Star Trek: Enterprise
Star Trek : Entreprise
Cinquième série télévisée de l'univers Star Trek, créé par Gene Roddenberry en 1966, Star Trek : Enterprise raconte les aventures vécues, au XXIIe siècle (de 2151 à 2154), par Jonathan Archer, capitaine du vaisseau Enterprise (NX-01) et de son équipage. Ce navire est le premier vaisseau de type Distorsion 5 ...
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Terminée | Américaine | 43 minutes |
Science-Fiction, Action, Adventure, Drama | UPN | 2001 |
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1.19 - Règles de l'abordage
Acquisition
Deux Ferengis armés et équipés de dipositifs respiratoires parcourent les couloirs du vaisseau, où tout le monde est inconscient. Pendant ce temps, enfermé dans une chambre de décontamination, Tucker reprend conscience...
Diffusion originale : 27 mars 2002
Diffusion française :
27 mars 2002
Réalisat.eur.rice.s :
Brannon Braga
,
James Whitmore Jr.
,
Rick Berman
Scénariste.s :
Andre Jacquemetton
,
Maria Jacquemetton
Guest.s :
Clint Howard
,
Ethan Phillips
,
Jeffrey Combs
,
Matt Malloy
Tiens, c’est un épisode souvent démonté celui-là (encore un, pour cette série très controversée, surtout lors des premières saisons), souvent accusé de ne faire que du mauvais fan service tout en écorchant la réputation des célèbres ennemis qu’ils mettent en scène, et de n’être en conséquence ni drôle ni divertissant.
En effet, les aliens du jour ne sont ni plus ni moins que les Ferengis, bien connus de la saga Star Trek pour être des antagonistes récurrents dans les séries se déroulant au XXIVème Siècle, en particulier Deep Space Nine dont l’un des personnages principaux est issu de cette espèce.
Alors pour ce qui est de la question du fan service ou du respect global de ce qu’on montre des Ferengis dans les autres séries je n’en sais rien car je n’ai pour l’instant vu ni Deep Space Nine ni Voyager et pas assez de The Next Generation pour que leurs apparitions est un impact significatif dans ma mémoire ...
Mais pour ce qui est de l’épisode en soit je suis désolé mais je me porte en faux : c’est clairement l’épisode le plus divertissent qu’on ait eu depuis des plombes (depuis Trip enceinte en fait, soit le tout début de la série) !
Alors certes la formule est assez classique pour ce genre d’ennemis vis-à-vis d’autres œuvres de fiction (la forme un peu moins, passer l’intégralité des 10 premières minutes quasi silencieuses et uniquement du point de vue des ennemis (point de vue qui reste le majoritaire de l’épisode malgré tout vu que le plan final de nos héros nous est dissimulé comme aux Ferengis), on ne voit pas ça tous les jours chez Star Trek) mais force est de constater qu’elle est ici pleinement efficace. L’avarice des Ferengis est drôle, les tentatives de la dernière chance de l’équipage sont drôles, T’Pol à contre-emploi c’est énorme et Trip en seul espoir du vaisseau alors qu’il est en collants bleus vaut son pesant d’or à lui seul. Le tout s’entrechoquant dans un joyeux bordel bien jouissif et anarchique, mais terriblement attachant et amusant.
Donc non, nique les pisse froids puristes (qui sont décidément bien fermés d’esprit pour cette 5ème série de l’univers Trekkien, tant le moindre écart aux schémas traditionnels est sévèrement sanctionné par eux, alors que c’est bien souvent les meilleurs épisodes de la série) c’est facilement un des meilleurs de la saison et le plus drôle de la série. J’ai passé un superbe moment et j’aimerais en avoir un peu plus des comme ça.