Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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3.04 - Galaxy 4 - Partie 4 (la planète explosive)
The Exploding Planet
Alors que Steven est sur le point de mourir de suffocation, le Docteur et Vicki arrivent avec des Chumblies pour le sauver. Les Chumblies forcent les Drahvins à rester dans leur vaisseau tandis que le Docteur et ses amis retournent auprès des Rills. Ils entreprennent alors de transférer de l’énergie du TARDIS vers le vaisseau des Rills pour leur permettre de décoller avant que la planète n'explose. Entretemps, le Docteur, Steven et Vicki voient la vraie apparence des Rills et en concluent que malgré leurs différences physiques, leurs peuples partagent la même philosophie. Au vaisseau Drahvin, Maaga et ses soldats parviennent à s'échapper et tentent d'attaquer le vaisseau Rill, mais les Chumblies réussissent à défendre le vaisseau assez longtemps pour qu'il décolle sans accroc. Un Chumbley réussit à ramener le Docteur et ses compagnons au TARDIS, qui se dématérialise peu de temps avant l'explosion de la planète, laissant les Drahvins seules face à leur fin. Alors qu'elle se trouve dans le TARDIS, Vicki regarde une planète et demande ce qui s'y trouve. L'action se déplace vers une des jungles de cette planète où un homme semble obsédé par l'idée de tuer.
Diffusion originale : 02 octobre 1965
Diffusion française :
02 octobre 1965
Réalisat.eur.rice.s :
Derek Martinus
,
James Strong
Scénariste.s :
William Emms
,
Helen Raynor
Guest.s :
Angelo Muscat
,
Bill Lodge
,
Bill McAllister
,
Brian Madge
,
Lyn Ashley
,
Marina Martin
,
Pepi Poupée
,
Peter Holmes
,
Robert Cartland
,
Stephanie Bidmead
,
Susanna Carroll
,
Tommy Reynolds
,
William Shearer
Tous les avis
Avis défavorable | Déposé le 23 mars 2021 à 10:25 |
Il y a des robots mignons, une méchante cool, et pour ça l’histoire est presque, par endroits, plutôt fun. Mais ce ne sont quand même que quelques petits moments enchanteurs dans ce qui est peut-être le premier épisode vraiment médiocre de la série. (8) |
Avis défavorable | Déposé le 09 janvier 2016 à 13:06 |
Je me suis endormi vers la moitié de l'épisode. Ca m'est arrivé quelque fois, mais toujours dans le cas d'extrême fatigue et en sachant dès que je lançais l'épisode que j'étais un peu fatigué et que je n'allais pas tenir. Mais là non, je me suis carrément endormi d'ennui. Alors certes le fait que ce soit un reconstitué n'aide pas. Mais bordel un semblant de rebondissement dans le scénario aurait peut-être aidé ? Les Draahvins sont méchantes, le gros Rill derrière la paroi est moche [insert une morale dégueulasse sur le fait qu'il faut se méfier des apparences here], la planète explose... voilà ? Ce n'est pas la pire histoire qu'il m'ait été donné de voir, mais ce n'est certainement pas loin. Et c'est certainement l'un des pires épisodes pris individuellement. Allez. J'ai passé une fucking SEMAINE sur ce sérial, dont plusieurs jours sur les deux dernières parties, qui m'ont ennuyé à en mourir. Oublions ce mauvais souvenir. Galaxy Four - 8 (8.25) - 10 / 9 / 8 / 6 |
Avis défavorable | Déposé le 05 mai 2014 à 04:29 |
Putain, ils l'ont fait quoi. Jusqu'au bout, ils auront réussis à faire plus nul, et plus nul, et encore plus nul. Je ne vais pas réexpliquer une nouvelle fois les défauts communs à toutes les parties de cet épisode (d'autant que l'avis sur l'épisode dans sa globalité s'en chargera probablement). Cette ultime partie décroche la palme d'or parce qu'elle parvient en plus de tous ce qui n'allait déjà pas, à rendre des aspects qui jusque là allaient parfaitement soudainement médiocrissimes. Il n'y a rien à sauver de cette ultime partie, vraiment rien. Pas le fait que le rythme de l'épisode soit incroyablement plat en dépit de toute la tension qu'ils ont été instaurés en fin de partie 3 et qu'ils essaient, en vain, d'entretenir tout au long de cette partie (La nouvelle orientation de l'épisode et les informations que la partie 3 nous as apportés sur le conflit à vraiment complètement tué la menace que représentaient les Draavins et les a rendu complètement inintéressantes). Pas le fait que les Chumblies deviennent au cours de cette dernière partie sonoriquement aussi pénibles que les Zarbis de The Web Planet à jouer le même son en boucle alors qu'ils avaient brillamment évité cela lors des 3 premières parties. Pas le fait que le nouveau sous-texte soit asséné d'une manière incroyablement grossière. Car oui, pendant 3 minutes ... 