1966
Réalisat.eur.rice.s :
Rex Tucker
Scénariste.s :
Donald Cotton
Guest.s :
David Cole
,
John Alderson
,
Maurice Good
,
Reed De Rouen
,
Roy Godfrey
,
Sheena Marshe
,
Victor Carin
,
William Hurndall
,
Jackie Lane
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 26 mars 2021 à 20:46 |
La joie que retrouve enfin la série est tellement communicative qu’on pourrait presque oublier ce qui rend déjà The Gunfighters si bon, et pourtant, même avec ses dialogues savoureux, Cotton apparaît encore comme une voix monstrueusement négligée. (14) |
Avis favorable | Déposé le 17 octobre 2014 à 16:22 |
The Gunfighters touche à sa fin, et le rendu est ... assez bizarre. En effet, cette dernière partie peine à fonctionner pleinement sans trop qu'on sache pourquoi au bout du compte. Car on a eu ni plus ni moins exactement ce a quoi on s'attendait dans cette 4ème partie, qui se résout, somme toute de manière ultra classique. Le truc, c'est qu'on ne peut pas vraiment reprocher cette prévisibilité et ce classicisme parce que c'est comme ça que se termine l'histoire d'O.K. Corral et qu'ils ne pouvaient pas trop faire autrement ... Alors on pourra toujours reprocher une réalisation un peu moins énergique alors qu'elle devrait l'être à son comble, mais c'est là encore un détail assez mineur tout compte fait car compte tenu des moyens et conditions de productions, le résultat reste honorable. Ou bien, ce qui pose alors peut être problème, c'est la globale mise en retrait des compagnons dans cette dernière partie. Mais d'un autre côté, selon la logique scénaristique qui se profilait, ils auraient plus fait tâche qu'autre chose si on leur avait attribué un rôle différent ... En fait, c'est probablement la somme de tous ces petits détails assez insignifiants qui empêchent cette 4ème partie d'atteindre des sommets. Mais encore une fois, aurait-elle seulement pu faire autrement ? Quoi qu'il en soit, le fait que la conclusion de cet épisode soit en demi-teinte est bel et bien là lui. Malgré cela, arrivé au bout des quatres parties, je reste toujours aussi circonspect quant à la réputation ignoble que ce farcit l'épisode, selon moi totalement injustifiée. Sûr qu'on a vu bien mieux dans l'histoire de la série. Mais on a vu bien, mais alors bien bien pire aussi (rien que sur cette saison, à peu près la moitié de ses épisodes sont en dessous de celui-là). --- Episode 25 : The Gunfighters Il n’y a pas spécialement grand-chose à dire au final de The Gunfighters. Parce que contrairement à ce que sa réputation ignoble totalement injustifiée déclare à son sujet, il s’agit d’un épisode dans le fond on ne peut plus lambda de la série, dans la pure tradition de ce qu’elle a toujours fait, et que donc son niveau global est lamba lui aussi. Si l’épisode n’est pas exceptionnel, il n’a cependant vraiment pas à rougir du moindre de ses aspects, surtout après la purge qui l’a précédé. D’autant que sans égaler, très loin de là, l’ingéniosité et l’audace du précédent opus de son auteur (l’excellent The Myth Makers), l’épisode proposait malgré tout quelques idées intéressantes et novatrices, notamment par le biais de cette narration par chanson. Un procédé qui divisera certes, gavant à la longue certains quand d’autres apprécierons face à ceux qui n’y trouverons rien à redire (je suis personnellement dans ce dernier cas) mais qui est bien léger pour justifier la haine du fandom anglais envers cet épisode (car c’est très honnêtement le seul élément de l’épisode, avec peut être une fin pas à la hauteur du très bon milieu de l’épisode que je vois comme pouvant être très critiquable dans cet épisode). L’épisode nous gratifie de surcroît une atmosphère, des décors et des costumes bien léchés, parmi ce que la série savait faire de mieux à cette époque, ainsi qu’une galerie de personnages secondaires marquants et bien exploités (parfois, il est vrai, au détriment des compagnons) qui montre sa qualité d’écriture. Qui plus est, quand il se lâche pleinement, l’épisode nous offre de nombreux passages mémorables, notamment au cours de son excellente seconde partie qui parviens à exploiter au mieux les éléments qui sont à sa disposition. Si tout cela ne suffira pas à faire de The Gunfighters un grand épisode, ça lui permettra néanmoins de se poser comme un très bon divertissement fort sympathique, ainsi qu’un épisode solide nous offrant quelques morceaux de bravoure bienvenue. En bref, un épisode dans la pure moyenne de ce que la série nous a toujours offert, et qui, dans la saison dans laquelle il a atterri, aurait même tendance à se placer dans le haut du panier de cette dernière. Note de l’épisode (moyenne des parties) = 13,75/20 Dommage que Donald Cotton n’ait plus écrit pour la série par la suite. Ses épisodes étaient forts appréciables et il se distingue sans problèmes comme l’un des meilleurs scénaristes de l’ère Hartnell … |
Vraiment pas convaincue par cette partie non plus. Je ne trouve pas cet épisode ignoble, mais je n'ai pas accroché.