Personnellement, un stand alone par épisode ne me dérange absolument pas. On pourrait déplorer le manque de fil rouge, mais la présence de Luther (ainsi que celle d'Alice) a vraiment tendance à effacer le tout.

Et je crois que dans l'absolu, j'aime plutôt bien les séries policières avec des tueurs chelous (notons que je l'ignorais jusqu'à maintenant).

Intrigue légèrement mieux que l'épisode précédent mais moins d'Alice, dommage !

C'est regrettable que ce soit des Stand Alone (Bien que très bon), on aimerait voir plus de la relation entre Alice et Luther

Bon il faut que je me fasse a l'idée que la série se destine a des épisodes stand-alones .... c'est quand meme dommage quoi on a un personnage principal charismatique une belle réalisation et non il faut qu'il nous foute un tueur a chaque épisode du recyclé en + on a l'impression de faire du surplace quoi ... mais bon la série est comme ça et puis c'est tout

Concernant l'épisode, la réalisation est toujours propre, Mr Elba toujours aussi bon, Alice toujours aussi intrigante, les autre acteurs trop secondaires, etc ... bref les qualité sont là donc on passe tout de meme un bon moment, l'enquete dans cet épisode est assez interessent Luther emploi une bonne méthode pour coincer le tueur, c'est bien joué, il y a pas d'exagération, bref un épisode agréable a suivre .... le seul truc qui me chagrine c'est ce choix de stand-alone quoi !!!

Pour le coup, j'ai du mal à comprendre à quel niveau s'établit le parallèle avec 24 ou avec House. Si on ne peut plus foutre un mec intelligent, impulsif et brillant dans une série, ça va limiter pas mal de choses... Et puis en l'occurrence, le personnage me paraît incroyablement plus fouillé qu'un Jack Bauer aux polarités manichéennes très marquées.

Si comparaison il y a, à mon sens, elle est à faire avec Wire in The Blood, tant au niveau de l'atmosphère générale de la série que du personnage de Luther, de son rapport à une psychopathe.

Après, cet épisode n'est pas exempt de défaut, mais ça a tellement la classe au niveau de la réalisation que je mets une bonne note. L'intrigue en elle-même est un peu déjà vue, surtout quand on a vu l'intégrale de Wire in the Blood, mais le charisme de l'acteur qui interprète Luther suffit à emballer le tout.

L'évolution des rapports Luther / Alice est assez intéressante, et l'intégration du fil rouge à un stand alone est réussie.

Wow, tu parles d'un épisode long à démarrer ! Sérieux, j'ai failli arrêter à la 10e minute !

La première scène pose direct les bases d'un stand-alone, et j'en ai marre des séries à stand-alones, surtout quand la saison ne fait que 6 épisodes.

Mais bon, je me suis fait une raison, et une fois la machine lancée, le fil rouge est très bien intégré au truc. Il a une réelle incidence sur le déroulement de l’enquête de la semaine, et ça rattrape un peu le truc.

Sinon j'ai trouvé l'épisode un peu moins classe graphiquement, mais les acteurs sont toujours aussi cool (sauf Zoe et Mark, ils sont chiants).

Il y a aussi pas mal d'incohérences scénaristiques pas forcément gênantes mais qui empêchent de mettre plus que 13 à cet épisode.

Plus on s'éloigne de la Alice des débuts avec son revirement psychologique à la con en une scène et plus on oublie ce début bancal, du coup elle prend de plus en plus de consistance.

Pour ce qui est du méchant de cet épisode, un intellectuel galeriste qui baigne dans les cultes satanistes à la Crowley c'est le genre d'ambiances de roman noir que j'adore... et en tant que roliste ça m'évoque certaines parties de Kult, de Nephilim ou de Cthulhu bref, c'est parfait pour moi. Je dis oui et j'en redemande.

Par contre encore une foi je retrouve pas ce pied monstrueux que j'avais pris sur les arrangements musicaux du premier épisode. Dommage.

Encore un très bon épisode dont l'intrigue est supérieure à celle de l'épisode précédent. La relation évolue entre Alice et Luther donnant lieu à plusieurs scènes très réussies, mais il est clair qu'Alice mène la danse pour l'instant. L'intrigue nous propose un méchant très dérangeant ce qui provoque des agissements "osés" de la part de Luther. L'ambiance est toujours aussi immersive et la réalisation est de toute beauté !

L'enquête est bien plus intéressante à suivre que dans l'épisode précédent, malgré quelques facilités un peu gênantes (le coup du "lumière = hublot = bateau", ou le petit piège final, bien trop énorme pour être crédible) : ce regain d'intérêt est probablement dû à la personnalité du méchant et à la justesse de l'acteur qui l'interprète et qui confère une véritable intensité à chacune de ses scènes.

La storyline avec la femme de Luther me lourde toujours autant, même si elle a au moins le mérite de remettre le personnage d'Alice à l'honneur dans cet épisode : j'ai d'ailleurs beaucoup aimé la scène où John en fait sa petite profileuse attitrée, c'était très bien trouvé ! Ces deux personnages et leur relation sont clairement les meilleurs aspects du show, et j'espère que les trois épisodes suivants s'appuieront bien plus dessus.

Luther qui n'en fait qu'à sa tête et provoque la hiérarchie, ça a un petit goût de déjà-vu, mais ça met bien en valeur la personnalité jusqu'au-boutiste du personnage et sa volonté de jouer selon ses propres règles : il fait sens d'appuyer sur cet aspect pour mettre en lumière sa position de plus en plus délicate et sa frustration devant l'énigme-obstacle Alice, donc ça passe.

Quant à l'ambiance et à la réalisation, même commentaire que dans mon avis précédent : l'identité de la série est très marquée, et personnellement, j'adhère totalement !

Bon épisode, donc, mais j'attends une vraie montée en puissance dans les épisodes suivants.