La bonne nouvelle de cet épisode est qu'il offre une conclusion intéressante à l'histoire de Boris, même si l'ensemble paraît assez forcée. Un épisode découpé en quatre qui ne brille pas réellement, mais fournit le divertissement attendu.

L'histoire de la Ferrari va servir de point permettant de relier tous les membres de Hankmed pour cet épisode. Une intrigue qui permet à Evan de se mettre en valeur, offrant quelques séquences amusantes, d'autres un peu lourdes.

C'est amusant de voir Paige servir de soupape à la cocotte-minute que peut être Paulo Costanzo lorsqu'il est en roue libre. L'occasion de montrer comme il vit mal le fait que son frère ait des secrets par rapport à lui et de ressouder les frères Lawson.

Le choix de donner à Hank une histoire avec Boris fut une mauvaise idée et les auteurs s'en sont clairement rendu compte en la concluant un peu brutalement. Les scènes avec Boris et Christina sont mal intégrées et le montage un peu brutal, mais le plus dur est fait avec plus ou moins d'élégance.

Le gros morceau va concerner le duo Sacani - Dyvia, le médecin héritant d'une histoire de dépression pas du tout dans son registre d'expertise. L'ensemble est amusant et permet de confirmer l'apport de Ben Shenkman à la série qui parvient à s'imposer tranquillement dans le décor des Hamptons.

Un retour à la normale pour Royal Pains ce qui s'avère être une bonne idée vue la médiocrité des précédents épisodes. Plaisant.