Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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9.26 - Le monstre temporel - Partie 6
The Time Monster (6)
Voir partie 1...
Diffusion originale : 24 juin 1972
Diffusion française :
24 juin 1972
Réalisat.eur.rice.s :
Paul Bernard
Scénariste.s :
Robert Sloman, Barry Letts
,
Robert Sloman
,
Barry Letts
Guest.s :
Aidan Murphy
,
Dave Prowse
,
Derek Murcott
,
George Cormack
,
Ingrid Bower
,
Marc Boyle
,
Michael Walker
,
Susan Penhaligon
,
David Prowse
,
Roger Delgado
,
John Levene
,
Wanda Moore
,
Ian Collier
,
Donald Eccles
,
Ingrid Pitt
,
Melville Jones
,
Nicholas Courtney
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 13 avril 2021 à 08:48 |
C’est du gros n’importe quoi, mais on tombe très très bas pour parfois s’élever très haut, ne serait-ce que quand Jon Pertwee, Katy Manning et Roger Delgado sont tous ensemble dans la même pièce ou qu'un Benton tout nu nous sourit joyeusement. 11/20 |
Avis favorable | Déposé le 31 octobre 2018 à 22:59 |
Et rebelote pour cette saison 9 qu'on peut maintenant officiellement déclarer de décidément cruellement sous-estimée : encore un excellent épisode ! Et encore un épisode relativement boudé par le fandom, souvent cité comme le moins bon des épisodes avec le Maître sous Three ... Pas de politique ou de préoccupations de l'époque ni de propos particulier cette fois (si ce n'est un léger fond de féminisme avec le personnage du Dr. Cook qui s'allie parfaitement à l'émancipation progressive de Jo vis à vis du Docteur, la Reine d'Atlantide qui prend l'ascendant vis à vis de son mari (même si manipulée par le Maître) et le fait que Cronos dans sa forme suprême soit une femme), juste un pur épisode de SF rondement mené avec des péripéties qui pour une fois dans la série classique (ça n'arrive mine de rien pas si souvent que cela) font vraiment enjeux de final de saison, impliquant Le Maître, Cronos et L'Atlantide. A ce sujet pas mal de fans râlent sur le fait que cet épisode contredirait ce qui a été établit vis à vis de l'Atlantide précédemment dans la série. A première vue rien ne m'a choqué vis à vis de The Underwater Menace qui se passe au contraire de cet épisode dans le futur de l'Atlantide et donc peut totalement coexister avec cette version, mais en effet ça entre en contradiction avec une ligne de dialogue (Une seule. Qui n'est pas très précise sur le pourquoi du comment qui plus est ... #lesfansceschieurs) de The Daemons. Si effectivement c'était bel et bien le rôle de cet épisode de faire attention au background de la série et non l'inverse, il reste néanmoins qu'il est de très loin celui qui propose la meilleure version de l'histoire de l'Atlantide en plus de bien d'autres choses en son sein donc je ne vais certainement pas bouder mon plaisir pour quelque chose que cet épisode améliore ... Car du plaisir, ce monstre du temps en a à donner ! L'épisode est en effet garni d'une belle galerie de personnage et de rebondissements multiples, variés et souvent assez imprévisibles qu'il sait employer au bon moment pour redynamiser son récit bourré d'idées et d'éléments tous plus improbables les uns que les autres mais qui arrivent à s'imbriquer parfaitement entre eux. Jo, même si ce n'est pas l'épisode de la saison qui la met le plus en valeur dans les actes (en revanche, niveau courage ça l'est, à un degré très émouvant par moments) continue de prendre de l'assurance et s'installe désormais à l'issue de cette saison à côté des compagnons cultes de l'histoire de Doctor Who, avec Jamie, Ian et Barbara. Le tout étant en plus très bien rythmé (si ce n'est une petite baisse de régime en parties 2 et 5, nécessaire à l'exposition pour la première, là où l'autre il est vrai peine un peu à cacher le fait d'être bavarde pour faire tenir sa durée à l'épisode. Rien d'abusé cela dit non plus, ça restait une pause relativement nécessaire dans le récit ...) La partie 4, sans doute le meilleur épisode individuel de l'ère Pertwee jusqu'ici, est à ce titre un pur régal, imprévisible, bourré d'idées géniales qu'il exécute à la perfection, mettant ses personnages à rude épreuve en tirant le meilleur d'eux et faisant de la sublime relation Master / Three son cœur. La scène où le Docteur et le Maître se trollent mutuellement dans leurs TARDIS est à la fois extrêmement drôle, terriblement tendue et un bijou d'écriture. Robert Sloman synthétise à la perfection en cette seule scène et dans une subtilité à en faire pâlir Steven Moffat de jalousie (lui qui était incapable d'écrire cette relation sans souligner oralement 15 fois par épisodes qu'ils étaient amis avant et toutes les spécificités de leur relation amour / haine) toute la relation Docteur / Maître dans ce qu'elle a de terrible et magnifique, de logique et de contradictoire. Delgado et Pertwee étant qui plus est parfait, comme pratiquement à chaque fois qu'ils partagent l'écran. La relation entre le Docteur et le Maître, plus gros point fort de l'ère Pertwee à mes yeux, n'a sans doute jamais été aussi bien travaillée qu'ici (même si The Mind of Evil et The Claws of Axos sont également des indispensables en la matière) et elle propulse l'épisode - déjà solide - au firmament quand ce dernier se concentre dessus. Même les éléments les moins réussis de l'épisode, comme la forme initiale de Cronos, ne sont pas rédhibitoire car l'épisode en fait l'usage minimal et optimal et sait suffisamment mettre en avant ce qu'il a de bon à offrir pour que leur impact soit moindre. Et enfin un épisode où Benton est autre chose qu'une plante verte oubliable putain <3 ! Depuis 4 saisons, il était temps ... Bref, un excellent final qui viens conclure une excellente saison, sans doute la meilleure de la série classique jusqu'ici. Moyenne "The Time Monster" : 15/20 |
Oh bah non, dans cet épisode, le Docteur avait l’opportunité de se débarrasser définitivement du Maitre en le laissant à Chronos, ce qui nous aurait épargné, spectateurs, toutes ces interprétations pleines de grimaces et de cabotinages futures (John Simm ou Sacha Dhawan), mais il le laisse s’échapper dans son Tardis à lui, à l’esthétisme très original (on dirait une grosse K7 vidéo). Quel dommage. Encore que non, Missy était top.
Sinon, un très bon final avec ces moments tops (le Docteur faisant de la tauromachie avec le Minotaure, Jo qui prend l’initiative de son sacrifice à elle et du Docteur pour empêcher le Maitre d’asservir l’Univers) qui conclue un très agréable serial.