Bine équilibré, très sympathique, un excellent épisode qui donne le sourire et confirme la capacité du show à voir l'humanité d'un point de vue uniquement positif. Très naive, Sullivan and Son l'assume pleinement et rit des perversités et s'envisage comme un grand melting pot entre générations et races.

Le scénario est très bien écrit, les répliques de Jodi Long sont excellentes et la scène du petit chiot est la preuve de la force d'un groupe de scénariste particulièrement inspiré. En privilégiant l'émotion à la colère, le pardon au procès, Steve Byrne et Matt Long se crée un univers à part, avec des personnages que l'on retrouve avec un plaisir coupable.

Les comédiens sont très bons et prenne de plus en plus leur aise, tandis que les répliques fusent plus vite et évite certaines lourdeurs théâtrales des premiers épisodes. En résumé, une série à laquelle je viens de m'attacher définitivement, à la fois classique et convenue dans sa forme qu'originale par le regard qu'elle porte sur l'humanité.

En même temps, quand l'auteur est un acteur américain aux origines Irlandaises et coréennes, cela donne un beau bordel.