Pose
Au coeur des années 1980 à New York, alors que le luxe de l'ère Trump est en pleine émergence et que le sida commence à faire des ravages, Blanca Rodriguez sert de mère adoptive à de jeunes gays et trans qui rêvent de faire carrière dans le monde des arts.
Terminée | Américaine | 42 minutes |
Drame, Historique, Drama | FX (US), FX | 2018 |
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2.07 - Des modèles au top
Blow
La maison Evangelista échaffaude un plan dans le seul but de jouer un mauvais tour à Frederica. Parallèlement, Angel est initiée aux aspects les moins recommandables du mannequinat.
Diffusion originale : 30 juillet 2019
Diffusion française :
30 juillet 2019
Réalisat.eur.rice.s :
Jennie Livingston
Scénariste.s :
Janet Mock
Guest.s :
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Avis favorable | Déposé le 02 août 2019 à 22:11 |
Ah sacré Pose, toujours égale à elle-même et sa tendance à l’exagération. Ainsi Angel et Papi prennent une fois une ligne de coke et les voilà accros au dernier degré, au point qu’Angel mette sa nouvelle carrière de mannequin en péril. Dommage, le couple est vraiment mignon tout plein et n'a pas besoin de ça. La partie act-up et préservatif géant est sympa à suivre et je n’en demande pas plus. Mais ce que j’aime dans cette série est cette mélancolie insidieuse qui l’entoure. La mode du Vogue est déjà passée, les bals ramènent de moins en moins de monde et lorsque Lulu parle de reprendre les rennes de ces derniers dans les années à suivre, nous, spectateurs, savons que cela ne sera pas le cas et que ces manifestations vivent leurs derniers moments de gloire.
Spoiler
Et cette fin avec Ricky, glaçante…. |
Effectivement, il y a une certaine mélancolie à ce que l'on sache, spectateurs de 2019, que les choses vont changer et en même temps pas tant que ça. La communauté est bien sûr toujours présente mais le principe des Balls va s'essouffler et New York va aussi beaucoup changer. C'est ce qui fait le charme de l'épisode, avec cette notion de mentorat et d'héritage qui lie Blanca, Pray Tell et Elektra.
Un peu rapide du côté Papi/Angel même si dans le fond c'est intéressant d'aborder cette question du "dessous les paillettes, il y a toujours de la coke et ça peut gâcher ta carrière", surtout dans le mannequinat des 90s, et j'ai aussi pas mal apprécié Lulu qui prend un peu d'importance et qui révèle une certaine vulnérabilité.