3 putains de minutes ... Nos héros vont nous faire la morale en live. Oui, vous avez bien lu, en live, et bien lourdement en plus, on se croirait dans Dora L'Exploratrice. C'est à des milliers d'années lumières de la subtilité habituelle de Doctor Who à ce niveau là, et, autant ça aurait pu passer si l'épisode était bon avant, et cohérent du début à la fin avec ce qu'il fait, autant là, on a juste l'impression d'être pris pour des gros cons et ça donne envie de faire un doigt au scénariste. Et encore moins le fait que le Docteur abandonne les Draavins à leur mort à la toute fin de l'épisode. Vu la manière dont les 2 dernières parties les avaient manichéenisées, il ne pouvait certes pas faire autrement, mais il n'empêche que ce geste va totalement à l'encontre du message qu'il cherche à défendre durant tout l'épisode. A l'encontre même du message logique qui découle de celui de cette morale si lourdement assénée. Bref, autant ça avait été plutôt bien géré sur la partie 3, autant là, le constat est clair : l'orientation scénaristique choisie à mi-chemin par l'épisode a tué ce dernier, qui n'aura pas volé son titre de pire épisode de l'ère Hartnell (de tout Doctor Who ?). Enfin, je suis médisant : il y a quand même un truc cool dans cette partie : la scène finale, teaser de l'épisode suivant, qui semble promettre quelque chose de bien plus intéressant. De toutes façons, même si ce dernier est raté, pour faire pire que ce season premiere, il va devoir se lever de très bonne heure. Une catastrophe totale ... ---- Bilan Episode 18 : Galaxy 4 Incroyable. Juste incroyable. C'est juste incroyable de se rater à ce pont sur le résultat final avec de tels éléments à sa disposition. C'est un putain d'exploit même ... Et l'épisode n'a vraiment aucune excuse. Car la 1ère partie était plutôt réussie et que tout était là pour faire un bon épisode, ou au moins, un épisode drôle dans sa nullité. Car oui, c'est bien réalisé, c'est joué très correctement par les acteurs (qui font ce qui peuvent avec ce qu'on leur donne), et malgré le fait que ce soit un Sci-Fi pur et dur, c'est l'un des épisodes les moins kitchs de cette époque de la série qui soit de ce genre (Les Chumblies sont très bien fait, les Draavins aussi, et malgré le nombre e décors très réduit, le metteur en scène à su bien les exploiter pour donner une impression de vaste distance entre les trois points phares de la planète. Ce n'est donc pas sur un plan technique que ça foire, bien au contraire, car à part le rythme qui souffre de vraies lenteurs au bout de la seconde partie, le reste fait très bien l'affaire. Ce n'est même pas tant que ça la faute au scénario de base. Les deux espèces aliens et le contexte dans lequel elles sont mises en scène étaient intéressantes de prime abord, et aurait pu donner quelque chose de très intéressant. C’est la manière dont va évoluer le scénario qui va tout foutre en l’air. Il y avait plein de thèmes sous-jacents très intéressants à exploiter dans cette histoire. Malheureusement, son auteur ne semble en avoir vu qu'un seul d'entre eux et s'est obstiné à ne développer que celui-là ... Le problème, c'est que l'épisode ne sait pendant une bonne partie de son temps pas ce qu'il veut, et ça va lui être très préjudiciable. Parti initialement sur les bases d'une guerre entre deux peuples avec un traitement nuancé ou l'on prend le temps de les développer progressivement pour mieux les nuancer et éviter d'en rendre un tout blanc et l'autre tout noir, l'épisode décide à mi-chemin de prendre la direction opposée et de manichéiser les deux peuples, rendant ainsi totalement inutile le nuancement effectué sur la race méchante (qui prend énormément de place sur les 3 premières parties, et qui ne servent au final vraiment à rien car n'ayant aucune retombée dans la partie 4 [alors qu'il y avait vraiment moyen de rendre ça utile en laissant Maaga manichéenne mais en faisant que les Draavins la lâche après avoir appris qu'elle avait tué l'une des leurs pour déclencher le conflits avec les Drills, le Docteur aurait alors pu les sauver et ne laisser que Maaga sur la planète, ce qui est quand même bien plus raccord avec le thème développé par l'épisode). Déjà, même s'ils avaient su rebondir après un tel retournement, ça aurait de toutes façons laissé un arrière goût amer de pure perte de temps absolument inutile sur un bon tiers de l'épisode ... Le problème, c'est que justement l'épisode n'a pas su rebondir sur ce changement de ton, et, par les informations qu'il apporte, les pistes qu'il décide d'exploiter et celles qu'il décide de négliger, décrédibilise complètement les ennemis (finalement totalement impuissants. Même cet aspect aurait pu être intéressant, mais ça n'est pas exploité une seconde), les victimes (qui, à défaut de résoudre leurs problèmes, aurait pu directement repêcher nos héros sans tomber sur les Draavins vu qu’il les détecte à distance, et ainsi régler le problème bien plus vite), fout un coup à la cohérence morale de l'épisode (même si le reste arrive à peu près à tenir la route niveau cohérence) et diminue sérieusement l'importance