Avis sur les séries
Avis sur les saisons
Malgré de grands noms du cinéma d’horreur (Tobe Hopper, John Carpenter, Dario Argento, Joe Dante, une anthologie très décevante. Seul la Maison des Sévices tient son rang, les autres segments alternent le sympa sans plus ou le sans-intérêt. Pas du tout indispensable…
Avis sur les épisodes
On était encore une fois dans du méga-classique sans surprise (soit le commanda de gueules patibulaires, la mission impossible qui allait mal se dérouler) et cela même été un peu fun pendant un moment, notamment lorsque l’épisode s’est transformé en mix de Vendredi 13 et d’Alien avec Mando dans le rôle de Jason/le Xénomorphe.
Mais la violente marche arrière finale, lorsqu’on découvre que les victimes étaient vivantes, fait du mal à un épisode déjà pas fameux et on le quitte, une nouvelle fois, en faisant grise mine.
Il y a un truc que je trouve bizarre tout de même. La série, si j’ai bien compris, prend place après le Retour du Jedi, or personne ne semble connaître la Force, ni en faire un parallèle avec les pouvoirs de bébé Yoda. D’ailleurs personne ne se souvient manifestement de Yoda, le Vieux Maître Jedi qui a gouverné sur le monde, il y a une cinquantaine d’année. Un moment, Kruiil semble vouloir évoquer ce point, mais il ne termine pas sa phrase. On dirait que toute cette saison 1 semble converger vers un twist de fou : la Force existe encore et elle présente chez bébé Yoda !
Sinon, Mando est tout de même très très naïf de faire une nouvelle fois confiance à Greef. Et évidemment, c’était un piège, confirmant l’adage qui veut qu’un plan annoncé à l’écran ne se réalisera pas. Bref, effet mouton ou pas, tout cela n’est pas super emballant et assez prévisible.
A part la mort de Kruiil, mais peut-être est ce un leurre.
Par contre, à chaque fois, le meilleur moment de la série réside lors du générique de fan avec les dessins façon art book de l’épisode passé.
J’ai failli élire la première saison la plus formidable de la série. Car oui, donner du temps à deux stormtroppers, développer des personnages qui d’ordinaire ne servent qu’à faire de la figuration (et à se faire descendre), quelle idée. Sauf que j’ai vite déchanté, il ne s’agissait qu’une vulgaire auto-parodie. Moi, perso, l’auto-dérision, je ne suis pas contre, sauf si derrière comme ici, on ne nous sert ^pas deux des pires clichés du monde.
1 – le flashback sur un enfant qui est caché par ses parents lors d’une attaque de méchants juste avant leurs morts. SURTOUT qu’il y avait largement la place dans la cachette pour planquer tout le monde.
2 – Les méchants qui ont coincé les gentils, mais à qui ils laissent sans raison, le temps de s’évader. J’ai trouvé tout ce moment complétement débile. D’autant que Gustavo Fring envoie, finalement et 6 heures plus tard, enfin un garde pour tout brûler au moment ....où bébé Yoda, qu’il veut récupérer, est arrivé dans la planque. Mais bon, le but était de montrer la puissance du petit gnome, donc on se fout un peu de la crédibilité de la manœuvre.
A partir de là, j’avoue, j’ai décroché et j’ai regardé le reste d’un œil distant. Waouh, la force et les Siths existent encore, quel cliff inattendu et renversant.
Bref, cet ultime épisode de la série m’a achevé, elle est une vraie perte de temps.