Don't Trust the B---- in Apartment 23
Appartement 23
June, une jeune fille honnête et optimiste venant de la campagne doit, contre son gré, emménager avec Chloé, qui se trouve être son parfait opposé: une fêtarde invétérée, sans morale et diablement sexy. Son meilleur ami est particulièrement imbu de sa personne. Et pour couronner le tout, le voisin est un ado ...
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Terminée | Américaine | 25 minutes |
Comédie, Comedy | ABC, ABC (US) | 2012 |
2 avis favorable
1 avis neutre
1 avis défavorable
1.02 - La Fifille à son papa
Daddy's Girl ...
June rencontre les parents de Chloé d'une façon peu orthodoxe...
Diffusion originale : 18 avril 2012
Diffusion française :
18 avril 2012
Réalisat.eur.rice.s :
Michael Spiller
Scénariste.s :
Nahnatchka Khan
Guest.s :
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Avis favorable | Déposé le 19 avril 2012 à 23:58 |
Bon visiblement goulou reproche a cet épisode d’être bien, c'est son droit. Pour ma part j'ai vraiment aimé. Le coté complètement absurde des situation entraîne de francs éclats de rires. C'est dommage que je n'ai pas vu Dawson par contre... Le coté développement des personnages est à la fois inévitable et nécessaire pour la pérénité de la série, et force est de constater que cet épisode s'en tire bien. Les deux filles peuvent être copine et conserver leurs caractères respectifs et c'est tant mieux. |
Avis défavorable | Déposé le 19 avril 2012 à 23:31 |
J'ai trouvé ça au contraire de vous extrêmement mauvais. J'avais beaucoup apprécié le premier épisode parce qu'il sortait un peu du cadre habituel de la sitcom lambda, mais là la série fait un demi tour à 180 degrés et nous offre des dialogues terriblement banaux débités à toute vitesse par des actrices qui jouent comme toutes les actrices de toutes les chaînes grand public. La particularité du pilot, c'est qu'il était très rythmé et qu'il ne s'attardait pas sur les personnages, qu'il survolait tellement tout que ça en devenait incroyablement débile. Là on voit que dès que les scénaristes essaient d'accorder un minimum de profondeur et tentent de donner de la cohérence, de créer de vrais liens entre les persos la série sombre dans les écueils du genre. Je ne comprends pas que vous ayez tous autant apprécié. Pour moi tout était tellement lamentable et téléphoné... à part peut être le coup de la mère handicapée qui offre quelques sourires et les apparitions de JVDB. Le mec à la fenêtre c'est le genre de truc qui ne me fait pas du tout rire, surtout que pour ma part toutes ses répliques sont tombées à plat. J'ai l'impression qu'ils ont tout mis sur le pilot et que maintenant ils se sont retranchés par dépit dans les codes d'une sitcom plus traditionnelle. Alors, oui, ça se veut certes délirant, mais ça se veut trop justement, contrairement au pilot qui avait de la spontanéité. |
Avis favorable | Déposé le 19 avril 2012 à 22:39 |
Pareil que Koss, les scènes improbables s'enchaînent très vite et les épisodes sont vraiment rythmés. Et le duo fonctionne vraiment, Chloé a vraiment un esprit dérangé. Après, j'ai jamais regardé Dawson, du coup je suis un peu à côté de la plaque durant les scènes à ce sujet. |
Avis favorable | Déposé le 15 avril 2012 à 06:58 |
C'est tellement, mais alors tellement n'importe quoi cette série. Le délire est total, le scénario part dans tous les sens et les personnages, du voisin pervers voyeur à la "Bitch" elle même, sont tous plus improbables les uns que les autres. Et en plus de tout cela, il y a James Van Der Beek dans son propre rôle, qui provoque l'éclat de rire à chacun de ces apparitions. Quand on passe la porte de l’appartement 23, on rentre dans une autre dimension. Pourvu que cela dure. |
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Critique : Don't Trust the B---- in Apt 23 1.01
C’est la période de l’année que je préfère niveau série : les séries touchent à leur fin et s’accélèrent, les news de renouvellement arrivent mais surtout les nouveautés à fort potentiel se découvrent toujours à cette période (The Killing et Game of Thrones pour l’année dernière). Cette année c’est Don’t Trust the Bitch in Apartment 23 qui sera à coup sûr une des gagnantes.
Mouais, bof. On sent déjà que ça va vite retomber dans les travers de toutes les récentes sitcom. Le mec à la fenêtre et Dawson, c'est vraiment téléphoné quasiment à chaque fois.