de nos héros sur la fin du récit. Déjà, sur l'intégralité du serial, Steven et Vicky n'auront vraiment pas servi à grand chose. En général il est rare qu’un épisode où les compagnons sont présent et inactifs n’en pâtisse pas au bout du compte, et là ça n'aide clairement pas (surtout Steven qui n'aura vraiment servi à rien. Il n’aurait pas été là de l’épisode que ça n’aurait globalement rien changé, à part un otage en moins pour les Draavins et une scène de tension de moins). Mais sur la deuxième moitié de l’épisode, même l’utilité du Docteur est en chute libre, vu qu’il ne devient guère plus qu’un livreur de fuel pour le camp des « gentils » sans avoir à se soucier de celui des « méchants » (d’ailleurs sur la partie 4, il n’est jamais inquiété par leur attaque imminente, mais par le temps de vie restant à la planète) ni du fait que Steven soit en otage, car les « gentils » sont capable de les contenir à l’aise et de libérer Steven pour eux. Comment voulez-vous vous sentir impliqué dans l’histoire quand vos héros eux même ne sont jamais vraiment en danger car avec le camp dominant ? C’est pas pour rien non plus si le Docteur se range souvent du côté des plus faibles dans ce genre d’histoires, ça a un intérêt scénaristique, hein William Emms ? Mais non, il n’y a rien à faire. Car jusqu’au bout et contre vents et marrées, ce cher William Emms, scénariste de cet épisode (et heureusement, j’ai vérifié, que de celui-là dans l’histoire de la série) n’est intéressé que par une seule chose dans son histoire : montrer qu’il ne faut pas se fier aux apparences, que les moches peuvent être les gentils et que les belles peuvent être les méchantes. Le gaillard était un prof, et une fois que tu sais ça, pas mal de choses s’éclairent : il ne voit son histoire que comme un conte pour enfants destiné à leur inculquer une morale. Très belle morale soit dit en passant, et je n’ai absolument aucun problème à la base là-dessus, mais ça coince énormément sur deux points. Déjà, le fait que l’épisode pouvait faire vachement plus sur pleins de points, sans pour autant sacrifier le message qu’il voulait faire passer. C’est un énorme gâchis et ça ne passe juste pas et qu’il est incohérent dans son développement. Si tu veux développer un thème précis, en général, tu évites de développer son inverse, surtout quand le rendu de cette dernière est meilleur que celui de ce que tu veux faire. Ensuite, et ça c’est juste insupportable, c’est la lourdeur avec laquelle est assénée la morale dans les deux dernières parties. Doctor Who à toujours développé des sous-textes, mais jamais, même quand le show était plus orienté vers les gosses, il n’avait osé nous l’exposer de manière aussi lourde, aussi grossière, aussi crétine. William Emms était un prof, et sur ce passage, il n’agit plus une seule nano-seconde comme un scénariste, mais comme un prof : il nous donne la leçon, nous fait la morale, et d’une manière aussi fine que des programmes de l’acabit de Dora L’Exploratrice. C’est juste à des années lumières de la subtilité habituelle de l’écriture de la série à ce niveau-là. Ca aurait pu être à peu près oubliable si la fin n’allait pas à l’encontre du message logique qui découle de cette morale, mais vu la fin qu’il offre aux Draavins, ça ne passe juste pas. Enfin bref, on peut tergiverser encore longtemps sur cet épisode, mais ce qui est clair c’est qu’il est parvenu à se rater sur tous les plans. Mais même là, même au fond du trou, l’épisode avait une dernière carte à jouer : exploiter son nanard side. Franchement, avec un peu de dérision et d’auto parodie, Les Barbies de l’Espace vs. Les Robots Aspirateurs, niveau nanard ça à un potentiel énorme, il y a de quoi bien se fendre la gueule sur ce truc, et de ressortir de l’épisode au moins un minimum diverti. Mais bon, comme vous vous en doutez bien, et quand on y repense c’est bien logique vu l’origine des précédents défauts, l’épisode se prend terriblement au sérieux, nous privant de la seule chose pouvant encore le rendre sympathique à nos yeux : être drôle dans sa nullité. En résumé, Galaxy 4 est une horreur absolue, un sommet de gâchis de potentiel, un véritable manuel des erreurs à éviter pour apprenti scénariste, c’est long (et c’est un 4 parts pourtant, merde quoi !), c’est chiant, c’est lourd … Bref, un ratage total, et qui n’a absolument aucune excuse pour en être arrivé là. De très loin le pire d’Hartnell pour l’instant (et j’espère qu’il le restera), sans doute le pire que j’ai vu de la série classique jusqu’à présent, voir peut être même le pire de Doctor Who tout court. Un vrai cauchemar … Note de l'épisode (Moyenne des parties) = 7,5/20 |
Mes yeux pleurent ou saignent, je ne sais pas trop. Quel final décevant.... Je n'ai rien à ajouter par rapport aux autres, entièrement d'accord.