La caméra garde son style mais stabilise quand même et c'est beaucoup plus supportable. Le montage est impressionnant, il y a un gros travail et c'est super efficace, même si je pense qu'il faudra doser sur les effets à long terme. On entre un peu plus dans l'intimité des personnages, je trouve ça très intéressant de voir à quel point ce sport appartient à tout le monde et j'apprécie l'angle politique qui s'en dégage.

Oulala. Personnellement, je me suis pas mal ennuyé au cours de cet épisode.

Il ne se passe pas grand chose, les dialogues tournent toujours autour des mêmes sujets, le déroulement de l'épisode est lourd et redondant. On a vraiment l'impression d'avoir déjà compris quels seront les points qui reviendront dans la saison.

J'espère que ça va décoller car je ne pense pas avoir la patience de suivre une saison entière à ce rythme.

Pas mieux que sephja: la série est déjà partie et loin d'être arrivée.

Le foot n'est qu'un pretexte. On parle avant tout des hommes (enfin beaucoup d'ado mais pris dans toute leur dimension humaine).

C'est magnifique, fin, subtil et profond. Le sport n'étant que le support d'une narration et d'une réalisation parfaite.

Episode toujours aussi bien réalisé et interprété, nous emmenant à travers le formidable Matt Sarasens jusqu'à la découverte de la communauté de Dillon.

Il n'est pas question de sport dans cet épisode, mais d'humains que le sport connecte, de l'importance de ses liens, de la solidarité et de la solitude, que des bons points.

La réalisation est en tout point remarquable.