House of Cards (US)
Suite à l'élection d'un nouveau président des États-Unis, le Tout-Washington attend la nomination de l'un de ses soutiens, le député Frank Underwood, à un poste majeur. Mais le président n'honore pas sa promesse. Blessé par ce coup bas qu'il n'a pas vu venir, Franck n'a plus qu'un but : la vengeance . En ...
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Terminée | Américaine | 52 minutes |
Drame, Crime, Drama | Netflix | 2013 |
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Avis sur l'épisode 1.02
Avis favorable | Déposé le 05 septembre 2013 à 01:43 |
Ben nous on kiffe grave notre race. C'est très speed, très actuel, c'est bien foutu. A l'inverse de vous tous, je trouve que la mise hors course est très bien faite et très réaliste; rapide, certes, mais comme tout ce qui se passe de nos jours. |
Avis favorable | Déposé le 23 août 2013 à 00:29 |
à l'inverse de Koss, je trouve ces apartés vraiment excitantes, on se sent comme des témoins privilégiés de la vengeance orchestré par Frank. Par contre je rejoins les autres sur le déroulement un peu trop rapide et simple pour mettre hors concours ses concurrents. J'aime beaucoup la petite journaliste qui joue juste. |
Avis favorable | Déposé le 04 avril 2013 à 12:23 |
Un épisode un peu caricatural et simpliste, j'ai trouvé. La facilité de Spacey à manipuler la presse, l'opinion publique et la Maison Blanche est quand même un peu grosse. Mais sinon, c'est plutôt bien foutu. |
Avis favorable | Déposé le 24 février 2013 à 19:01 |
Message pour toi Kevin Spacey : "Peux-tu si il te plait faire des explications face caméra et à haute voix sur ce qui vient juste de se passer à l'écran ? Par avance, en te remerciant" Ces apartés sont juste insupportables et empêchent totalement l'immersion du spectateur par rapport à ce qui passe à l'écran (qui n'est pas dénué d’intérêt). Plus globalement, le show donne quand même à voir une vision un peu caricaturale de la politique. C'est "Kevin Spacey est génial et manipule autant qu'il veut tout le monde". Son espèce d'omnipotence (renforcé par ces speech caméra) n'est vraiment pas intéressante dans la mesure ou elle tue tout suspens. En outre, si le personnage joué par Spacey était si malin, comment cela fait-il qu'il se soit fait piquer le poste qu'il cherchait à conquérir depuis très longtemps ? En dépit dépit de cette grossière incohérence et du procédé que je trouve complètement sucidaire, je continue, toutefois, d'éprouver une espèce de fascination pour ce qui se passe à l'écran. Je ne me l'explique pas vraiment. |
Comme la plupart, la vengeance de Francis Underwood se fait avec une facilité déconcertante... Mais bon, il reste 11 épisodes, je suppose que ça ne restera pas comme tel...