Narcos
Loin d’un simple biopic de Pablo Escobar, Narcos retrace la lutte acharnée des États-Unis et de la Colombie contre le cartel de la drogue de Medellín, l’organisation la plus lucrative et impitoyable de l’histoire criminelle moderne. En multipliant les points de vue — policier, politique, judiciaire et ...
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Terminée | Américaine | 50 minutes |
Action, Drame, Thriller, Crime, Drama | Netflix, NETFLIX (FR) | 2015 |
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Avis sur l'épisode 2.04
Avis favorable | Déposé le 01 octobre 2016 à 01:52 |
Escobar, ce putain de monstre omg... Alors qu'on le croyait au fond du trou le voila qui nous sort un tour de passe passe totalement inattendu et se débarrasse de l'un de ses plus grands ennemi ! Quelle petite merd* aussi ce Limon... http://image.noelshack.com/fichiers/2016/39/1475279553-vlcsnap-2016-10-01-01h48m32s251.png http://image.noelshack.com/fichiers/2016/39/1475279558-vlcsnap-2016-10-01-01h49m15s134.png |
Avis favorable | Déposé le 28 septembre 2016 à 23:01 |
Spoiler
Non mais sérieux. Stop là. Limon sérieux. J'y croyais tellement. Bon bah Carillo aura fait 2 épisodes (enfin presque !). Encore une fois, on nous montre qu'Escobar était juste un putain de Dieu intouchable. Los Pepes, une grosse bande de dégénérés qui arrivent là et qui commencent à discuter avec le cartel de Cali. Franchement ça pue. Pour Escobar, ok cool. Mais ils ont pas l'air de vouloir s'arrêter là ! |
Une nouvelle occasion de nous montrer à quel point Escobar était monstrueux et sans limites. J'avoue que j'ai été surpris par ce final, et franchement le personnage de Limon, jusqu'ici un de ceux qui avait plus ou moins ma sympathie car il semblait avoir un bon fond, descend vraiment très bas dans mon estime.
Ensuite, on a droit à une réplique vraiment culte entre Pena et Murphy, qui fait directement écho, en miroir, à celle de la saison 1 après le meurtre du ministre. Cette réplique fonctionne à tous les niveaux, et on ressent vraiment la colère et la rancoeur derrière les mots de Murphy alors qu'ils sont censés réconforter son co-équipier; à ce stade, une réplique qui donne vraiment le tournis.
Et enfin, même si l'ensemble donne l'occasion de voir un des des derniers "grands" coups d'Escobar, l'ensemble est traversé par l'impression qu'il est complètement acculé. En témoigne cette réplique où il essaye de monstrualiser Carrillo en essayant de faire des leçons de morale, lui qui a directement ou indirectement tué des quantités de gosses... Cette tentative pathétique de manipulation par les médias pourrait faire ressentir de la pitié pour cet homme, s'il n'était pas à ce point une incarnation du mal.