Coupling
Coupling - Six Sexy
Le quotidien de six jeunes hommes et femmes : Susan, trop confiante en elle ; Sally, obsédée par la beauté ; Jane, narcissique et manipulatrice ; Patrick, séducteur et obsédé ; Jeff, l'obsédé sexuel et Steeve, garçon dans l'âme. Il ne font que parler de sexe et se plaignent d'ailleurs de ne pas assez passer ...
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Terminée | Anglaise | 30 minutes |
Comédie, Comedy | BBC Two, Comédie! | 2000 |
1 avis favorable
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0 avis défavorable
Avis sur l'épisode 2.04
Avis favorable | Déposé le 08 novembre 2018 à 11:26 |
Alors oui c'est un poil longuet sur les bords, mais les références superbes à Star Wars et la fin quelque peu douce amère remontent bien l'épisode. |
Avis neutre | Déposé le 21 juillet 2013 à 18:28 |
Le rapprochement Sally-Patrick était visible depuis longtemps et nécessaire à l'évolution du show. Mais cela ne fonctionne pas. Tout est incroyablement téléphoné, long et franchement ennuyeux. Ce qui aurait du faire 5 minutes dans un épisode prend tout le reste. Une très mauvaise gestion du rythme. |
Avis favorable | Déposé le 05 septembre 2011 à 21:57 |
J'suis pas fan de l'épisode, mais il y a Jeff, et ses théories, comme quoi, un jour ou l'autre, un homme reçoit la visite du Melty Man !!! And "There is nothing funny about the Melty Man, Patrick !" Je viens de le revoir et de remonter la note, j'avais oublié la scène Star Wars ! Hilarante. |
Encore un très bon épisode, la série se décentre un peu de Susan et Steve, ce qui n'est pas plus mal. D'autant plus quand il s'agit de s'intéresser à Sally, sans doute le personnage le moins développé jusqu'à présent. Son duo avec Patrick est très bon, Ben Miles a le meilleur timing comique du cast masculin (ce qui ne veut pas dire grand chose, tant tous les comédiens sont formidables).
Tout le concept du Melty Man est absolument génialissime. Encore une fois, l'écriture est d'une précision qui force le respect. Aucune blague n'est "gratuite", l'épisode n'a même pas besoin d'une sous-intrigue pour combler ses 30 minutes, et la série se permet même de développer ses personnages dans ses derniers instants en ouvrant la perspective à l'émotion par-delà le rire.
Steven Moffat for the win !