Seinfeld
Dans son propre rôle de comique, le bavard Jerry Seinfeld mène une vie qui ne le gâte pas tout le temps, notamment à cause des femmes. Avec son collaborateur malhonnête et son voisin loufoque, Jerry analyse toutes les petites choses du quotidien et les absurdités de la société.
Terminée | Américaine | 25 minutes |
Comédie, Comedy | NBC, France 2, HBO | 1989 |
0 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
Modifier mon avis
Avis sur l'épisode 4.14
Liste des épisodes
Episode 4.01
Le voyage (1/2)
Episode 4.02
Le voyage (2/2)
Episode 4.03
Le show télévisé
Episode 4.04
Le show
Episode 4.05
Le portefeuille
Episode 4.06
La montre
Episode 4.07
L'enfant bulle
Episode 4.08
Lettres
Episode 4.09
Opéra
Episode 4.10
Vierge
Episode 4.11
Le pari
Episode 4.12
L'aéroport
Episode 4.13
Indiscrétion
Episode 4.14
Quel cinéma !
Episode 4.15
Avocate
Episode 4.16
Les chaussures
Episode 4.17
En être ou ne pas en être
Episode 4.18
Les vieux
Episode 4.19
Les faux seins
Episode 4.20
Le bonbon à la menthe
Episode 4.21
La petite odeur
Episode 4.22
Parking réservé
Episode 4.23
Le Pilote
Episode 4.24
Y'a-t-il un pilote dans la série ?
Après le restaurant, le parking souterrain et le métro, voilà un nouvel épisode expérimental : la troupe va au cinéma.
Et cela donne encore un modèle d'écriture et de rythme. En fait, la série n'est pas un show about nothing, un show qui ne raconte rien, mais c'est un sitcom qui se sert de petits riens (Jerry et ses réponses vaches à son concurrent, Elaine lorsqu'elle doit garder les places assises pour ses amis, le côté pingre de George ou Kramer qui a juste faim) pour mélanger le tout comme dans un shaker et offrir un spectacle coloré, vitaminé et fun. Il y a plein de petits trucs qui tirent l'épisode vers le haut, que ce soit la courte scène où Elaine est embêté par les voisines qui parlent durant les bandes annonces, le géant qui se met devant George ou ce running-gag génial où chacun est décrit physiquement et de manière peu flatteuse (« he’s got a big head and flared nostrils » « a guy with a horse face, big teeth and a pointed nose » « a short guy with glasses look like Hympty-Dympty with a melon head » « a pretty woman, short, big wall of hair, face like a frying pan » « a tall, lanky doofus with bird face and hair like the Bride of Frankenstein »).
Bref, sous ses allures de dilettante, la série fait preuve d'un talent impressionnant ainsi que d'une forte exigence d'écriture.