Pluribus
Alors que le bonheur menace la Terre, tous les espoirs reposent sur le plus malheureux des humains.
| En cours | US | Pas de durée |
| Drame, Science-Fiction & Fantastique | Apple TV+, | 2025 |
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1.06 -
POH
HDP
Carol partage une effroyable découverte et apprend des choses au passage. M. Diabaté mène grand train dans la ville du péché.
Diffusion originale : 04 décembre 2025
Diffusion française :
04 décembre 2025
Réalisat.eur.rice.s :
Gandja Monteiro
Scénariste.s :
Vera Blasi
Guest.s :
Samba Schutte
,
Anna Mhairi
,
Max Reeves
,
Olivia Rouyre
,
Soledad Campos
,
Patrick Fabian
,
François Guétary
,
Jhordan Munn
,
Sharon Zhang
,
Joette Waters
,
Fedor Steer
,
AC Larkin
,
Desiree Mee Jung
,
Henry Mark
,
Ketrick "Jazz" Copeland
,
Michael-John Wolfe
,
John Cena
,
Danny Arroyo
,
Darrell Rivera
Tous les avis
nicknackpadiwak
Galax| Avis favorable | Déposé le 15 décembre 2025 à 23:02 |
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Un épisode que j’ai beaucoup apprécié pour son humour cynique, le développement de Diabaté qui devient un peu plus intéressant que sa caricature initiale le laissait penser, et la promesse que le survivant hispanique rejoigne Carol. Le contre-pied sur le cliff de l’épisode précédent, qui n’est absolument pas une grosse révélation pour, est très bien vu car il en révèle finalement plus que nécessaire et dévoile aussi les failles de Carol (Diabaté en apprenant autant sur eux qu’elle en étant plus fin). Rhea Seahorn est vraiment très douée et a ici plus de nuances, soit pile ce que je demandais : j’aime beaucoup sa vulnérabilité quand elle comprend qu’elle est exclue par les autres survivants, puis lorsqu’elle comprend que même Diabaté ne veut pas qu’elle reste. J’aimerais que la série explore plus en profondeur aussi ce que l’existence des aliens implique, pour développer le discours moral sur l’humanité et l’individualité vs. le collectif et l’automatisme. J’imagine qu’il y a encore le temps. |
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Manoune398| Avis favorable | Déposé le 08 décembre 2025 à 04:06 |
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Je suis toujours aussi sceptique face aux intentions de cette série. Est-ce une métaphore de notre société, est-ce une dystopie (censée nous servir de leçon), est-ce une expérimentation, un thriller original ? Carol est bel et bien seule au monde, et l'intrigue ici se dirige vers le "futur" du monde contrôlé par ces aliens. Ressources, nourriture... La révélation des HDP perd beaucoup de sa puissance, notamment parce que seule Carol s'en soucie et ensuite parce que les aliens sont gentils (je ne pense pas que le but soit de prouver que ce sont des monstres, sauf si on veut prouver que la gentillesse est toujours intéressée). En tout cas : je ne comprends toujours pas où on va, et si c'est sympa les deux/trois premiers épisodes, ça devient un peu lassant à trois épisodes de la fin. |
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Lorsque Diabaté assouvit ses bas instincts en se tapant des tas de filles pas forcément consentantes, ou alors pas de la bonne manière, lors de l'acte sexuel, est ce que les 7 milliards de Nous ressentent les mêmes sensations et se partagent tout ? C'est une sacrée pression pour Koumba, faut assurer tout de même. Mais surtout, les enfants aussi sont impactés ?? Parce que là, ça devient super glauque....J'avoue que cette question ne cesse de me tarauder.
Mais de toute façon, je n'aime pas Diabaté, je le trouve malsain et surtout je ne crois pas en lui en tant que personnage. Il est plus un ressort scénaristique qu'un vrai protagoniste crédible. Quel plaisir, par exemple, peut-il tirer de son délire à la James Bond ? C'est une scène efficace du point de vue fictionnel, mais en vrai, elle n'aurait aucune raison d'être, selon moi. Du coup, à cause de lui notamment,
et malgré le caméo rigolo de John Cena,
après deux épisodes qui avaient amorcé un mieux, je trouve qu'on retourne au côté erratique du début de saison et je reste toujours perplexe sur le message qui veut être passé, encore faut-il qu'il y ai seulement un message à passer (Carol est-elle le symbole des complotistes qui voient le mal partout, même quand il y a une raison naturelle et non cachée, comme ici le mode de nutrition des Nous ?).
Enfin, le Paraguayen, c'est la deuxième fois qu'on le voit et c'est la deuxième que j'ai cru que j'allais mourir d'ennui devant mon écran. Compliqué.