Il est vraiment bon ce serial, un des meilleurs de Troughton je trouve.
Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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6.10 - Le voleur d'esprit - Partie 5
The Mind Robber (5)
Voir partie 1...
Diffusion originale : 12 octobre 1968
Diffusion française :
12 octobre 1968
Réalisat.eur.rice.s :
David Maloney
Scénariste.s :
Peter Ling
Guest.s :
Barbara Loft
,
Bill Wiesener
,
Christine Pirie
,
Christopher Reynolds
,
David Cannon
,
David Reynolds
,
Gerry Wain
,
Ian Hines
,
John Atterbury
,
John Greenwood
,
Martin Langley
,
Paul Alexander
,
Sylvestra Le Touzel
,
Terry Wright
,
Timothy Horton
,
Emrys Jones
,
Ralph Carrigan
,
Richard Ireson
,
Bernard Horsfall
,
Christopher Reynalds
,
Christopher Robbie
,
David Reynalds
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 03 avril 2021 à 20:01 |
Ling flippait, et pourtant l’histoire qu’il écrit est aussi magique que décisive. Le Docteur est encore n’importe qui, et il peut donc être toutes les histoires possibles. Pourtant, avec le seul pouvoir de son imagination, il se bat pour ne pas être qu’une histoire. (19) |
Avis favorable | Déposé le 27 juin 2020 à 14:31 |
Un très bon final pour un très bon serial avec de bonnes idées : - Jaimie et Zoe enfermés dans un livre géant et qui deviennent des personnages fictifs. - Le combat final entre le Docteur et le Maître en mode Ecrivain-Dieu qui inventent les combattants (Cyrano, Barbe-Noire) au fur et à mesure de la bagarre. |
Immense dernier épisode. On a rallongé artificiellement la sauce, en faisant fuir le Docteur, mais ces dix-huit dernières minutes, c'est du caviar. Car Doctor Who revient sur ces fondamentaux. Quand on est petit, on s'invente des histoires. Des histoires qui mélangent les genres, qui digèrent ce qu'on a entendu ou vu dans la journée. Des histoires dans lesquelles les personnages se croisent et où l'absurde peut surgir à tout moment : "Et là, on dirait que...". Et là, on dirait que d'Artagnan viendrait sauver le Docteur. Et qu'il serait combattu par Cyrano de Bergerac. Puis, par Barbe noire. Et puis, et puis... Le champ des possibles est infini et Doctor Who l'est aussi.
Et, je crois que, précisément, là est la clef du succès de Docteur Who. Une série bien trop effrayante pour les enfants et trop enfantine / carton-pâte pour les adultes. Un show qui, en réalité, confronte les enfants à la peur, utile pour grandir ("Fear makes companions of us" all") et qui, dans le même temps, ramène systématiquement les adultes, vers le pouvoir de l'imagination et l'enfant qu'ils ont été. On ne sait pas vraiment qui commande l'écrivain dans cet épisode, qui est réellement le méchant. Un ordinateur diabolique dira un enfant. Une métaphore du capitalisme (voire de la BBC elle-même) répondra l'adulte. Les deux sont possibles. Ils se complètent.
Doctor Who est ce dialogue par la fiction entre les enfants et les adultes ; dialogue qui vient presque réparer cette impossibilité de communication. Un vecteur d'union. Là, sans aucun doute, réside le véritable pouvoir du Docteur. Bien au-delà de l'espace et du temps.
Très bel avis pour un très grand et très beau épisode.
C'est quoi le prochain qui te tente ?
J'ai regardé grâce / à cause de Tales of the Tardis