Star Trek: Enterprise
Star Trek : Entreprise
Cinquième série télévisée de l'univers Star Trek, créé par Gene Roddenberry en 1966, Star Trek : Enterprise raconte les aventures vécues, au XXIIe siècle (de 2151 à 2154), par Jonathan Archer, capitaine du vaisseau Enterprise (NX-01) et de son équipage. Ce navire est le premier vaisseau de type Distorsion 5 ...
Lire le résumé complet >
Terminée | Américaine | 43 minutes |
Science-Fiction, Action, Adventure, Drama | UPN | 2001 |
0 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
1.13 - L'évolution de l'espèce
Dear Doctor
Depuis l'installation du relais 'subspatial' qui permet à tout l'équipage de communiquer avec la Terre, les messages sont de plus en plus nombreux. La linguiste Sato remarque, avec étonnement, que la plupart de ces communications concerne le docteur Phlox...
Diffusion originale : 23 janvier 2002
Diffusion française :
23 janvier 2002
Réalisat.eur.rice.s :
James A. Contner
Scénariste.s :
Andre Jacquemetton
,
Maria Jacquemetton
Guest.s :
Alex Nevil
,
Chris Rydell
,
Christopher Rydell
,
David A. Kimball
,
Karl Wiedergott
,
Kellie Waymire
Jusqu’à présent, Phlox se distingue sans mal comme étant mon personnage préféré de la série. Alors bien entendu, la simple idée d’avoir enfin un épisode centré sur lui ne pouvait que me réjouir d’emblée.
Mais quand en plus l’épisode se révèle se dérouler quasi intégralement du point de vue de Phlox et de son quotidien, dans l’intimité duquel on est plongé par le biais de sa correspondance avec un collègue humain qui nous plonge au cœur de ses réflexions personnelles et de son point de vue de seul occupant alien non vulcain d’un vaisseau intégralement humain, et ses interactions tour à tour hilarantes et touchantes avec l’équipage.
Pour au final, au travers d’un excellent subplot ne venant jamais corrompre ni même alourdir le concept de base de l’épisode, amener très subtilement et traiter à la perfection, tout en finesse de l’épineuse question du positionnement de la limite de l’ingérence de Starfleet et du débat houleux sur la (alors future) prime directive dans un épisode qui ne semblait en rien s’y prêter initialement …
Je ne pouvais qu’atteindre le Nirvana grâce à cette perle qui aligne passages d’anthologie sur coup de génie.
Bref, ni plus ni moins qu’incontestablement le meilleur épisode de la série jusqu’ici.
Denobulans 4 life !