Un pilote simple, efficace et assez drôle et bien trouvé. 

Gros point fort : les personnages, tous rapidement introduits mais avec déjà plusieurs traits de personnalité qui les rendent attachants.

Je suis d'accord avec Koss que ça fait un peu gros que le Samy soit un aussi grand boulet quant aux régulations européennes. Mais en même temps, connaissant plusieurs personnes qui ont fait assistants parlementaires, c'est pas si impossible que ça.

Hâte de voir la suite ! (et tellement heureux de voir Philippe Duquesne, que je surkiffais dans les sketchs du Palmashow)

Un modèle de pilote de sitcom, Visitors que je regarde en parallèle aurait dû s’en inspirer. On commence par une scène décalée, on expose ensuite le décor, puis les personnages apparaissent les uns après les autres et s’imposent en douceur, là où Simon Altier balance tout d’un coup. Après, cela reste plus facile pour le Parlement qui a la force d’avoir un sujet en béton qui donne envie d’être découvert (les dessous du Parlement Européen). N'empêche, en distillant une folie douce (Michel, Eamon ou Torsten) tout en balançant quelques gnons bien sentis (sur le Brexit, sur le RN voire l’Europe carrément (« ce sont les allemands qui nous offrent des cadeaux pour rester avec eux), la série réussi une merveille de pilote, drôle et enlevé.

Quelle belle découverte ! Il y a bien longtemps que je n'avais pas autant ri devant une série.

Tout est incroyablement drôle, les répliques, les dialogues et les personnages. Chaque apparition d'Eamon me bute.

Le héros est par contre incroyablement stupide. Il est cessé être assistant parlementaire et ne sait pas ce qu'est un règlement, ne reconnait pas un lobbiste, ne connait rien du fonctionnement, etc. Je sais que c'est fait pour facilier l'entrée du spectateur français dans la série, mais là, c'est un peu gros.

Hahahahaha. C'est bien fendard ce truc. A quoi sert d'écrire de la SF quand on a le parlement Européen à portée de main ?

On a juste voulu goûter 5 mintues pour voir ce que ça donnait, au final on est restés scotchés jusqu'au bout. Les personnages ont énormément de potentiel - et le parlement en lui-même, présenté comme une sorte de gigantesque usine ubuesque façon "maison des fous" d'Astérix, promet d'être fascinant. Surtout post-brexit.