Un excellentissime épisode qui décortique brillamment à travers une hyperbole futuriste , gorgée d'idées visuelles et autres trouvailles géniales la dérive de la société de consommation et sa quête effrénée de superficialité, chaperonnés par la nouvelle religion "Sport" sur un soit disant socle de méritocratie faussé à la base d'une hypocrisie liberticide proprement insupportable.

C'est bien simple, ce monde qui n'est heureusement pas encore le notre nous fait horreur et pourtant il est glaçant de crédibilité tout du long et on s'inquiète sur ce même laps de temps que l'on puisse tomber aussi bas un jour.

Cerise sur le gâteau, l'épisode ne se contente ici comme son prédécesseur pas uniquement de son concept et son intrigue en nous offrant des personnages attachants et des moments émotionnels très forts, culminant dans un final d'une noirceur et d'un désespoir total.

Clairement le meilleur de la série jusqu'ici (et de la saison 1. Et du gros de la saison 2 so far aussi ...)

C'est brillant, dérangeant et bien ficelé. Impossible de ne pas se mettre en auto-analyse après avoir vu Black Mirror !

Cette fois la technologie est vraiment mise en avant, cela fait un peu penser à "Gatacca"... Et c'est juste génial...

Un splendide épisode de Black Mirror, qui m'aura tellement marqué que même si je l'ai vu il y a déjà plusieurs années de ça je m'en souviens encore parfaitement, les codes de la série TV sont bousculés intelligemment et le résultat est effrayant!

God, j'ai été conquis. Une éloquence rare, avec pourtant si peu de dialogue. J'apprécie le traitement complètement abusé d'un sujet d'époque. C'est tellement "gros" qu'on se dit qu'on n'arrivera pas à rentrer dans l'histoire et au final, au bout de 5mn on est déjà pris !

Chapeau, du grand art.

Je m'attendais à plein de choses, à plein de scénarios différents, mais malgré tout, je me suis prise une putain de claque.

Qu'est ce que c'était bon, qu'est ce que c'était dérangeant ! On ne peut pas regarder un épisode de Black Mirror sans éprouver un certain malaise, sans avoir une certaine réflexion pour la société qui nous entoure et dans laquelle on baigne.

Si le premier épisode était réellement malsain, celui-ci, par des métaphores, certes, pas très subtiles (mais tout de même très bien écrites), nous met vraiment mal à l'aise. J'imagine que les gros clins d'oeil au bouquin de Aldous Huxley sont volontaires (je pense notamment aux couleurs pour "différencier chaque classe sociale"). La parodie des télé-crochets est particulièrement bien faite, et le destin de la jeune femme (dont j'ai oublié le nom) est tellement symptomatique de ce qui peu se passer aujourd'hui. J'ai fait un parallèle avec Requiem for a Dream durant cet épisode, où on retrouve un peu la même déchéance progressive.

Concernant le héros de l'épisode, comme beaucoup d'entre nous, j'aurais aimé qu'il se suicide en direct. C'est peut-être ça toute la complexité de ces 60 minutes. Finalement, nous aussi on rentre dans un visionnage malsain et un peu voyeuriste aussi. En tout cas, très belle prestation de ces deux personnages ! (et vive les séries anglaises)

Waouw ! Quelle claque. Déjà je ne m'attendais pas du tout à avoir un épisode qui n'a rien avoir avec le précédent. Je pensais qu'on allait voir la suite de l'histoire avec le ministre (heureusement ce n'est pas le cas, elle se suffit à elle même). Episode génial et série surprenante.

Woaw je ne m'attendais pas du tout à ça !! aucun rapport av le 1er épisode! c'est très différent "des codes" de séries auxquels je suis habitué ! de la bombe cet épisode ! Rien a ajouter de nouveau dans mon commentaire qui différera du votre ! vous avez déjà tout dit dans les vôtres! Tres bonne critique de la dérive technologique, socilogique et culturel de notre société (via cet épisode) ou de notre futur who knows .. Un MUST cet épisode !