Mad Men
Dans le New York des années 60, Don Draper est l'un des grands noms de la pub. Maître manipulateur, il compte dans son entourage des ennemis qui attendent sa chute.
Terminée | Américaine | 50 minutes |
Drame, Drama | AMC, TPS Star | 2007 |
2 avis favorable
2 avis neutre
0 avis défavorable
3.02 - Love among the ruins
Love Among the Ruins
Le projet de construction du Madison Square Garden rencontre une certaine opposition qui pousse ses responsables à se tourner vers Sterling Cooper.
Diffusion originale : 23 août 2009
Diffusion française :
23 août 2009
Réalisat.eur.rice.s :
Lesli Linka Glatter
Scénariste.s :
Cathryn Humphris
,
Matthew Weiner
Guest.s :
Abigail Spencer
,
Alexa Alemanni
,
Billy Finnigan
,
Brian Carpenter
,
Bryan Batt
,
Derek Ray
,
Elizabeth Rice
,
Embeth Davidtz
,
Eric Ladin
,
Jeremy Scott Johnson
,
Kevin Cooney
,
Ryan Cutrona
,
Talia Balsam
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 20 janvier 2016 à 00:49 |
Ah bah pour le coup, Abigail Spencer en petite robe blanche, pieds nus dansant sur la pelouse fraîche sous un arc-en-ciel de couleur, pfiiouuuu Mad Men sait réussir ses fins d'épisodes... je comprends tout à fait Don sur ce coup-là... sorry January Jones. Bon sinon Don est en effet sacrément charismatique (le passage où il parle au frère de Betty), cette dernière n'a jamais été aussi bitchy ("La grossesse d'une femme la rend-elle garce : sujet d'étude 1, Betty Draper" ?) et Peggy confirme sa place de personnage clé de la série. Le titre est très bien trouvé. |
Avis favorable | Déposé le 05 janvier 2013 à 15:45 |
Cette saison 3 continue sur sa lancé. Don n'a jamais été si charismatique, au point de prendre les décisions difficiles d'une famille à laquelle il n'appartient pas vraiment. La scène où le père de Betty se croit en pleine prohibition est vraiment bien faite, Don semble vouloir aider un père qu'il n'à jamais eu. Du côté de peggy, l'épisode est également très interessant. Elle semble être la plus apte des personnages féminins à appartenir à cette société en pleine mutation. Elle semble enfin se respecter et prendre la pleine mesure de ses actes. Enfin, sa relation avec Don s'étoffe, et elle semble devenir une sorte "d'élève favori" pour lui. La dernière scène va dans ce sens. Du côté des anglais, on se rend compte Qu'il n'y a pas de ligne directrice, que sterling cooper représente plus un "cheval de troie" aux USA qu'une reélle volonté de profit supplémentaire. |
Moins convaincu par celui-là, et ce malgré Abigail Spencer et Don "I don't give a flying fork" Draper.
C'est un peu trop lent, quelques clichés, mais j'ai bon espoir que ça va aller en s'améliorant.