Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
3 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
Avis sur l'épisode 3.04
Avis neutre | Déposé le 02 novembre 2018 à 20:27 |
Spoiler
Des Daleks décrépis se cachent dans l’Amérique de la Grande Dépression, mais c’est une idée brillante qui subit tellement la grossièreté du script que le résultat est tout de même assez pénible |
Avis favorable | Déposé le 10 janvier 2015 à 15:07 |
(Oh bah zut, Martha s'est une nouvelle fois fait kidnappé...) Alors moi, par contre, j'ai bien aimé cette première partie. Je trouve qu'il y a un réel effort d'écriture des personnages secondaires (Salomon, le méchant sbire), la romance entre la blonde et le cochon (ça fait bizarre d'écrire ça) simple et touchante. De plus le cliff, tout en violon, avait parfaitement fonctionné avec moi. Puis, j'ai regardé la deuxième partie.... |
Avis défavorable | Déposé le 21 octobre 2014 à 02:45 |
Episode mauvais, personnages secondaires atroces, méchants débiles (Les daleks RTDesque et les cochons), musique abominable. Ambiance génial ainsi qu'une très belle chanson (You put the devil in me) qui justifie le 10/20 ! |
Avis favorable | Déposé le 25 décembre 2013 à 02:10 |
Comme pour pas mal de doubles épisodes, on étale les évènements pour tenir 45 minutes... Au final, même si cet épisode reste agréable à regarder et la réflexion Darwinienne sur l'adaptation des Daleks pour qu'ils puissent perdurer est intéressante mais il ne se passe pas grand chose... On remarquera un des premiers rôles d'Andrew Garfield (même s'il n'apparaît que très peu)... |
Avis neutre | Déposé le 24 décembre 2013 à 23:26 |
Episode très moyen, qui arrive quand même à être assez divertissant (mais parfois vraiment chiant), avec un principe d'une connerie hallucinante, et à nouveau un comeback des Daleks. Il reste dans sa globalité sympa, mais pitié, le cliff de fin quoi, mais non... |
Avis favorable | Déposé le 24 novembre 2013 à 20:27 |
Cet épisode est bien moins mauvais que dans mes souvenirs. Forcément quand on s'imagine qu'il est suivi du pire épisode de l'histoire à l'époque, ça ne peut qu'être positif en comparaison. Il faut vraiment donner sa chance à la première partie prise individuellement. Il est évident que pour quelqu'un choisissant de noter les two-parters ensemble, Daleks in Manhattan ne vaut pas grand chose, puisque tout ce qu'il construit sera petit à petit anéanti par l'horrible seconde partie. Mais ce n'est pas mon cas. Je note de manière séparée et c'est en grande partie pour des cas comme celui-là. J'ai bien aimé le cadre, New York des années 30, les Daleks dans l'Empire State Building, Hooverville et ses mystères, le commentaire social, la crise qui vient de frapper le pays le plus puissant du monde mais le show qui continue.
L'ambiance de l'épisode est vraiment bonne, autant dans les décors (filmés aux USA pour la première fois depuis le retour de la série !) que dans les personnages ! Les secondaires sont tous très sympas, que ce soit Solomon, Frank (une des premières apparitions d'Andrew Garfield à la TV !), et surtout Tallulah, qui apporte la touche d'humour, de burlesque et de charme typique à l'époque. Sa relation avec Lazslo est humaine et touchante. Martha n'est encore pas à son beau fixe (elle passe beaucoup son temps à se faire capturer et apporte peu à l'intrigue), néanmoins j'aime bien la petite continuité qui s'installe d'histoires en histoires, New York dans le futur, maintenant dans le passé, la mention de Shakespeare, ce genre de choses... Bien sûr, il y a les Daleks. En plus de nous avoir spoilé leur présence dans le titre (c'était pas malin...), ceci n'est pas une histoire conçue pour les Daleks. Ceci est juste une histoire où l'on sait dit "il FAUT que les Daleks soient quelque part dans la saison !". Et du coup, ce n'est pas une bonne histoire de Dalek. De nouveaux ennemis auraient été plus appropriés... en revanche, le fait d'associer leur instinct de survie avec la survie des humains suite à leur grande crise, est un coup très malin, qui donne un thème funeste déprimant à tout l'épisode, ce qui est très approprié. Hooverville, Tallulah, l'Empire State Building et le mythique "You Put the Devil in Me" ! C'est peut-être ma prédilection pour les épisodes se déroulant dans le passé qui parle, mais avouons-le, cet épisode avait tout d'un two-parter réussi à la base. |
