Sense8
Huit individus éparpillés aux quatre coins du monde sont connectés par une soudaine et violente vision. Désormais liés, ils se retrouvent capables du jour au lendemain de se voir, de se sentir, de s'entendre et de se parler comme s'ils étaient au même endroit, et ainsi accéder aux plus sombres secrets des uns ...
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Terminée | Américaine | 55 minutes |
Drame, Science-Fiction, Drama, Suspense | Netflix, Netflix FR | 2015 |
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1.03 - Les paris sont sur le sac d'os
Smart Money Is on the Skinny Bitch
Si la vie des sensitifs est de plus en plus compliquée, leur nouveau don mystérieux s'avère indispensable à leur survie.
Diffusion originale : 05 juin 2015
Diffusion française :
05 juin 2015
Réalisat.eur.rice.s :
The Wachowskis
,
Lana Wachowski
,
Lilly Wachowski
Scénariste.s :
J. Michael Straczynski
,
The Wachowskis
,
Lana Wachowski
,
Lilly Wachowski
Guest.s :
Adam Shapiro
,
Alfonso Herrera
,
Erendira Ibarra
,
Frank Dillane
,
Kamau Wa Ndungu
,
Nicole Lecky
,
Paul Ogola
,
Raúl Méndez
,
Chichi Seii
,
Darshan Jariwala
,
Kristján Kristjánsson
,
Purab Kohli
,
Terrence Mann
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 08 juin 2015 à 09:22 |
Pour l'instant la série me plait. Je ne sais pas trop où l'on va mais les promesses me plaisent beaucoup. La galerie des personnage est hétéroclite et chouette. J'attend de voir la suite pour me prononcer un peu mieux. Mais en fait j'attends beaucoup la série sur le jeu que celle ci pourrait avoir sur sa real et sa mise en scène avec ces 8 personnages connecté. Les frangins Wacho sont costaud techniquement (Cloud Atlas) et ont toujours des idées, pour apporter quelque chose de nouveau Mais pour me moment c'est sympa. |
Avis favorable | Déposé le 08 juin 2015 à 00:50 |
On commence à voir les prémices de l'utilisation de leurs pouvoirs avec des scènes extrêmement bien réalisées. Au niveau des intrigues individuelles, certaines sont plus intéressantes que d'autres, mais elles sont toutes globalement bien écrites. |
Avis favorable | Déposé le 07 juin 2015 à 18:29 |
Toujours intéressant mais les écarts de qualité entre les intrigues commencent vraiment à être importants. Face à l'appréciation globale, moi je n'ai jamais pu sentir l'histoire de Lito dès le début, et ça se confirme dans cet épisode où le niveau de dialogues est un peu lamentable. L'histoire avec le petit-ami vengeur est assez ridicule, j'en suis arrivé à grincer des dents pendant l'épisode. Ça dénote avec tout le reste c'est tout droit sorti d'une autre série. Le mix de genres ne fonctionne pas car le reste est trop homogène. Très peu de choses se produisent pour Riley, Nomi et Will, et Wolfgang est complètement absent. J'attends le moment où la série saura être égale entre les huit persos mais ce n'est pas plus mal pour le moment puisque du coup on met plus l'accent sur des persos peu vu jusque là. Sun, comme prévu, j'adore. L'histoire avec Capheus se dévoile et est aussi plutôt cool. C'est clair que des clichés, il y en a plein, mais ce dernier ne rentre pas totalement dans cette catégorie. Un jeune kenyan qui veut obtenir des médicaments pour sa mère qui a le sida, c'est une situation issue d’une réalité assez touchante. Beaucoup plus qu'une femme d'affaires coréenne aussi championne de boxe ou un acteur gay se retrouvant avec la femme de son producteur mafieux. Tous les clichés ne se valent pas mais on sent que les créatrices ont voulu nourir leurs intrigues avec différentes inspirations. Et en plus quand c'est joliment enrobé d'une scène d'action épique qui fait intervenir 3 sensitifs, ainsi qu'un second degré assez délicieux avec le Van Damne (qu'on soit clair la seule vanne sur lui enterre toute l'intrigue de Lito question humour), cette intrigue me plait donc beaucoup. Bon maintenant il faut passer la seconde car j'ai trouvé cet épisode plus faible que les autres malgré mes quelques éloges : finalement, pour la moitié des personnages, il ne se passe quasiment rien du tout. Ça plus zéro Jonas, il reste pas grand-chose. |
Avis favorable | Déposé le 07 juin 2015 à 17:43 |
J'aime bien la série jusqu'à là, mais ça m'emmerde de la voir accumuler autant de clichés. Parce que dans un show où le discours est le dépassement des identités, c'est quand même un peu gênant de voir systématiquement les personnages se voir définir par des clichés : l'acteur mexicain est pris dans une affaire de passion et de violence, la coréenne combat de sexisme et pratique un art martiale, l'habitant de Naerobie lutte contre le sida, l'indienne ne veut pas se marier, le flic fait fasse à un vieux trauma, .... Au début, j'ai cru que c'était fait exprès et que les personnages allaient se complexifier peu à peu. Au bout de 3h, ce n'est malheureusement toujours pas le cas. Alors, je vais poursuivre en espérant que la série change de braquet, mais je dois dire que je suis de moins en moins confiant. |
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