Coupling
Coupling - Six Sexy
Le quotidien de six jeunes hommes et femmes : Susan, trop confiante en elle ; Sally, obsédée par la beauté ; Jane, narcissique et manipulatrice ; Patrick, séducteur et obsédé ; Jeff, l'obsédé sexuel et Steeve, garçon dans l'âme. Il ne font que parler de sexe et se plaignent d'ailleurs de ne pas assez passer ...
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Terminée | Anglaise | 30 minutes |
Comédie, Comedy | BBC Two, Comédie! | 2000 |
1 avis favorable
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Avis sur l'épisode 4.06
Avis favorable | Déposé le 13 novembre 2018 à 16:28 |
Une fin (était-elle pensée comme une fin?) en demi-teinte, toujours assez drôle mais à qui il manquait quelque chose, et c'était sans doute Jeff. Steven Moffat effectivement n'est pas tendre envers son personnage lors de son "retour". Et le reste est très classique, comme cette fin qui est jolie mais sans plus. Du coup, après ce binge, que reste-t-il de Coupling ? Une série absolument hilarante que j'ai eu un grand plaisir de suivre. Une série novatrice pour son époque, cynique, cash et furieusement drôle. Une série à la qualité d'écriture et à l'inventivité remarquable. La saison 4 est en option, mais les trois premières sont vraiment un modèle de sitcom ! |
Avis favorable | Déposé le 28 juillet 2013 à 12:07 |
Le "retour" de Jeff apparait comme une sorte de vengeance de Moffat envers son interprète Richard Coyle qui avait déclaré avant de quitter le show : " I’m an actor and I want to be an actor when I’m 60. It’s a lifelong process, why cut it off by boxing yourself into a little pigeon hole early on?”. La fin a toutefois un gout de largement inachevé avec cette saison 4 qui est la moins bonne des saisons. Richard Coyle, par son départ, a peu pourri l'ensemble de la série et c'est bien con. Néanmoins Steven Moffat avant de partir pour Doctor Who a écrit ce qu'il arrivait aux personnages : " - Sally said yes to Patrick, they got married and are very happy. Especially as Sally beat Susan to the altar, and finally did something first. Patrick is now a completely devoted husband, who lives in total denial that he was anything other an upstanding member of the community. - Jane and Oliver never actually did have sex, but they did become very good friends. They often rejoice together that their friendship is uncomplicated by any kind of sexual attraction - but they both get murderously jealous when the other is dating. Jane has a job at Oliver's science fiction book shop now - Steve and Susan have two children now, and have recently completed work on a sitcom about their early lives together. They're developing a new television project, but it keeps getting delayed as he insists on writing episodes of some old kids show they recently pulled out of mothballs. - Jeff is still abroad. He lives a life a complete peace and serenity now, having taken the precaution of not learning a word of the local langauge and therefore protecting himself from the consequences of his own special brand of communication. If any English speakers turn up, he pretends he only speaks Hebrew. He is, at this very moment, staring out to sea, and sighing happily every thirty-eight seconds. " |
Un series finale qui n'était pas pensé comme tel...
Et pourtant, tout se boucle harmonieusement, et la série semble quand même être arrivée au bout d'un cycle. L'episode est un peu vache envers Jeff, mais la comédienne vend plutôt bien une idée assez naze. Pour les autres personnages, Sally/Patrick volent encore la vedette niveau humour, Jane/Oliver forment un joli duo et apportent enfin une conclusion satisfaisante à Jane/Steve. Mais la part belle de l'épisode revient à Steve qui, loin d'être mon préféré de la bande, est toujours resté le personnage principal et l'ancrage du spectateur. La série rebondit ici avec malice sur son incapacité à prendre une décision et son refus de grandir. La fin force un poil trop le mélo, mais c'est la seule fois que la série se le permet à ce point, Moffat ayant apparemment intégré ses souvenirs dans ce monologue final.
Une fin franchement cohérente à la série, qui aurait pu durer évidemment 4 ans de plus, mais elle s'arrête sur le seuil d'une nouvelle ère, sans rires, avec une certaine sérénité.
Adieu Coupling, nous avons bien ri !