Arrested Development
Veuf avec un fils de 13 ans, Michael est parti s'installer en Arizona pour débuter une nouvelle vie loin de sa riche famille. En apprenant l'arrestation de son père suite à des magouilles financières, Michael est contraint de rentrer auprès des siens.
Terminée | Américaine | 25 minutes |
Comédie, Comedy | Fox, Comédie!, Netflix | 2003 |
4 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
Avis sur l'épisode 4.01
Avis favorable | Déposé le 31 mai 2013 à 23:51 |
Au début de l'épisode j'ai eu très peur mais les 5 premières minutes passées j'ai été rassuré ! Certaines scènes sont plutôt drôles même si on atteint pas le niveau de la grande époque AD ! Michael Cera et Jason Bateman faisaient un peu faux par moment, mais on va mettre ça sur le compte de la difficulté de se remettre dans la peau du personnage. Les 2 secondes buster étaient simplement parfaites ! Impatient de retrouver Gob et Tobias maintenant ! |
Avis favorable | Déposé le 30 mai 2013 à 22:40 |
Joie de se dire qu'on va enfin revoir la famille Bluth, mais petite déception au début de l'épisode. J'ai l'impression que le rythme reprend petit à petit et qu'il faut un temps d'adaptation à tous les personnages pour reprendre leur rôle. Outre cet aspect, il y'a quelques moments super sympas dans cet épisode qui me donnent envie de voir la suite ! |
Retour sur cette très controversée 4ème saison.
Alors, le problème rencontré lors de la pré-production de la résurrection de cette série géniale est l'impossibilité d'accorder tous les agendas des acteurs. D'où ce format déconcertant : faire un focus par épisode sur un personnage. Déjà assez mal parti, puisque l'un des ressorts de AR était justement l’intersection entre les membres de la famille.
Donc on suit le destin un perso (ou presque) par épisode sur une durée assez longue (plus d'un an) avec des événements qui vont se recouper à chaque épisode. C'est clairement une idée moyenne, car il est très dur de suivre la time-line et facile de se perdre.
Troisième mauvaise idée : passer à un format de 30 minutes (au lieu de 20), d'où des longueurs.
Bon, malgré cela, ce premier épisode est assez réussi et l'on retrouve un Mickael Bluth, surprenamment parasite, mais aussi tout le style d'humour, le ton décalé et la tonne de gags par minutes cher à la série.
Un retour qui fait plaisir.