Seinfeld
Dans son propre rôle de comique, le bavard Jerry Seinfeld mène une vie qui ne le gâte pas tout le temps, notamment à cause des femmes. Avec son collaborateur malhonnête et son voisin loufoque, Jerry analyse toutes les petites choses du quotidien et les absurdités de la société.
| Terminée | Américaine | 25 minutes |
| Comédie, Comedy | NBC, France 2, HBO | 1989 |
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Avis sur l'épisode 9.03
nicknackpadiwakListe des épisodes
Episode 9.01
Rasage au beurre
Episode 9.02
La voix
Episode 9.03
Un peu de sérénité
Episode 9.04
Amour, délice et pâté de campagne
Episode 9.05
Du van dans les voiles
Episode 9.06
Le show Merry Griffin
Episode 9.07
Tranche de cake
Episode 9.08
Trahison
Episode 9.09
L'excuse
Episode 9.10
Dans la soupe
Episode 9.11
Prix d'ami
Episode 9.12
La toison d’homme
Episode 9.13
La vengeance de Sally
Episode 9.14
Le coffre fort
Episode 9.15
L'agenda électronique
Episode 9.16
La brûlure
Episode 9.17
La librairie
Episode 9.18
La grenouille
Episode 9.19
La bonne
Episode 9.20
La fête portoricaine
Episode 9.21
L'album (1/2)
Episode 9.22
L'album (2/2)
Episode 9.23
Grandeur et décadence (1/2)
Episode 9.24
Grandeur et décadence (2/2)
Ah les années 90, où l'on pouvait trouver amusant une intrigue dans laquelle une protagoniste principale est agressée sexuellement durant tout l'épisode.
Même sans le recul, je pense que déjà à l'époque, ce subplot était un peu faiblard. Mais bon, fermons les yeux et disons qu'il n'entache en rien le reste qui frôle l'excellence. Entre le "Sernity now" de Frank, les Costanza père et fils qui vendent par correspondance des ordinateurs dans leur garage ou Kramer qui a emménagé son entré d'appartement en résidence pavillonnaire et qui se fait embêter par les gamins "du quartier", histoire gentiment absurde, on est bien servi.
Mais le top of the top reste Jerry qui libère enfin ses émotions (ce moment génial où il découvre avec stupeur pour la 1er fois des larmes sortir de ses yeux), subplot méga-fun et excellent exercice de bousculement d'un personnage. Mais bon, comment il faut tout de même à la fin des 20 minutes revenir au statu quo du départ, cette partie se dénoue sans grande imagination et de manière précipitée et bâclée, via les confessions (hors-antenne) de George qui décide Jerry à redevenir l'insensible qu'il est. Mais, malgré ça et Elaine qui se fait embrasser de force par les Lippman fils et père, on est sur un épisode du haut du panier.