Hum, erreur de ma part, je ne voulais pas poster ici. Si quelqu'un pouvait effacer cet avis, ça serait sympa ! Sinon, ben, je reviendrai le modifier à la fin de la saison.

J'ai été pour le moins déçu par cette mini-série, qui m'avait pourtant été chaudement conseillée par des amis amateurs, comme moi, de séries Z et de films de zombies. Il faut dire que l'on s'ennuie ferme tout au long de ces six épisodes excessivement convenus, et les personnages, quand ils ne sont pas tout bonnement horripilants (le producteur remporte la palme), sont juste inintéressants. A vrai dire, on a l'impression que la série ne sait pas trop sur quel pied danser, entre quelques tentatives de séquences fun pas très assumées (et pas très réussies), et une pseudo-critique de la télé-réalité gentille et proprette. Au final, on se retrouve avec une oeuvre pas très engagée et qui ne sait pas vraiment où elle va (c'est sans doute pour cela que la fin est ratée). Après, on pourra sauver quelques éléments du show, comme l'allure des zombies, plutôt réussie pour une mini-série aux moyens peu extravagants, mais ça ne suffira pas à sauver la série, noyée sous son absence d'enjeux et de fun.

C'est naze. Ah, apparemment, il faut faire plus long : bon, eh bien, si Soda arrive à tenir avec du vide 30 minutes par jour, je pense que je peux trouver matière à écrire trois lignes en plus. ... Non, en fait, c'est bon, je pense que mon avis reflète assez bien l'essence substantielle de la série : fainéante, insipide et stérile !

Fargo au sommet de son art, entre absurdité, sublime, réalité brute et errances mystiques. En ce qui me concerne, la série peut bien s'arrêter là, ça va être difficile de ne pas décevoir après cette saison exemplaire.

Une saison inégale et un poil décousue, mais qui nous récompense de quelques (très) bons épisodes sur la fin. L'emballage, lui, est vraiment séduisant, avec une photographie à tomber et une bande-son qui envoie ! A voir pour se faire une idée !

Grande et belle surprise pour ma part (merci à Tan !) : c'est frais, drôle, coloré, référencé, et à part dans quelques épisodes, on ne s'ennuie jamais et on rit très souvent. Après environ 10 épisodes, on chante même à tue-tête les paroles du générique, et ça, c'est grand. Episodes à voir en priorité : - Dragonshy (1.07). - Bridle Gossip (1.09). - Swarm of the Century (1.10). - Sonic Rainboom (1.16). - Over a Barrel (1.21). - Party of One (1.25).

J'avais envie d'émettre un avis sur cet épisode, car il s'agit pour moi du meilleur de tous ceux que j'ai pu voir de cette série, du moins celui qui m'a le plus marqué ! Secret Diary of a Call-Girl est une série que je regarde de temps en temps, qui ne relève pas du génie mais qui s'avère en général plaisante et divertissante (c'est déjà pas mal) et qui évite souvent l'écueil de la lourdeur et de la vulgarité, dans lequel elle aurait pu facilement tomber compte tenu de son sujet. Mais cet épisode, lui, il est vraiment génial. On y retrouve bien sûr un peu de l'humour et de la légèreté qui constituent la marque de fabrique de la série, mais on y trouve également un élément moins fréquent mais ici fort bien exploité, la tendresse. Certes, introduire une histoire d'adolescent handicapé peut être un moyen un peu facile d'émouvoir le spectateur, mais on est loin ici de sombrer dans le pathos : l'initiation au sexe du paraplégique par Belle est traité avec beaucoup de délicatesse, et la scène d'amour est belle, quasiment poétique. Tant et si bien que l'on ressent son interruption comme une profanation. Et c'est là qu'apparaît un autre tour de force de l'épisode : reprendre un archétype du vaudeville (un homme qui surprend la femme qu'il aime au lit avec un autre) pour mieux le détourner, le rendre plus profond et plus ambigu. Et j'ai aimé. Série mineure, mais épisode de haute volée !

Si le concept est séduisant, efficace et parfaitement maîtrisé pour le moment, accouchant d'un pilote de bonne qualité, il demeure encore très obscur quant à sa finalité et laisse déjà entrevoir des limites et des pièges qu'il semble bien difficile d'éviter. C'est donc à un véritable exercice de survie que nous convie NBC cet été, mais à moins d'être totalement réfractaire au genre, le rendez-vous est pris, et c'est déjà ça ! (Cf critique)

Je me fends de noter cet épisode pour ne jamais oublier ce que Kev Adams m'a fait subir le soir où j'ai osé regarder le pilote de sa "série". Ce fut un cauchemar, et à chaque fois que je regarderai mon profil personnel, je repenserai à cette soirée maudite où un épisode de série a réussi à franchir le mur de la médiocrité merdissimale. J'ai quand même mis deux points : - 1 point par principe. - 1 autre point pour avoir réussi l'exploit de nous faire regretter Scènes de Ménages.

Oh putain ... Sérieusement, c'est encore possible de faire ce genre de merde en 2011 avec un budget pareil ?! Les personnages sont encore plus clichés que dans The Playboy Club, et au bout de 5 minutes, je n'encaissais déjà plus la famille de pauvres types qu'on essaye de nous faire passer pour les héros de l'aventure. Les acteurs sont quasiment tous pitoyables, et ce scénar, putain ... C'est du déjà-vu mille fois et c'est d'une connerie abyssale, même les scénaristes des téléfilms de NT1 se cassent plus la tête quand ils pondent leurs scripts ; ah si, il y a un petit mystère à la mords-moi-le-gland sur fond de relation père-fils mystérieuse, wouhou ! Les effets spéciaux, quant à eux, sont carrément minables, mais bon, on va essayer de ne pas se formaliser là-dessus, on est dans un format télé ... Rah, mais quand même, ces têtes de dinosaures en carton dans les dernières scènes, je risque d'en faire des cauchemars ! Et puis franchement, j'ai rarement vu une vision du futur moins inspirée : c'est du sous-Brazil et du sous-sous-Blade Runner, et même les graphismes de POD (un jeu de course auquel je jouais dans les années 90) envoyaient plus que ces hideuses vues d'ensemble qui viennent ponctuer les séquences en intérieur carton pâte ... Je l'avoue solennellement : j'ai vomi.