Un épisode dans la lignée du premier, bien que moins convaincant. On prend plaisir à suivre les différents évènements et particulièrement ceux relatifs à Léo et ses Hubots qui constituent le véritable mystère de la série. Quelques longueurs parfois.

Le plus gros défaut de la série actuellement, c'est certainement son manque d'ambition. On se cantonne trop au quotidien des familles et à leur cohabitation avec les Hubots. C'est très descriptif.

J'attends vraiment que la série décolle et affiche la direction dans laquelle elle veut nous emmner.

Un bon épisode, mais moins que le premier. Quelques longueurs sont en effet présentes, mais rien de bien dérangeant. Néanmoins, on voit clairement la limite du réalisme quand les téléphones, voitures et appareils ménagers n'ont pas évolués alors que l'Homme est capable de produire des machines le reproduisant quasi parfaitement. De plus, on voit souvent des forêts ou paysages champêtres là où normalement l'urbanisation galopante devrait être perceptible. Après, c'est sûr que la série n'a pas le budget d'un film comme I-robot par exemple. Je n'en tiens pas compte dans ma notation, mais souhaitais le signaler.

Le sublime pilote rend ce second épisode un peu moins éclatant mais convaincant tout de même. Le paradigme est toujours très cohérent et bien exploité. Cet OFNI m'a définitivement embarqué.

Toujours de bonne facture, même si ça traîne encore un petit peu en longueur. On y voit un tout petit mieux sur l'intrigue même si ça manque encore d'enjeux. Mais la série traite tellement bien la chose qu'on la suit avec attention, au travers de scènes marquantes voire intrigantes : Anita qui se prépare, le jeu de société, le modèle réduit de bateau, les toilettes d'Hubbot Heaven...