Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
Lire le résumé complet >
Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
0 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
4.09 - Le pouvoir des Daleks - Partie 1
The Power of the Daleks (1)
Arrivés sur la planète Vulcan, le Docteur nouvellement régénéré et ses compagnons se font passer pour des examinateurs dans une base scientifique chargée d'inspecter une mystérieuse capsule extra-terrestre. À l'intérieur de celle-ci se trouvent des Daleks apparemment inanimés.
Diffusion originale : 05 novembre 1966
Diffusion française :
05 novembre 1966
Réalisat.eur.rice.s :
Christopher Barry
Scénariste.s :
David Whitaker
Guest.s :
Martin King
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 03 avril 2020 à 14:09 |
C'est chiant la recon', mais qu'est-ce que c'est chiant ... Car ici sinon, on a un épisode véritablement décisif, qui rien que dans ce qu'il a réussi à accomplir, a une place historique. Et là où c'est fort c'est que c'est en fait ici une première partie assez radicale en terme de choix narratifs sur le personnage du Docteur et le scénariste assume à la fois une certaine continuité (Ben, Polly, les Daleks) mais en même temps une rupture dans la façon de voir le personnage. Et du coup toute cette première partie est un exercice fascinant à la fois familier pour nous aujourd'hui mais carrément étrange en 1967, et même si la recon' gâche assez le plaisir (je me vois mal revoir l'épisode) la façon dont David Whittaker propulse la série plus loin a quelque chose de très très jouissif en 2020. |
J'ai eu la chance de voir la version animée, et ça change tout.
Polly est la plus maligne des deux et la série le conserve. Je retrouve un peu la dynamique Ian/ Barbara avec Ben qui se met facilement en colère et joue un peu les gros bras, face à une Polly qui réfléchit, qui analyse.
Two est montré sous son aspect original et étrange. Un peu confus, mais pas trop. On ne sait pas ce qu'il a en tête, comme chaque début d'un nouveau Docteur.