Truth Seekers
Truth Seekers
Avec Nick Frost et Simon Pegg, Truth Seekers est une comédie qui suit une bande d'enquêteurs paranormaux à temps partiel qui filment les fantômes observés aux quatre coins du Royaume-Uni, visitant asiles de fous désaffectés et bunkers secrets de la Seconde Guerre mondiale. Au gré de leurs expériences ...
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Terminée | Anglaise | 25 minutes |
Comedy, Fantasy, Horror | Amazon | 2020 |
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1.03 - The Girl with all the Ghosts
The Girl with All the Ghosts
Gus et Elton se retrouvent enfin face à face avec Astrid, qui vient leur demander de l'aide car elle est poursuivie par des fantômes. Gus décide de rendre visite à la médium Janey Feathers, mais l'équipe découvre rapidement qu'elle a affaire à quelque chose de bien plus puissant qu'elle ne l'avait jamais pensé, et Gus est obligé de faire son tout premier exorcisme.
Diffusion originale : 30 octobre 2020
Diffusion française :
30 octobre 2020
Réalisat.eur.rice.s :
Jim Field Smith
Scénariste.s :
James Serafinowicz
,
Nat Saunders
,
Nick Frost
,
Simon Pegg
Guest.s :
Que c'est mauvais, c'est fou. Le problème est que cette série tord le cou à toute notion de probabilité pour créer des histoires. Le duo Gus- Elton John, simples techniciens spécialisés en câble internet, ne cesse de rencontrer fortuitement des phénomènes paranormaux. Peut-être par la suite, on apprendra qu'Elton John a un don qui attire les fantômes ou un truc comme ça, mais, pour le moment, tout est forcé et écrit au forceps. Comme dans le deuxième épisode où on trouve totalement par hasard dans une cave l'explication (complétement nulle en plus) de la série de chiffres qui hante radio de Gus. Ou dans celui-ci, coïncidence de fou, Gus découvre le Nécromonicon chez une copine, ce qui tombe incroyablement bien car seul ce livre maudit et écrit avec du sang sur de la peau humaine (bref, gros clin d’œil + coup de coude à Evil Dead) peut aider Astrid, Astrid qu'ils viennent de rencontrer il y a quelques heures à peine. C’est ouf de ouf, comment la vie est bien foutue. Enfin, surtout quand elle est écrite par des scénaristes peu regardant et visiblement pas motivés à l’idée d’écrire sur le long terme, préférant les stand-alone bâclés et écrits à la va-vite. Comme exemple, ce livre maudit qui a peine introduit fini en cendre à la fin de l’épisode. D’autant plus surprenant est la réaction de Gus quand il s’en aperçoit : un petit haussement d’épaule, limite un ricanement, bref, il s’en fout. Sauf qu’on a bien dit qu’il s’agit du livre sur lequel la femme de Gus travaillait avant de mourir, la femme dont Gus a gardé l’alliance pendue à son retro de sa voiture et dont il a du mal à faire le deuil. Il devrait être affecté de la disparition du livre, il a même trahi une amie pour se le procurer. Mais non, pensez-vous, balek, un haussement d’épaule, vite tous de retour chez moi, boire un chocolat chaud.
Et si au moins, c’était drôle, je fermerais les yeux si cela engendrait des situations loufoques ou des éclats de rire. Mais rien, peau de zob. Je n’ai pas souris une seule fois de l’épisode. Je ne parle pas de rire, non de sourire. Mais non, rien de chez rien. Manifestement le summum de l’humour pour TS sont les filtres Instagram (pauvre Malcolm McDowell obligé de jouer cette scène…)
Un dernier petit mot sur Simon Pegg qui vient jouer deux minutes par épisodes, des scènes totalement dispensables, histoire du justifier son chèque.
Truth Seekers réhabiliterait presque Space Force….