The Twilight Zone
La Quatrième dimension
Nous sommes transportés dans une autre dimension, une dimension faite non seulement de paysages et de sons, mais surtout d'esprits. Un voyage dans une contrée sans fin dont les frontières sont notre imagination. Un voyage au bout des ténèbres où il n'y a qu'une destination : la Quatrième Dimension.
Terminée | Américaine | 25 minutes |
Fantastique, Science-Fiction, Fantasy, Horror, Suspense, Thriller | CBS, TF1 | 1955 |
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1.33 - Un original
Mr. Bevis
Monsieur James B. W. Bevis diffère des autres par son costume, mais aussi par ses goûts qui sont, pour un homme de son âge, plutôt surprenants : il aime les animaux, les vieilles voitures, les commerçants, les enfants, construire des cithares et des maquettes de bateau, chanter dans son bureau... mais parallèlement, il souffre de problèmes de logement et de travail. Un jour, il fait la connaissance de son ange gardien, qui lui propose d'améliorer sa vie. Mais Bevis va vite regretter cette offre car si son patron l'augmente, si sa voiture est à la mode et si sa logeuse accepte de le laisser habiter dans son appartement, il a perdu la chaleur des gens qu'il aimait et qui l'aimaient... Il voudrait revenir en arrière ce qui n'est pas du goût de son ange gardien...
Diffusion originale : 03 juin 1960
Diffusion française :
03 juin 1960
Réalisat.eur.rice.s :
William Asher
Scénariste.s :
Rod Serling
Guest.s :
Charles Lane
,
Coleen O'Sullivan
,
Dorothy Neumann
,
Florence MacMichael
,
Henry Jones
,
Horace McMahon
,
House Peters Jr.
,
Orson Bean
,
Timmy Cletro
,
Vito Scotti
,
William Schallert
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 01 septembre 2016 à 09:57 |
Voilà un épisode très particulier par rapport à l'ambiance habituelle que développe The Twilight Zone... Lors de la première partie, on rit beaucoup grâce à ce personnage adoptant la position de l'auguste qui fait le bonheur de tous ceux qui l'entourent (à part les tristes sires). Et je crois bien que c'est la première fois que l'on rit autant dans un épisode de cette série. Puis on retourne dans un style que The Twilight Zone a déjà adopté pas mal de fois (peut-être même un peu trop souvent, d'ailleurs) avec un personnage surnaturel proposant un deal qui va mal tourner au héros de l'épisode. Sauf que nous sommes dans un épisode particulier. Le héros a finalement le droit d'annuler son deal, et donc de revenir à sa vie d'avant. Encore mieux, le personnage surnaturel continuera de l'aider dans sa vie qu'il aura choisi de garder ! On notera aussi l'utilisation de beaucoup d'effets spéciaux (le verre qui apparaît dans la main de l'ange gardien, celui-ci qui traverse la porte...) dont il est amusant d'observer les techniques utilisées pour les faire, du haut de leur 57 années. Un épisode donc fort singulier que j'ai beaucoup aimé. On remarquera aussi le changement de générique. Assez étrange que cela se soit fait à quatre épisodes de la fin de la saison... |
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Rod Serling se penche sur le thème de la mort avec une réussite discutable malgré une bonne idée de départ.
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Un épisode très intéressant signé Richard Matheson qui voit un pilote perdre brutalement le sens de l'orientation en pleine première guerre mondiale.
Idée de base ; un hurluberlu rencontre son ange gardien qui lui propose d'amélioré sa vie, si celui-ci accepte de supprimer son mode de vie singulier.
L'épisode : presque comique et toujours léger. Les effets spéciaux sont très convaincants pour l'époque (la traversé de la porte).
La chute : Vous ne toucherez pas à mon originalité.
En bref : un épisode optimiste et anti-conformiste. Très agréable.