Et c'est à cause de ce genre d'épisode qu'on ne déteste pas totalement Buddy Garrity, les fois où la carapace du gros connard laisse entrevoir l'homme blessé et seul.

Sinon, grosse promo sur le happy-end, tout le monde y a droit (même Landry qui décidément ne retient rien de ses leçons) .

Mais comme ce positivisme n'est pas béat ni niais, on l'embrasse de bon cœur.

Chaleur bonheur.

Si l'on excepte encore une fois un match modulé en fonction des storylines en cours (tiens, d'un seul coup ils ne sont plus 2 à jouer ?), tout était superbe.

Dommage qu'au final tout se finisse bien pour les personnages, j'aurais bien vu ne serait-ce que une ou deux intrigues qui se passe mal jusqu'à la fin. J'ai particulièrement aimé celle de Landry, et surtout la scène finale.