Avis favorable | Déposé le 04 octobre 2013 à 23:00 |
Les Daleks me font bien marrer surtout avec leur "EXTERMINER !!!". Je ne peux plus penser à ce mot normalement ;-) Meme si c'est pas le meilleur épisode de la série. |
Avis neutre | Déposé le 19 mai 2013 à 21:29 |
Episode très moyen, j'étais parfois dans la lune, quelques moments étaient pas mal mais le tout était quand même en dessous des épisodes habituels, je vais pas mettre défavorable et j'ajoute +1 point pour la fin qui est intrigante. |
Avis favorable | Déposé le 17 octobre 2012 à 11:30 |
Moi j'ai bien aimé cet épisode. Je suis pas fan de l'époque (passé). Cependant, le retour des Daleks étaient bient amenés et j'ai vraiment bien aimé le personnage de Martha que je trouve vraiment bien interprété. |
Daleks in Manhattan/Evolution of the Daleks fait partie de cette catégorie d'épisode que tout le monde déteste mais que je vais chercher à défendre car il s'agit pour moi d'une réelle pépite beaucoup trop sous-évaluée.
Commençons par ce qui me plaît le plus : l'ambiance de l'épisode. L'esthétique New York des années 1930 est totalement réussie, et j'aime beaucoup le fait que l'Empire State Building est au centre de l'épisode et ça me fait penser qu'on n'a toujours pas eu d'épisode sur la Tour Eiffel et qu'il faudrait remédier ça (alors qu'on en a eu 2 avec la Joconde). La différence de colorimétrie et de jeux de lumière entre le Central Park pauvre et lugubre et le théâtre coloré de Tallulah fait son taff, surtout avec sa superbe musique "My Angel Put The Devil In Me". Mention spéciale à l'Empire State Building en chantier qui arrive à être assez menaçant de l'intérieur.
J'aime également beaucoup les personnages, entre un Solomon courageux qui a fait la guerre et qui apprend aux hommes du quartier à se départager et à ne pas être égoïste, une Tallulah un peu cruche initialement mais également très empathique et qui recèle en elle un vrai courage, un Laszlo transformé en cochon et qui deviendra un réel paria qui habitera la ville-tente de Central Park à la fin et démontrant un réel message de paix anti-racisme et un Frank un peu oubliable mais quand même assez attachant. C'est un épisode qui trouve une partie de sa force dans son cast.
Mais c'est également un épisode qui trouve sa force dans sa façon d'exploiter les Daleks : il est question ici d'abandonner leur objectif premier pour faire survivre leur race. Une expérience finale qui aura pour but de fusionner les Daleks en humain, donnant lieu à une nouvelle race de Daleks mais également en abandonnant leur pureté qui leur est propre. Et je sais que beaucoup n'aiment pas le costume du Dalek humain, mais personnellement je le trouve assez convaincant même si pas exceptionnel. Mais j'aime beaucoup comment Dalek Sec passe d'un Dalek qui convoitait l'esprit humain pour leur volonté de guerre et d'orgueil à un Dalek qui se retrouve fasciné par l'existence des émotions humaines. En réalité, le dilemme entre la pureté et la survie de leur race est au centre de l'épisode, puisque bien que la solution de Dalek Sec semble une solution viable pour sauver les Daleks de la destruction, elle en détruit leur but initial et ça mène à une réelle trahison inter-Daleks, qui mène inévitablement à un (presque) génocide. Et ça mène à un parallèle Dalek devenu humain et humains devenus Dalek inédit dans la série.
Je vais éviter de parler des esclaves cochon, parce que comme beaucoup de monde je ne les aime pas et je trouve qu'ils ne rajoutent rien à l'histoire. Mais je pense que Daleks in Manhattan/Evolution of the Daleks est un épisode qui mérite bien plus de reconnaissance qu'il en a actuellement. Bien qu'imparfait, c'est l'un des rares épisodes à bien exploiter la thématique du fascisme des Daleks et le tout dans un univers cohérent et attachant. Ce n'est pas non plus le meilleur épisode de la saison, mais il reste néanmoins un épisode que beaucoup devraient reconsidérer.